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Secrètes Pensées
26 février 2017

J'avais le blues...

Vendredi après-midi.

Après le déjeuner en famille.

Dans un restaurant pseudo gastronomique assez cher et pas bon.

Cher sans doute pour rembourser la déco.

Je n'avais rien à leur dire.

Les discussions sont restées, à mon goût, superficielles.

J 'en ai marre du superficiel.

Ma mère n'a cessé de se plaindre du con de beau-père.

Pfffouuuu...

Qu'est-ce qu'elle peut être agaçante avec ça !

J'ai craqué.

Je refume...

Bof !

Un bout de la décoration du restaurant

Déco du restaurant

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7 mars 2017

Mais pourquoi fait-il froid ?

Alors que je suis en congés ??? 

Le mistral n'a pas arrêté de souffler depuis plusieurs jours.

Pffffouuuuu !!!

M'obligeant à rallumer l'unique radiateur électrique.

Je me réchauffe d'une infusion aux fruits rouges.

Ma boîte mail est inaccessible...

J'y retournerais plus tard.

J'ai un bouton à recoudre sur une veste de couleur noire.

Et j'écoute France Inter.

9 août 2009

Un dimanche comme un autre...

Réveillé tôt...

Trop tôt...

Par une douleur sourde au bas du dos...

Cela fait un moment que je suis réveillée par cette douleur et que je me lève raide comme un piquet .

Je ne pratique aucun sport donc je suis "flasque" .

Je ne peux plus courir.

Je ne peux pas faire de vélo alors que j'adorais ça.

Je peux à la rigueur faire de la marche mais sur une courte distance et sans poids.

Ben...

Je pourrais faire de la gym chez moi...

Mais je suis d'une paresse sans nom...

Je vais finir toute ratatinée.

Avec un potentiel cancer tant qu'à faire !

Et sinon?

Je n'arrivais pas à dormir hier soir.

J'ai lu deux romans d'affilée :

"Lumière noire" de Didier DAENINCKX : pas mal du tout !

262932_2733027"Une patrouille de police tire sur une voiture, à Roissy-Charles-de-Gaulle, tuant le conducteur. La bavure est manifeste, mais le climat créé par la vague d’attentats terroristes qui secouent alors Paris pousse les différentes hiérarchies à travestir la réalité.

La raison d’État se substitue à la recherche de la vérité. Le passager de la voiture, Yves Guyot, tentera de lutter contre l’évidence imposée. Pour cela, il devra aller jusqu’à Bamako, à la recherche du seul témoin du crime, l’un des cent un Maliens parqués au dernier étage d’un hôtel de l’aéroport, juste avant leur expulsion par charter."

Et

"Remington" de Joseph INCARDONA : prenant !

Incardona_Remington"REMINGTON, Philo : industriel américain resté célèbre pour ses carabines à chargement par la culasse et ses machines à écrire fabriquées, pour la première fois, en série.

A coups de poings déterminés, les doigts pleins d’encre, le doux Matteo Greco est résolu à ne pas se laisser prendre au piège de la médiocrité. Chômeur un jour sur deux, écrivain, vigile et boxeur le reste du temps, il a confiance : il a du talent.

Un soir, à l’atelier d’écriture, il rencontre celle avec qui il veut tracer la route : Elsa, une femme un peu sauvage, orgueilleuse et extravertie, aussi déterminée que lui. Elle le fascine, il en tombe éperdument amoureux. Hélas, il a perdu de vue l’essentiel : il faut être deux pour aimer. Quand le roman d’Elsa, à la réécriture duquel il a consacré tant d’heures, paraît avec succès sans même qu’il en ait été informé, quelque chose casse. Elsa l’a trompé, Elsa l’a trahi. Elle lui a tout pris, tout volé.

Alors Matteo retourne à son entraînement. Pour sortir de sa petite vie minable, cette fois les doigts couverts de sang."

Quel plaisir !

C'est pas l'heure de l'apéro, par hasard ??

15 avril 2016

Mouais...

Dernière journée de travail plutôt tranquille.

J'écoute ma collègue parler de sa famille.

Son mari l'appelle et lui raconte des trucs.

J'entend le son de sa voix.

Il s'exprime nerveusement.

Elle me dit qu'il s'angoisse pour tout.

Lui qui ne prend aucune véritable responsabilité.

Exceptée celle de dépenser l'argent que gagne sa femme.

Je le qualifierai volontiers de "boulet".

Je m'abstiens de le lui dire.

Un égoïste de première.

Aimer l'autre signifie-t-il se sacrifier à ce point ??

Très peu pour moi !

Et zut !

Je suis envahie par l'odeur d'huile de friture du resto d'à côté !

Vite !

Fermer la baie vitrée.

Une dernière cigarette.

Penser à autre chose que la vie de bureau.

C'est le week end !!

Stéphanie Gonot

Photo © Stephanie Gonot

15 juin 2016

Demain

Je reprendrai le travail.

Pour une journée.

Juste ce qu'il faut pour planifier le mois de juillet.

Et j'enchainerai le vendredi sur une rtt.

Qu'en principe je ne devrais pas prendre puisque je sortirai d'un arrêt maladie.

Mais tans pis, elle est déja planifiée.

La semaine prochaine, je serais en congés.

Planifiés aussi depuis un mois.

J'aurais vraiment peu travaillé ce mois ci.

Pas grave !

Cela fait vraiment un bien fou d'être loin du stress généré par mon job.

J'ai enfin achevé la lecture d'"Ensemble, c'est tout" d'Anna Gavalda.

Un peu gnan gnan mais agréable et facile à lire.

Tiens ! 

Je vais regarder "Les nouveaux sauvages".

Depuis le temps que je me dis que je dois absolument le voir.

Un film un poil délirant et surtout décalé voire même déjanté comme j'aime !

Les Nouveaux Sauvages

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5 mars 2017

Palpitations

Hier, j'ai oublié de prendre le petit comprimé en forme de coeur.

Allez ! Hop !

On avale le bétabloquant !

Tout en écoutant Interception en replay.

J'ai le sentiment que l'europe prend peu à peu une couleur brune.

Gros gros BEURK !

Les médias ne parlent que des élections présidentielles à venir.

Pour qui voter ??

Pas pour les extrêmes.

Pas pour Macron.

Une vraie girouette !

Qui ne pense qu'à lui, qu'à laisser son nom dans l'Histoire.

Un égocentrique de première.

Comme beaucoup hélas.

Et Fillon ??

POUBELLE !!

Tout comme la Marine !

Bon.

J'ai lu "Le lien" de Laurent Mauvignier.

Bof !

Un dialogue entre un homme et une femme qui se sont aimés et puis se sont séparés.

Qui se retrouvent 30 ans après.

J'ai pas aimé.

Pas du tout accroché au style d'écriture.

Un peu confus, alambiqué.

J'ai commencé la lecture d'un recueil de nouvelles " Les petits contretemps" de Gaëlle Héaulme.

"Et si un jour nos pulsions, nos pensées les plus noires, celles qu’on réfrène d’habitude, se transformaient en actes ? On n’hésiterait plus à se débarrasser de nos bébés pleureurs, ni à faire taire définitivement celui qui depuis vingt ans nous empêche de boire tranquillement notre café le matin.

Les Petits Contretemps, ce sont ces moments de basculement, où tout change soudain de couleur, de rythme. Ces récits sont des instantanés, des « vignettes », plutôt que des nouvelles. Ils nous plongent en quelques phrases, avec un style presque cinématographique, dans un univers noir ; là où devraient se jouer des situations ordinaires. Le couple, l’enfance, la maladie, la perte… Autant d’occasions de fixer avec une cruauté jubilatoire ces instants où tout peut déraper : un homme quitte sa femme, mais celle-ci lui présente sobrement la liste des choses à finir avant d’aller refaire sa vie (réparer le lave-linge, changer les pneus du scooter, régler le problème des fuites...) ; un père divorcé essaye en vain de passer une journée normale avec sa fille ; le soir de Noël, une femme reconnaît en un clochard assis sur un banc celui qui l’a tant fait souffrir...
De même qu’un ciel radieux peut augurer la tempête à venir, une journée en apparence comme les autres peut révéler d’étranges surprises."

J'adore !

Je recommande donc ce recueil à ceux qui aiment les nouvelles.

Le soleil est revenu.

Quel bonheur !

10 mars 2017

Le passé nous façonne

Bien plus qu'on ne le voudrait.

Ce matin, le psy a déclaré que je semblais indifférente quant aux origines de ma famille.

Origines ou histoire, je ne sais plus.

Ma soeur nous avait montré, lors du déjeuner au restaurant, deux photos une de mon père et une de ma mère du temps où ils étaient plus jeunes.

Photos tirées d'un des albums qu'elle conserve.

Je me suis posée la question du pourquoi nous montrer ces photos.

J'ai répondu au psy que le passé est le passé.

J'ai évoqué mon frère qui, lors d'un repas pour les fêtes de ce Noël, avait dit que mon père était un tyran.

Tyran dans le sens où nous devions nous soumettre à ses injonctions.

Je savais qu'il gardait un mauvais souvenir de notre enfance.

Mais pas à ce point.

La seule utilité de se retourner vers le passé est d'en comprendre nos actes présents.

Je sais que j'en garderais toujours des séquelles.

Je vis avec.

Martin Parr

11 octobre 2009

Et je lis....

"Le culte de l'amateur" d'Andrew KEEN.

9093

Internet et ses méandres les plus sombres...

Présentation de l'éditeur :

"Le Culte de l'amateur est un livre événement qui a fait débat dans la presse anglo-saxone. Andrew Keen y expose les rouages de la révolution Web 2.0 qui, de Wikipédia à YouTube et de MySpace à Google, met en péril l'existence même de nos médias traditionnels. Il décrit sans concession les répercussions culturelles et économiques du Web 2.0 : gratuité, violation de la vie privée et du droit d'auteur. Il dénonce la manipulation, la rumeur, la désinformation et la célébration de l'amateurisme au détriment de l'expertise. Selon Andrew Keen, nos valeurs, notre économie et notre culture seraient menacées par les millions d'amateurs qui, jour et nuit, œuvrent gratuitement derrière l'écran de leurs ordinateurs. Le Culte de l'amateur révèle aussi les aspects les plus sombres du Web 2.0, tel que l'anonymat dont bénéficient aujourd'hui les utilisateurs d'Internet qui permet aux voleurs d'identité et aux prédateurs sexuels de sévir impunément dans le cyberespace. L'auteur propose fort heureusement des solutions concrètes au chaos de l'Internet."

J'en suis à la page 65.

Instructif.

Du coup, je me dis que je devrais peut être cesser de m'EGO - siller sur ce blog.

Parce que la blogosphère est l'apologie du MOI, du JE, du REGARDEZ MOI, du ADMIREZ MOI et du un peu n'importe quoi...

Et qu'au fond, j'exhibe un JE d'une banalité affligeante.

J'ai toujours aimé les petits rien du banal.

N'empêche qu'Andrew KEEN a un site internet : http://thecultoftheamateur.com/ !

Certes, il n'y fait point un déballage de sa vie privée...

15 janvier 2015

Repos

J'ai posé deux jours de congés annuels collés à une rtt.

J'avais rendez-vous hier matin avec le chirugien.

Pas eu envie d'y aller donc rendez-vous annulé.

Je me suis levée tard.

Sortie rapide pour deux courses sans importance.

Soleil.

Clope.

Musique.

Ma mère qui m'appelle et me demande si tout va bien.

Parce que mon beau père a vu ma voiture sur le parking.

Oui.

Tout va bien.

Elle angoise.

Toujours cette crainte qu'il m'arrive quelque chose de malheureux.

C'est déjà fait !

Elle veut qu'on balade ensemble.

Pas du tout envie.

Envie de rien.

Lecture du moment : Babylone Dream de Nadine Monfils

couv-babylone-dream

30 décembre 2016

Il m'agace profondément

Hier soir, l'ex amant m'envoie un texto 

Je sais d'avance ce qu'il veut.

Il est tellement prévisible.

Il me demande ce que j'ai prévu pour le réveillon du 31.

Il me propose un apéro.

Quelle originalité !

Non.

Je n'ai pas du tout envie de passer la soirée du 31 avec lui.

Je l'avais fait l'année dernière.

Dans un élan de pitié, je l'avoue.

La seule chose qui l'interessait alors, c'était de coucher avec moi.

Il avait tenté de m'embrasser alors que j'étais pompette.

Raté !

Pfffouuuuuu...

Le ciel est d'un blanc laiteux.

Il est bientôt midi.

J'hésite entre un plat de pâtes...

Ou juste du pain et du fromage ??

Et je bidouille les paramètres du blog.

Il manque le mot Amour dans le nuage de tags...

Mmmmm ??

"Cœur Noir" design by Rose Pink Moon / https://www.rosepinkmoon.com/

30 mai 2018

Chips et vin blanc

La vie s'écoule lentement mais sûrement...

La vie de bureau est loin d'être des plus stressante en ce moment.

C'est très bien ainsi.

Il faut dire que je prends de la distance.

Beaucoup de distance face aux difficultés que peuvent vivre certains.

J'aide comme je peux.

Parfois au-delà de mes fonctions professionnelles.

Ce que je ne devrais pas faire.

Mais comme l'a dit le psychologue, intervenant en analyse des pratiques, je suis citoyenne avant tout.

Je ne peux me résoudre à laisser certains allocataires dans la détresse.

Alors je donne.

Un peu...

Mais suffisamment pour ne pas les laisser crever de faim.

Question de dignité humaine.

Une collègue vit la tourmente du désamour, de la séparation imminente.

Il a déclaré ne plus avoir de sentiment.

Mmmmm ??

Elle nous en parle tous les jours.

Elle l'aime encore.

Nous l'écoutons.

Elle s'acharne à se trouver un nouvel horizon.

Une espérance...

 L'amour n'est qu'une illusion...

Il arrive toujours un moment où la réalité fait place à la déception.

Je crois que je n'aimerais plus jamais.

Photo © Lili Cube/Instagram

Photo  © Lili_Cube/Instagram

9 novembre 2009

Un simple lundi par ici...

Ce matin, j'ai enfilé un jean.

J'ai senti un bout de papier dans la poche arrière droite .

Donc, je regarde ce que c'est.

Youpi !

Un billet tout neuf de 50 euros !

C'est dingue ça !

Je ne me souviens plus du tout du quand et pourquoi j'ai rangé ce billet, sagement plié en quatre, dans la poche de mon futal.

Ca doit remonter à plusieurs mois..

Ma journée a été longue d'ennui.

J'en ai profité pour terminer la lecture de :

 " Trois femmes" de Boston TERAN.

teranRésumé du livre :

Le Bronx, année 60: Romain Leone, pur macho italien, vit de rapines sordides et le soir, tabasse sa femme Clarissa. leurs deux filles sont sourdes. l'une meurt à deux ans, l'autre reste l'unique pour la mère d'encaisser en silence. Puis le père passe à la livraison de drogues et utilise la petite Eve comme couverture. Affolée, démunie, Clarissa accepte l'aide de Fran Khul, allemande jadis torturée par les nazis qui la convainc de dénoncer son mari. Quand Romain sort de prison, Clarissa disparait...  

Mouais...

Je ne suis pas douée pour la critique littéraire mais bien qu'il soit d'une lecture fluide, il ne m'a pas plus emballée que ça.

Je vais relire les petites nouvelles d'Annie SAUMONT, " Noir, comme d'habitude".

Et un Sauvignon en apéro !

29 novembre 2009

Grisaille et mistral...

En ce dimanche, dans le sud de la France.

Je n'ai jamais été fan des dimanches.

Je ne sais pas pourquoi.

C'est un jour trop calme.

Je suis seule.

Il ne reviendra pas avant l'après midi.

Je vais commencer la lecture de 

Carver"N'en faites pas une histoire" de Raymond CARVER

Résumé : 

"Essais, critiques, nouvelles: ce patchwork publié après sa mort est aussi une autobiographie intellectuelle de Raymond Carver. On y découvre un écrivain curieux de tout, généreux dans ses admirations, féroces dans ses critiques à commencer par celles qu'il  s'adresse à  lui même. lecteur de hemingway, de Tchekhov, de Karen Blixen, d'Isaac Babel, Carver a réinventé l'art de la nouvelle. Il a rendu accessible à ses contemporains l'héritage des grands prosateurs européens du début du siècle et dressé la nouvelle cartographie émotionnelle de l'Amérique." 

J'avais lu 'Tais toi, je t'en prie", un recueil de nouvelles publié en 1976, où il décortique la vie quotidienne d'américains moyens.

J'avais beaucoup aimé.

Et si l'inspiration revient, je dessinerai...

28 janvier 2010

Rien à faire du tout.

Vraiment rien à faire en début de journée.

J'ai lu une bonne partie de la matinée.

Un roman policier dont l'intrigue se déroule en Russie.

L_epouse_inconnue

Résumé :

"Marcus Hoffmann, ingénieur et homme d'affaires danois d'environ 35 ans, est un hommes heureux depuis qu'il a rencontré Nathalie à Moscou, dix ans auparavant . Ils vivent au Danemark, et Marcus voyage beaucoup pour son travail. Lors d'un séjour à Nice; il est témoin d'une agression et son passé de soldat d'élite lui permet de sauver la vie de Victor, un Russe, et de faire fuir les deux malfrats. Victor lui jure une reconnaissance éternelle. Aussi lorsque, au cours d'une croisière fluviale en Russie, Nathalie disparait, Marcus, qui ne parle pas un mot de russe fait appel à Victor. Mais les informations que celui-ci va récolter grâce à de douteux agents ne vont guère faire le bonheur de Marcus. Car Nathalie n'est pas celle qu'il croyait..."

Un roman suffisamment prenant pour combler l'absence de travail.

J'ai même regretté de ne pas avoir apporter un autre livre car je l'ai très vite lu.

Déjeuner au bar du coin.

Avec N, qui m'a parlé de la reprise de ses études.

Elle prépare une licence en sciences de l'éducation.

L'idée de reprendre des études avaient, un temps, traversé mon esprit.

Mais je suis trop paresseuse pour consacrer plusieurs heures par jour à ça.

J'attends le week end avec patience.

Je serais enfin seule !

1 février 2010

Le petit bluff de l'alcootest.

C'est le titre du roman que j'ai lu ce matin.

Un roman de Jean Bernard POUY qui se lit très facilement.

POUYRésumé : "Parce qu'un pépé, une nuit, ramassé par les gendarmes avec plus de 2 grammes dans le sang ramassé par les gendarmes  raconte que ce sont des satanistes qui lui ont fait avaler tout cet alcool, Armand, grand rocker devant l'éternité correspondant  local d'un quotidien breton, se lance, avec un sens inné du binaire, dans une enquête aussi absurde que dérisoire. C'est qu'il s'en passe des évènements dans cette contrée oubliée par le mouvement général. Armand va apprendre, à ses dépends, qu'on ne s'improvise pas détective et qu'il ya loin du pireau  au Poirot."

Sur les quatres rendez vous de la matinée, trois se sont excusés.

Le quatrième a appelé dans l'après midi pour s'excuser aussi.

Et dans l'après midi, toute aussi calme, j'ai commencé la lecture d'un autre roman.

MariaRésumé : "Maria, trente et un ans, est une actrice de seconde zone à Hollywood. Son mariage s'est soldé par une divorce et sa petite fille de quatre ans est internée. Pour oublier pour s'évader, elle sillonne dans sa Corvette les routes arides et sèches de la Californie. elle pleure souvent au volant, roules des heures entières, mais cette fuite ne mène nulle part. Le désert est partout. En quatre vingt quatre scènes brèves comme les séquences de cinéma, Joan Didion donne une version épurée et stylisée d'un certain cauchemar américain. "   

L'aridité des sentiments, la dureté des situations décrites laissent un goût étrange voire quelque peu aigre lorsqu'on referme le livre, ne serait qu'un instant pour très vite reprendre la lecture...

J'ai déjeuné seule.

C'était bien.

13 février 2010

Il a des yeux d'un bleu magnifique

Celui que j'ai rencontré il y a peu.

Nous discutions régulièrement de tout de rien sur le net.

Nous devions déjà nous rencontrer.

Il y a un moment.

Nous avons bu un café.

Et avons déjeuné ensemble.

Nous avons discuté une bonne partie de l'après midi.

Aucun blanc n'est venu pointer son nez.

Nous devons nous revoir bientôt.

Je ne sais pas ce que ça donnera.

Sinon, côté livre, j'ai commencé la lecture d'un roman.

"Vie et mort des plantes toxiques" de Louis SANDERS.

Louis_SANDERSRésumé : " Ils sont anglais. terriblement. Pour fuir les brouillards de Londres, ils ont élus domicile en Dordogne. Fuir le brouillard est une chose, fuir son passé en est une autre. Glauque, le passé. Il y a Sue qui couche par défi. Il y a Georges qui boit par dépit. Il y a les autres qui ne sont peut être pas ce qu'ils semblent être. Et puis, il y a Charles, odieux avecc affabilité, manipulateur par sottise, riche à en crever. Qui veut sa mort ? personne et tout le monde. Car la mort est au rendez vous de ce thriller - très British. Ponctuelle comme le thé ou le scotch de cinq heures. Dans ce Périgord noir - très noir - elle ratisse large, la mort. Et ce n'est pas Hackett, le jardinier débile mental, mais étalon de première, qui vous dira le contraire."

Vraiment bien écrit et prenant, comme j'aime.

C'est bientôt l'heure de l'apéro...

Vin blanc ou bière ??

Chips, c'est certain !

20 décembre 2010

C'est la vie...

Je devrais changer un peu ma playlist sur Deezer.

Je me demande si je ne vais pas finir alcoolique.

Ma journée a été chiante.

J'ai reçu un texto.

Mais je ne sais plus de qui ?!

Je regarde C dans l'air sur France 5.

Trois jours sans changer de vêtements..

Pathétique...

Que serait la vie de cette jeune irlandaise si elle était dans la rue ?

J'ai faim.

Je vais sûrement regarder Cold Case ce soir.

Et tenter de me coucher assez tôt.

Je crois que j'ai un bouton de fièvre au bord de la lèvre inférieure.

ça me gratouille...

J'ai commencé la lecture d'un roman policier.

Discount" Robby croit encore à l'amour. Il n'a vu Leïla qu'à la télé mais il est persuadé que la perdante de Star & Strass n'attend que lui. alors quand elle est de passage à l'hypermarché du coin pour une "standing promotion", il décide de prendre sa vie - et celle de Leïla - en main.  Dany, elle ne coirt plus à l'amour. Elle s'ennuie dans sa liaison avec le directeur de l'hyper et s'angoisse à l'idée de retrouver Tatoo, tout juste sorti après dix huit mois de prison. Pourtant ce type est censé être celui qu'elle aime... sauf que ce ringard a une seule idée en tête: braquer une banque.

Mais le braquage dérape et Tatoo n'a qu'une seule solution, se réfugier dans l'hypermarché juste avant la fermeture. Leïla fait partie des otages. Robby est prêt à tout pour la sauver et le huis clos vire au carnage."

Pas mal pour le moment.

J'en suis à la page 87.

C'est vraiment un plaisir de re-lire.

Au fond de mon lit avant de m'endormir.

Un petit Bergerac bien rouge pour accompagner mon repas.

Et hop !

Encore une rétrospective de ce qui a pu se passer cette année !

Qu'est ce qui va changer en 2011 ?

Qui peut savoir ??

28 janvier 2011

Je ne sais plus...

Ce que je voulais écrire.

En rentrant du travail, j'avais l'esprit plein de trucs à penser.

Je me remémore les situations rencontrées, éprouvées.

Je pense à ce qu'a dit un tel ou une autre.

Aux potins du moment.

Qui va remplacer ma sous chef blonde qui part très bientôt en congé maternité ??

Hé bien ?

Une autre sous chef blonde !!

Celle que l'on soupçonne de s'être quelque peu allongée pour monter en grade.

Celle qui est sans cesse dans une forme de séduction et en particulier avec les hommes.

Et le pire c'est qu'elle veut une adjointe !!

Alors ?

Il y a une autre blonde et une pseudo rousse ? ou je ne sais quelle couleur de teinture... qui ont postulé en interne.

Un poste de référent technique pour une durée de quatre mois.

Un poste que je qualifierais de bancale au possible, un poste "bâtard".

J'aurais aimé un regard neuf.

Mais non !

Pfffouuuu...

Nous avons bien ri avec ma collègue Chris lorsque qu'une connaissance de l'imbécile qui nous sert de chef, qui ne l'apprécie guère, nous a raconté que dans sa prime jeunesse, il volait des mobylettes !

Pathétique !

Encore plus pathétique cette dame d'une soixantaine d'année, très malade, qui ne veut pas quitter son logement considéré comme insalubre et inhabitable par la mairie.

Elle doit quitter son appartement le premier février.

Elle a reçu des propositions de logement par le conseil général.

Elle n'en veut pas !

Elle ne veut pas vivre dans une cité.

Elle a peur des ascenseurs.

C'est trop loin !

C'est pas ci, c'est pas ça !

Alors je me suis échinée à la convaincre que, dans sa situation, elle n'avait guère le choix.

Elle devait venir me voir cette après midi avec la liste de propositions.

Elle n'est pas venue. 

Elle refuse l'idée d'un hébergement d'urgence et préférerait être à la rue !

Mais bien sûr !!!

Rhaaaaaa !

Y'a un moment où j'aurais une terrible envie de la secouer pour qu'elle réalise dans quelle galère elle va se retrouver.

Mais comme elle ne vient pas me voir, je ne peux pas le faire !

Alors, je me dis ...

Tant pis !

Elle assumera son choix.

Et sinon ?

Une de mes collègue me gonfle !

Oui !

Elle ne se rend pas compte combien elle peut être comme ça, gonflante !

A vouloir sans cesse donner une image d'elle professionnelle et réfléchie avec un discours se référent à une pseudo philosophie, elle en devient très vite ennuyeuse.

Et je ne suis pas la seule à l'avoir remarqué.

Parce que, oui, je peux être d'une critique sévère mais ce n'est pas parce que je suis myope que je suis aveugle !

Je vais arrêter de râler...

J'ai commencé la lecture du deuxième roman de Claire CASTILLON "Je prends racine" 

castillonPrésentation de l'éditeur: "Jeune vieille fille de trente ans, Cécile Valette raconte son quotidien monotone avec lucidité, à la lumière de ses souvenirs d'enfance. Ses parents étouffant d'amour et de fierté, son patron absent, ses animaux de compagnie, brutus le chat et Caliméro l'oiseau, ses visites chez le vétérinaires, ses cours de gym, sa filleule qui grandit, et des petits riens, des manies, des habitudes. Mais il suffit d'un rien pour que tout s'emballe: une soirée organisée par la socité qui l'emploie, un amour contrarié, un dérapage de son patron pour précipiter le cours d'une existence qui piétine." 

Vraiment bien ! 

J'emprunterais ses autres romans en souhaitant y retrouver le même plaisir de dévorer les pages.

Une dernière cigarette... 

23 octobre 2009

Juste là

Je suce un bonbon à la menthe forte.

Le grand père de N. est mort.

Elle ne sera pas là lundi.

Blablabla durant la réunion.

Je suis en week end !

Penser à payer le loyer de sptembre.

Maman qui veut qu'on déjeune avec elle dimanche.

Pas du tout envie !

Je vais lire...

Berceuse"Berceuse" de Chuck PALAHNIUK.

"Quoi de plus inoffensif pour s'endormir qu'une berceuse tendrement lue le soir ? Rien à voir avec la mort subite du nourrisson, génératrice des pires
angoisses des parents penchés sur le souffle nocturne du nouveau-né. Le journaliste Carl Streator y verrait pourtant comme un lien, un je-ne-sais-quoi d'inexpliqué. Il y aurait un livre qui tue. Une comptine mortelle. En plein cœur des Etats-Unis. Un recueil pour enfants constitué de poèmes... Carl Streator en parle à son patron, lui en lit un extrait... et le voit s'affaisser devant lui pour ne plus se réveiller. L'enquête peut commencer. Combien de livres en circulation dans le pays ? Combien le savent et pour quel usage ? Quel pouvoir absolu pour celui qui en aura l'ultime possession !..."

Le week end s'annonce tranquille.

Mais venteux...

27 mars 2011

Dimanche d'un calme gris...

Le changement d'heure n'a pas eu d'impact sur mon sommeil.

Mon amant reste toujours aussi ennyeux dans ses discussions.

C'est le bazar sur mon bureau...

Pas envie de ranger.

Pas envie de grand chose en ce jour gris.

J'ai achevé, en une heure, la lecture de "Bifteck" de Martin PROVOST.

BifteckChez Plomeur, à Quimper, on est boucher de Père en fils. Dès sa puberté, en pleine guerre 14, Loïc et Fernande, développe un don très particulier, celui de faire « chanter la chair » – et pas n’importe laquelle : celle des femmes qui viennent faire la queue à la boucherie Plomeur, dans l’espoir de goûter au plaisir suprême. André assume gaiement et avec talent le devoir conjugal des absents partis au front. Mais l’armistice survient et les maris reviennent. Un matin, André trouve devant la boucherie un panier en osier avec à l’intérieur un bébé. Puis un deuxième, un troisième, un quatrième... sont déposés devant la porte. Du jour au lendemain, voilà André Père de 4 enfants et poursuivi par un mari jaloux décidé à lui nuire ! Afin de protéger la chair de sa chair pour qui il se découvre un amour infini, il décide de prendre la mer et de rallier les lointaines Amériques. En chemin, la remuante tribu échoue sur une île déserte…

Le roman se lit avec facilité mais la fin est un peu confuse. L'auteur utilise les métaphores pour  exprimer.... je ne sais quoi... une renaissance ou une fin ???

Et sinon ?

Encore une dizaine de jours de travail avant mes congés.

J'ai peu de rendez vous de prévus la semaine qui vient.

Tant mieux.

Bon...

Je vais faire un peu de ménage.

Ou fumer ?

29 janvier 2010

Pompette !

Je crois bien que je suis pompette !

Après avoir bu trois verres d'un Bordeaux blanc sec.

Ma journée a été longue.

Au point d'avoir lu deux romans.

"Il faut buter les patates" de Gérard ALLE.

Il_faut_butter_les_patates

"De cyniques producteurs de poulets et de porcs, de hauts fonctionnaires corrompus, des syndicats douteux, quelques molosses sans scrupules d'une part. D"autre part, des petits paysans fatigués de plier l'échine, quelques babas cool et autres marginaux. Le tout sur un fond de climat poisseux comme seule la bretagne sait en produire. Il n'en faut pas plus pour construire un trépidant "polar fermier". 

Un chouette roman sur les paysans d'aujourd'hui et sur les magouilles dans le milieu agricole. 

Vraiment très très bien.

Un style moderne qui accroche le lecteur.

Est ce réellement un roman policier ?

Je ne saurais dire....

Et j'ai aussi lu "Les allongés" de Charlie WILLIAMS.

Les_allong_s

Ambiance un peu trash.

Présentation : "Personne ne quitte Mangel, en tout cas pas en vie. Royston Blake est videur en chef au Hoppers Wine Bar & Bistro.  Il a une Capri 2. Bi et sait, quand il marche dans les rues de Mangel, que les gens le respectent. Mais on raconte désormais que Blake est un dégonflé, un pauvre type.  Sal elle même l'a entendu dire.  De plus, les frères Munton sont à ses trousses et la perspective de se retrouver à l'arrière de leur bétaillères  est pratiquement insupportable. Résolu à prouver qu'il n'a pas perdu son courage, Blake met en oeuvre un plan destiné à restaurer sa réputation de dur à cuire, à prouver qu'il n'a pas perdu son courage; à assurer à jmais son pouvoir de séduction sur les femmes et préparer son avenir aux côtés du nouveau propriétaires  un homme de l'extérieur - du Hoppers. Meurtres, mutilations et une tronçonneuse nommée Suzan  se mêlent dans ce premier roman stupéfiant et macabre qui marque l'apparition au sein de la littérautre noire britannique d'une voix drôle et brutale."

Lecture interrompue par un seul rendez vous.

Je suis enfin en week end !

J'espère que je pourrais faire la grasse matinée demain....

8 février 2010

Fumer tue...

Oui.

Je sais.

Mais le hic lorsque je ne bosse pas, c'est que je fume une double ration de clopes !

Parce que j'ai le temps de le faire.

Et que je n'ai pas besoin d'une autorisation.

C'est complètement nul !

J'essaie de me concentrer sur la lecture d'un essai.

"Le corps aujourd'hui" d'Isabelle QUEVAL.

IRésumé: "Un corps nouveau se dessine. longtemps vécu sur le mode de la souffrance, du mystère et de la mort, subi, le corps est depuis un siècle, l'objet d'une révolution.  Mieux connu grâce aux progrès de la médecine, expliqué, inventorié, il est entretenu et soigné, réparé et appareillé. Il n'est plus seulement le lieu du dépérissement et de la finitude humaine; l'attention qu'on lui porte - pharmacologie, chirurgie, génétique, bio et nanotechnologies, cosmétologie, diététique, sport - traduit autant le refus de l'idée de la mort qu'un nouveau type d'investissement identitaire. Maîtriser son corps, c'est assurer identité et destin. La responsabilité individuelle se décuple. Mieux vivre son corps devient être son corps, pour définir, à travers lui, un projet d'existence et de nouvelles représentations du temps."

Un essai à lire dans le silence pour en comprendre tout le sens.

30 octobre 2011

Pensées sur rien du tout...

Je me suis réveillée tôt.

J'ai traîné au lit.

J'avais oublié le changement d'heure.

Arrivé 11 heures, j'avais faim.

Plat de pâtes.

Le soleil brille.

Il fait bon.

C'est encore l'été.

2012...

Y'aura-t-il un réel changement politique ?

Une nouvelle vision socio-économique pour notre pays ?

Je n'en suis pas certaine.

Il faut que je pense à m'inscrire sur les listes électorales avant la fin de l'année.

Je vais commencé la lecture de : "La planète Bazar" d'Annie LEONARD.

La planète Bazar4ème de couverture : "Si toute la planète devait consommer ce que consomme un américaince n'est pas une planète dont nous aurions besoin mais de 3 à 5 planètes."

Ce constat a amené l'auteur à réaliser une video qui fait sensation sur le net : storyofstuff.com, déjà visionné par plus de 10 millions de personnes dans le monde!

 Ce livre percutant  dénonce avec vigueur les excès de la société de consommation. L'auteur explique en termes simples comment les "choses", nos T-shirts, nos ordinateurs, nos canettes de bière, etc. sont produits, transportés, consommés puis jetés... au détriment de notre environnement.

Le message est clair : nous avons trop de "choses" et la plupart sont nocifs. Après avoir visité de très nombreuses usines de fabrication et de traitement des déchets, Annie Leonard nous explique pourquoi il est plus économique de remplacer un poste de télévision que de le réparer, pourquoi le marketing nous incite à nous débarrasser des objets usagés même en bon état, dans quelles conditions travaillent les ouvriers haïtiens ou les mineurs congolais... Tandis que nous courons après de nouvelles choses sans qu'elles nous apportent le bonheur."

Crise environnementale majeure à l'horizon !

C'est effrayant...

J'ai décidé de moins consommer.

De faire attention à l'eau et l'électricité.

De bien lire les étiquettes et le prix des produits que j'achète.

Je sais bien que c'est peu comme gestes.

Au bureau, il y a un tel gaspillage d'énergie, de papier et d'eau.

Je constate que mes collègues ne se préoccupent guère d'économie.

Elles laissent couler l'eau à flot.

La lumière allumée lorsqu'elles sortent des bureaux.

Mettent la climatisation à fond.

Tout en ouvrant les fenêtres.

Certaines vont même jusqu'à se servir.

Elles emportent chez elles des ramettes entières de papiers.

Et elles impriment leurs petits coupons de réduction sur leurs heures de travail.

C'est toujours ainsi lorsque les choses ne nous appartiennent pas.

On en use et abuse.

Bon...

Je croies que je vais regarder "Moi, moche et méchant".

12 novembre 2012

Équinoxe

Fichue rentrée scolaire !

Qui encombre les routes de chauffeurs idiots, lents et inattentifs. 

Je suis arrivée au bureau avec 15 minutes de retard. 

Pas vue, pas prise !

Le seul rendez vous de la matinée s'est décommandé. 

Grève des cantines. 

Du coup, après avoir classer tout un tas de paperasse, j'ai lu. 

" Équinoxe " d'Arnauld Pontier. 

equinoxe-arnauld-pontier

Résumé : "Du haut de la fenêtre de son quatrième étage, Carine regarde les gens passer, traverser ce monde des vivants dont elle est exclue depuis l'accident qui l'a privée de l'usage de ses jambes et de la parole. Elle habite seule avec sa mère, toute de servilité et de culpabilité, qui lui demande quotidiennement si elle a besoin de quelque chose. Mais Carine n'a plus besoin de rien. Ce qui la ronge tout entière, c'est le désir, l'envie qu'un homme la prenne dans ses bras et lui rappelle tendrement, sauvagement, ardemment, qu'elle est une femme de chair vivante même si son corps est condamné à l'inertie et au silence. La relation qui s'ébauche, à distance d'abord, avec l'homme d'en face provoque l'irruption du dehors et de l'autre dans le monde clos de l'appartement.

Equinoxe est la poignante histoire d'un individu qui tente de se reconstruire par la transgression, par le fantasme, par la reconnaissance et la revendication progressives de ses besoins vitaux, de son droit inaliénable à l'espoir. Bien loin de tout discours conformiste ou rassurant, voici un très beau livre sur le handicap et la vie, sur l'orgueil et le dégoût de soi, sur l'imaginaire et la réappropriation du réel, sur le désir qui mutile ou libère."

Je l'ai lu d'un seul trait.

Prenant et déroutant. 

La fin du roman est assez inattendue voire brutale. 

Et nous comprenons, alors, que la rencontre n'a jamais existé.

Que son espoir de reconnaissance, de chaleur humaine, d'attention, de désir et de tendresse est resté vain.

Sauf dans l'imaginaire fantasmé de sa désespérante solitude... 

26 février 2013

Entre deux dossiers...

Je me replie.

Dans une bulle de musique.

Dans le roman du moment.

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Résumé : "Vous laissez un message à l'un de vos proches. Il ne vous répond que par mail ou par SMS. Vous ne vous inquiétez pas. Imagineriez-vous une seconde que ce n'est pas lui qui vous écrit, mais son bourreau, qui le tient séquestré, privé d'eau et de nourriture ? C'est pourtant le mode opératoire d'un tueur en série qui s'attaque à des jeunes femmes célibataires, endosse leur identité pour mieux les condamner..."

Un peu emberlificoté pour ce qui est de suivre les protagonistes. 

Mais se lit facilement.

Je me rends compte que je lis beaucoup au bureau et finalement assez peu chez moi.

Ce que j'aime, c'est lire avant de m'endormir.

Et lire au travail m'offre une échappée.

A la "misère" des gens que je reçois.

A la pauvreté des dicussions entre collègues.

A l'absence d'envie de travailler tout simplement. 

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