Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Secrètes Pensées
25 mars 2009

Défilé...

Après midi de permanence sans rendez vous...

On me demande de l'aide...

Une aide pour remplir un dossier...

Une demande pour une aide financière...

Une aide pour écrire une lettre au propriétaire...

Une demande d'explication suite à un courrier...

Téléphoner à la préfecture pour une demande de titre de séjour...

Pas le temps de se poser...

Dossiers qui s'entassent sur le plateau de verre noir qui me sert de bureau, bureau dont les tiroirs ne tiennent pas...

Écouter toutes ces bribes de vie a pompé mon énergie...

Et demain, je recommencerai...

Publicité
Publicité
28 mars 2009

Riddick un samedi sous la pluie...

Morne journée...

Riddick ne me laissera pas un souvenir impérissable...

Pas le genre de film que j'apprécie beaucoup.

C'est agaçant cette ambiance sombre et violente.

Le héros rebelle sans compassion... Bof de bof !

Mon amant, dont je ne veux plus, veut me revoir.

Pas envie !

Je vais me faire un thé et grignoter les biscuits de belle mama...

18 mars 2009

Petit plaisir...

Je ne me lasse pas d'écouter "Longing For Lullabies" chanté par Titiyo.

Ça me donne la pêche !

Les paroles sont tristes.

Kleerup Feat. Titiyo  - Longing For Lullabies

Someday, as I look at the sun
I think of you
And traces we leave behind
Like a fallen piece we’ll make a better start
But still end up alone
Looking down upon a place inside our heart
Dividing us in two
Somewhere, all that we leave behind
Lingers on, longing for lullabies
You live, you learn
You love, you burn
You win, you lose
Becoming you

Someday, when I cry in the rain
I think of you
Looking through eyes of pain
Passing on a feeling that we can’t deny
Over on to you
Fading memory is soon becoming blind
Dividing us in two
Somewhere
All that we leave behind
Lingers on
Longin for lullabies
You live, you learn
You love, you burn
You win, you lose
Becoming you

Mais bon...

J'adore la voix et la mélodie !

Titiyo a une voix magnifique !

22 août 2009

Fatiguée...

Nous attendions le retour avec une certaine impatience.

Cette semaine a été "chiante" au possible.

Trajet aller sinueux et donc long.

L'amie de P. s'est montrée boudeuse, capricieuse et au fond très conne.

J'avoue que je n'ai fait aucun effort pour m'en faire une amie.

Elle m'a semblée vouloir rivaliser avec moi et mettre en avant ses non-talents de femme d'intérieur, en particulier côté cuisine.

Nous ne nous sommes pas pris la tête et avons acheté des boîtes de taboulé, de rissotto et même de couscous.

Elle avait apporté une cagette de pommes de terre et de tomates, et, plein de viandes pour le barbecue, et plein de boissons sucrées pour ses gamins, et plein de trucs sucrés également.

D'emblée, elle a déclaré ne pas aimer les boîtes...

Booonnnn....

Elle a fait la boudeuse lorsque j'ai proposé le risotto.

Elle a fait la boudeuse lorsque nous avons voulu faire trois courses au supermarché et non pas à l'épicier du coin.

Quant aux poulets, elle a déclaré à O, mon copain, qu'on devrait nettoyer le four, sous entendu qu'elle ne le ferait pas!

Elle a fait une moue de mépris lorsque j'ai proposé le taboulé en boîte avec le poulet rôti et s'est décidée à faire des spaghettis qu'elle s'est empressée de servir à ses gamins sans même leur donner le choix des plats.

P. a commencé le dîner avec le taboulé, elle a refait la tête et lui a fait remarqué que "d'habitude" il aime les spaghettis avec le poulet. En fait, elle aurait aimé qu'il laisse le taboulé de côté pour ses pâtes à elle.

A Ambert, après le marché, indécision, hésitation: on pique nique ou on se fait un resto?? Pique niquer ben pourquoi pas mais où? avec quoi ? et en plus nous n'avions aucun couvert...

Elle a fait la tête à son fils parce qu'il n'avait pas pensé prendre un couteau avec lui...

Ha ! L'idiot! Il aurait du deviner que sa mère voulait un pique nique !!!

Nous avons décidé d'aller au resto. Elle n'en avait pas envie...

Et les gamins !!!

Le pompom !

Aucun savoir vivre...

Aucune culture....

Le grand de quatorze ans est un mollusque vivant qui passe ses journées vautré devant la télé ou un film.

Il adore les films d'horreurs voire gore sans même en comprendre le sens.

Le petit de cinq ans ne cesse de parler, de se mettre en avant, de faire l'intéressant et de mentir aussi.

O. la trouve "gourde" et ses gamins de vrais boulets, c'est dire..

Lui qui est plutôt cool m'a étonnée, je ne l'aurais pas pensé si dur.

Nous n'avons pas envie de la revoir...

Le trajet de retour a été aussi long que l'aller.

Je retrouve avec plaisir une connection internet de qualité car l'iphone c'est hyper pratique mais bon c'est lent ...

28 août 2009

Calor, calor...

Et je fume encore...

Troisème cigarette de la journée...

Il doit bien faire 36° dehors au soleil.

Pas envie de bouger avec cette chaleur...

Derniers jours de vacances avant de reprendre le boulot...

J'ai encore plein de bouquins à lire.

Dernier jour de prêt, faut que je le renouvelle par le net.

Nous sortirons plus tard...

Ou pas...

Selon l'heure de réveil de la sieste...

Y'a une mouche qui m'embête !

Publicité
Publicité
3 septembre 2009

Mon job...

J'ai commencé tard à travailler.

A l'âge de 37 ans pour être précise.

C'est dire combien j'étais pressée !

Mais c'est tout aussi bien.

Mieux vaut tard que jamais.

J'ai réussi, durement, à obtenir un diplôme d'Etat d'assistante sociale  il y a une bonne dizaine d'années.

Mais juste après l'avoir obtenu, je me suis demandée si j'étais vraiment faîte pour ce métier.

Et donc, je me suis accordée une année sabatique qui a duré...

Je ne ferais pas ce job toute ma vie...

J'aspire à vivre plus de créativité.

Ce qui me manque cruellement aujourd'hui.

J'ai le sentiment de tourner en rond, de faire du sur place.

Et les malheurs des autres finissent tôt ou tard par user lentement mais sûrement l'optimisme et la motivation.

Et puis, j'en ai un peu assez de rentrer chez moi l'esprit rempli de toutes ces vies usées avant l'heure par un système qui au fond ne leur veut pas du bien car ces vies ne sont pas "rentables".

Mon job consiste plus à contrôler qu'à aider vraiment.

On remplit de vide et d'injonctions contradictoires des vies éprouvées par la desespérance de la pauvreté ou du malheur...

Il faut faire ci, il faut aller là...

Il faut avoir un projet !

Mais comment peut on avoir un projet quand on n'en a pas les moyens, quand on n'en a jamais eu ???

Ben... Faut quand même en avoir un !!!

Surtout pas d'état d'âme !!!

Faut que je devienne un robot !

12 septembre 2009

Un samedi tranquille...

Il fait beau et bon.

Je grignote le restant des biscuits apéritifs d'hier soir.

Il bricole les rotules de sa voiture avec le voisin.

Je me balade sur la blogosphère.

Je vais faire toute la vaisselle du repas d'hier soir.

Ma tarte salée à la tomate était un peu cramée.

Il reste du salami et du gâteau frangipane poire.

Il reste aussi du vin rosé et du vin rouge de Corse.

J'étais un peu pompette hier soir.

Et il parait que j'ai ronflé cette nuit...

13 novembre 2009

La place des hommes

J'en ai connu.

Des hommes.

Dès l'âge de 16 ans.

Des histoires d'un soir comme des histoires qui ont duré.

J'ai quitté comme je me suis fait quittée.

A chaque fois que j'ai été amoureuse, ça n'a pas duré.

Peu de réciprocité des sentiments.

C'est étrange.

Mes plus longues histoires m'ont assez rapidement ennuyée.

Car la vie quotidienne use le désir et la passion.

Celui qui partage actuellement ma vie est bien un ado attardé.

Qui laisse traîner ses affaires.

Qui ne s'occupe guère des tâches ménagères.

Et encore moins de la paperasse.

On s'entend plutôt bien ensemble.

On rit des mêmes bêtises.

On se parle beaucoup.

Mais je ne le désire plus.

C'est bête...

18 novembre 2009

Humeur massacrante

Depuis lundi.

La vie du bureau m'exaspère profondément.

Je me rends bien compte que ça ne va plus.

A de rares exceptions, je m'éloigne de mes collègues.

Je trouve l'ambiance mortellement maussade.

Le déjeuner fut lugubre au possible.

Aucune discussion.

Aucun partage ne serait que du beau temps et de la pluie.

Rien !

Le néant total !

Tout le monde s'observe manger en catimini.

Pathétique !

Alors dès mon repas terminé, je m'échappe.

Et désormais, j'irais déjeuner ailleurs.

Loin de cette monotonie...

Loin de ces regards en coin...

Loin de toute cette pesanteur...

25 janvier 2010

L'ennui au travail...

C'est fatigant !

Cette semaine va être calme en rendez vous.

Jusqu'à aujourd'hui, j'en avais seulement deux de programmés.

J'en ai rajouté un troisième pour jeudi matin.

Une dame est venu à l'improviste.

Elle vient toujours ainsi.

"Tu es gentille" dit-elle.

Mouais...

J'aime pas trop qu'on me dise ce genre de trucs car ça me gêne toujours, que cela soit sincère ou pas d'ailleurs.

Bon...

Ça tombait bien qu'elle soit venue.

 Je voulais la voir.

La très bonne nouvelle c'est qu'elle a obtenu un logement grâce à la loi DALO.

Elle vit avec son fils de huit  dans une chambre meublée d'environ 11m2 d'un hôtel pourri.

Tenu par un marchand de sommeil.

Les toilettes et les sanitaires sont collectifs et situés à l'extérieur.

J'avais la crainte que son dossier soit rejeté.

Mais non !

J'avoue que j'avais fais un rapport décrivant son triste parcours et les conditions actuelles de son logement, de la manière la plus neutre possible mais tout de même très en sa faveur au final.

C'est un peu contradictoire non ?

C'est là, toute la question de mon job.

Comment faire passer, à celui qui décide, un message favorable à l'autre sans pour autant larmoyer et être partiale ?

Je décris peu les émotions ou les sentiments des gens exceptés lorsqu'un évènement le nécessite tel qu'une grave maladie ou encore un décès.

J'écris un premier jet.

Je me relis.

Je rature.

Je réécris tout.

Jusqu'à ce que le texte me convienne.

Je peux passer deux heures pour une demi page d'avis motivé.

Mon texte doit être explicite et compris dès la première lecture.

Tout se décide en quelques minutes.

Et sinon?

Soirée devant Star Wars.

Parce que Sarko, non merci !

15 février 2010

Dans quel état j'erre ?

Dernier jour de congé.

Profiter de ces derniers moments de solitude.

Revoir le bleu de ses yeux ?

Non.

Pas envie pour le moment.

Pourtant, il est tout à fait charmant.

Et nous avons plusieurs points communs.

Mais je ne sais pas si j'ai vraiment envie de le revoir.

Ça me rend perplexe d'être comme ça.

Il m'a bien fait comprendre qu'il aimerait poursuivre notre rencontre.

Serais je blasée ??

Ou alors, je n'ose pas me laisser porter par les évènements.

Par mes émotions.

Pfffouuuuuu...

C'est chiant !

28 mars 2010

C'est la fin...

D'une histoire.

J'ai eu comme un déclic hier.

Arrêter.

Tout arrêter.

Avec lui.

Marre de le voir vautré sur le canapé.

Marre de devoir faire sa paperasse.

Marre d'assumer la majorité des tâches ménagères.

Marre de lui tout simplement.

Il est resté silencieux.

Je me suis sentie soulagée.

Libérée.

Il partira dès qu'il aura trouvé un logement.

Quand ?

Je ne sais pas...

31 octobre 2010

Et donc ?

Bon...

Rien de fabuleux..

Rencontre sympathique.

Nous avons beaucoup discuté ensemble.

Mais rien ne m'a donné envie de plus.

Pour le moment.

Nous nous sommes revus aujourd'hui.

Nous avons encore discuté à bâtons rompus.

Nous avons de nombreux points en commun.

Mais est ce que cela suffit à construire une relation ?

Il veut encore me revoir.

Moi...

Je reste perplexe.

Je le reverrais encore une fois et je déciderais....

J'essaie de garder mon esprit ouvert.

De ne pas m'arrêter à la première impression.

Mais je suis dans l'attente.

J'ai envie d'être surprise.

D'être bousculée.

Et, pour le moment, je ne le suis pas.

Sans doute est ce trop tôt....

17 mars 2011

J'ai le droit !

Les bribes d'une conversation téléphoniques me reviennent en mémoire.

Suite au rendez vous avec une jeune mère de famille, je prends contact avec le service solidarité pour l'énergie.

Elle a déjà bénéficié d'une aide financière l'été dernier.

150 euros pour une facture de 750 euros.

Il lui restait donc à devoir 600 euros.

Elle n'a versé que 185 euros à la fin de l'année dernière.

Et depuis, rien !

Alors, évidemment, sa facture est énorme, quasiment 1000 euros.

Elle ne pourra donc pas avoir d'aide.

Car pour en bénéficier à nouveau, il faut avoir soldé sa dette.

En plus, une coupure est en cours de programmation si elle ne paie pas au moins la moitié de la facture.

La trêve hivernale étant terminée depuis le début du mois.

Je l'appelle pour l'en informer.

Elle ne veut pas comprendre.

"J'ai le droit d'avoir une aide!" clame-t-elle !

Bien sûr, elle a le droit de demander une aide, autant d'aides qu'elle le  souhaite d'ailleurs.

Sauf que...

Rien ne lui sera accordé.

Absolument rien du tout !

Ce n'est pas parce qu'on est pauvre qu'on est irresponsable !   

10 août 2011

Images

J'ai un appareil photo numérique.

Je l'ai dans mon sac. 

Je l'ai pris.

J'ai photographié des trucs sans grand intérêt.

Autant l'avouer.

Histoire de ramener des images de mes balades.

Ce matin, je me suis réveillée vers 9 heures et demie.

Après m'être endormie à 3 heures du matin devant des clips musicaux.

Je croies que le meilleur moment pour visiter Paris serait de se lever très tôt et de profiter de la fraîcheur du matin.

Passé une certaine heure, les rues sont envahies de touristes.

Le parvis du Sacré Coeur ressemblait à un jour de manif disparate.

Anglais, italiens, russes, chinois, hollandais et pleins d'autres encore, posant devant pour immortaliser ce si précieux instant de leur séjour à Paris.

Paris est finalement une ville comme une autre.

Où l'on peut se perdre.

Durant des heures.

D'autant plus si l'on erre sans but précis.

Ce qui est un peu mon cas.

Paris n'est pas une ville faite pour moi.

Trop grande.

Trop peuplée.

Epuisante !

10 janvier 2010

Incroyable !!

Hier, en discutant d'une chose et l'autre, on en vient à parler de Pékin Express.

Je ne regarde pas ce programme.

Car la compétition n'est pas mon trip et encore moins celle où on manipule plus ou moins les candidats.

Bref...

On discutait des candidats de l'année dernière.

Et on me parle de deux jeunes: Sébastien et Hocine.

Sympathiques jeunes gens qui ont participé dans l'espoir de gagner de quoi mettre en oeuvre des actions pour leur association humanitaires.

Hé bien, il se trouve que je connais Sébastien.

Je l'ai suivi dans le cadre de son parcours d'insertion.

Je n'en suis pas revenue !!

Mais, au fond, je ne suis pas si étonnée.

Il est passionné par son projet, toujours plein d'idées mais de là à participer à cette émission ?!

INCROYABLE !!!

18 août 2011

Bye Bye Paris !

Je rentre chez moi.

Dans la chaleur étouffante du sud.

Dans laquelle mes plantes attendent assoiffées.

Je retiendrais, de cette ville, ses grandes avenues qui lui donne un aspect impersonnel.

Les pas pressés dans le métro, jusqu'à courir, pour ne pas rater la rame.

Et le coût élevé de la vie quotidienne.

Le seul bienfait c'est d'avoir marcher

Ce qui m'a donné envie de faire des randonnées.

Dans la nature.

Paris restera pour moi une ville de passage.

Je ne me vois absolument pas y vivre.

J'aime trop ma charmante petite ville pleine d'étudiants aux places ombragées par les platanes où il y fait bon siroter un café.

Au fond, voyager juste pour voir tel ou tel monument ou même musée ne m'a pas apporté un réel intérêt.

Mon Dieu !

Je dois sembler totalement désabusée !

Demain déjeuner en famille.

Et soirée entre nanas.

Et dix jours encore à buller...

Ma connexion Internet sera-t-elle revenue ?? 

20 août 2011

Encore fatiguée...

Soirée entre filles hier soir.

Alcool, bouffe...

Et surtout beaucoup de blabla.

Sur le travail.

J'en ai appris de belles.

Sur le crétin qui nous sert de chef, sur ce que subit une collègue avec laquelle je n'avais jamais vraiment discute auparavant.

Conclusion de cette soirée: ça va être chaud au bureau a la rentrée !

Et je n'ai toujours pas d'Internet.

Je bidouille ce texte de mon mobile...

La chaleur devient lourde.

Envie de rien.

30 août 2011

Faudrait peut être...

Que je file dormir.

Au lieu de planquer sur le net.

Demain, reprise des allers et retours sur le chemin du travail.

Réveil programmé pour 6h30.

Cette semaine de reprise sera courte.

Je suis en rtt ce vendredi.

Je veux savoir à quoi ressemblent nos nouvelles collègues.

Je suis en retard pour le loyer d'août.

Je n'ai pas sommeil.

1 septembre 2011

Effervescence

Aujourd'hui, au bureau, avec l'arrivée de deux nouvelles recrues.

Le crétin de chef a fait son "kéké" en les baladant dans les quartiers ce matin.

Sans prendre la peine d'organiser l'accueil des rendez vous prévus.

Une collègue a refusé de prendre son poste à l'accueil.

Sa cadre a organisé une mini réunion.

Sans plus.

A sa place, je lui aurais clairement rappeler que refuser est une faute professionnelle.

Elle a refusé simplement parce que mardi, sa cadre lui a demandé de prendre le standard.

C'est à ce moment là, je pense qu'elle aurait du refuser et demander une clarification de l'organisation et des fonctions de chacune.

Les fiches de poste sont tellement maigres en terme de fonctions à exercer qu'on ne connait pas exactement les tâches à exécuter.

C'est dire l'absence de réflexion de la direction !!!

Ma courte semaine de travail  m'a largement suffit ! 

2 septembre 2011

La lie de la société ??

Mouais...

En réponse à un commentaire, j'écrirais que je ne suis pas sans cesse avec la "lie" de la société.

En aucun cas, je ne considère que les gens, que j'écoute et tente de soutenir, sont des "déchets" de la société.

Si j'exprime ici ce que je ressens de certaines situations que je vis professionnellement c'est pour me soulager et non pas tant pour "descendre" ces personnes.

Et si mes réactions sont parfois virulentes c'est parce que je suis à saturation avec certains qui ne veulent, ou ne peuvent, prendre conscience de leur capacité à se débrouiller seuls, alors qu'ils sont tout à fait en capacité de l'être.

Oui, chacun a une histoire de vie faite de hauts et de bas.

De beaucoup de bas et de souffrance pour un grand nombre, hélas...

En particulier lorsque ces personnes ont toujours vécu dans la pauvreté.

Dans le mépris d'une certaine partie de la population qui se croit matériellement à l'abri.

Le monde n'est pas délabré, il est injuste.

Simplement injuste.

6 septembre 2011

Une angine ?

Douleur...

Pschiit !

Cigarette ?

Allez ?!

Une dernière...

La quatrième.

Faudra que je pense à un pschiiit avant d'aller dormir.

Ce matin une heure et quart pour aller au bureau...

Une demie heure de plus dans les bouchons...

La collègue (la pingre!) a bien acheté une boite de sucre, une boite premier prix discount. 

Cette après midi, elle a tenté de jouer la peuchère auprès de la sous chef blonde.

Pour un dossier chiant de la collègue absente depuis un moment dont on attend un hypothétique remplacement.

J'ai bien senti à son expression orale, limite geignarde, qu'elle ne voulait pas du tout assumer le suivi de cette situation.

La sous chef blonde a repéré son jeu et l'a recadrée fermement mais en douceur.

Ce matin, elle se plaignait du fait qu'elle ne pouvait accéder au bureau qui lui est dédié pour les rendez vous, pour cause de travaux d'embellissement en cours.

Elle est malvoyante.

Et vas y qu'elle fait sa peuchère avec moi !

Sous prétexte que je suis déléguée du personnel, elle s'imagine me manipuler pour que j'en parle au crétin de chef.

Que nenni !

Et elle recommence une heure après !

Je lui ai dit qu'elle n'avait qu'à se plaindre directement au chef.

Elle a alors répondu : "Mais... je ne suis pas en train de me plaindre !".

Ha boooon ???

J'avais cru !!

Hou ! La ! La !

Quelle lâcheté !!

Ce n'est pas la première fois qu'elle agit ainsi avec moi.

Je la laisse faire un moment.

Et je la recadre !

Et elle fait sa petite mine de petite fille capricieuse et incomprise et totalement frustrée.

Pfffouuuuuu....

Il parait que l'angine serait l'expression psychosomatique d'une angoisse ??

Ouille !

Un petit pschiit et ça ira bien comme ça !

27 octobre 2011

Besoin intense de légèreté

Cette journée de travail s'est achevée sur les pleurs d'une de mes collègues.

Encore des pleurs...

Elle ne restera pas.

Elle aurait pu suite à la démission d'une autre collègue.

Le crétin de chef lui a fait des reproches, sans réel fondement, sur son travail.

Histoire de l'humilier.

Nous avons appris que la mère de cette jeune collègue avait un poste local dans un parti.

J'imagine que ça a fortement déplu au chef.

Pour ce qui est d'une action collective, je sens que ça va finir en gros flop.

J'attend de voir.

Misanthrope.

C'est ce qu'en déduit C. quant à mon attitude envers les autres.

Ben oui.

Vu l'hypocrisie qui régne au bureau, y'a de quoi le devenir.

Je suis fatiguée.

J'aurais bien aimé allée voir PHOTOQUAI à Paris.

Mais je n'ai plus un radis !

11 novembre 2011

Petites et grandes lâchetés

Alors ?

Mardi : la deuxième journée de formation fut tout aussi laborieuse que la première.

Mercredi : j'ai eu la réunion de prévention des risques avec le vieux chef et le crétin de chef.

Ben...

Ils sont supers crétins tous les deux !

Le grand FLOP !

Jeudi : ma collègue C. est vraiment lamentable de lâcheté.

Elle craint les conséquences d'une action collective si cette dernière a lieu.

Elle a peur d'être licenciée.

Pffftttt !

Il serait malvenu de la part d'un employeur de licencier plusisurs salariés en même temps alors qu'ils n'ont commis aucune faute. 

Aucune dignité !

J'ai été très claire avec elle lorsque nous en avons discuté à la pause déjeuner.

Je n'agirais pas sans accord officiel écrit de la part d'un ou plusieurs salariés.

Marre de m'en prendre plein la tête à la place des autres sous prétexte que je suis déléguée du personnel !

Et s'il ne se passe rien sur le plan collectif, qu'elle ne vienne pas pleurer si le débile de chef vient à s'en prendre à elle de manière directe ou non.

J'ai doucement commencé à prendre mes distances avec elle.

Je pense qu'elle l'a compris.

Alors, elle essaie de se tourner vers d'autres.

Grand bien lui fasse !

Tout ce tralala me gonfle au plus haut point.

En fait tout le monde espère qu'il y aura un nouveau clash.

Pour enfin se décider à agir.

Pffffouuuuu.....

Bon...

Passons !

Je suis en week end !!

22 novembre 2011

Épuisement neuronal intense

Mon esprit et mon corps sont fatigués.

Très fatigués...

Je rentre du travail complètement vide d'énergie.

Je crois bien que je ne suis plus en mesure de résister très longtemps.

Au fur et à mesure que le temps passe, la mobilisation diminue.

Et la lâcheté grandit.

Je m'isole.

Et j'attends que chaque journée de travail s'achève très vite.

Publicité
Publicité
<< < 10 20 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 > >>
Secrètes Pensées
Publicité
Visiteurs
Depuis la création 22 557
Publicité