Pour ces derniers jours.

Mon état de santé semble s'améliorer.

Peut être un peu de stress.

Ma vie suit tranquillement son chemin.

Sans heurt.

Et c'est tout aussi bien ainsi.

J'ai la possibilité de faire une nouvelle rencontre avec un jeune homme de trente ans.

Mais bon...

Qu'attendre d'une relation qui ne serait basée que sur des moments de "fun sans prise de tête" ?

Rien de plus qu'une histoire superficielle.

Je devrais peut être m'en contenter, non ??

Ha non !

Je finirais par me trouver pitoyable !

Vers je ne sais où.

C'est une constante chez moi.

Hier soir, sortie resto entre amis.

Rien de croustillant à en retenir.

Les hommes ont papoté boulot.

Et les femmes, nous étions deux, de rien en fait.

De la vie et des projets de la demoiselle.

Ignorante de beaucoup de choses.

Elle aurait besoin de vivre seule pour devenir adulte plutôt que de se bercer d'amour.

Concernant mes amours, justement, il ne se passe rien.

Il se montre amoureux à mon égard.

Mais de mon côté, je n'arrive pas à ressentir de désir pour lui.

Ce qui est quand même un point de non dit entre nous.

Il vient de partir.

Je me sens partagée.

Entre bonheur de retrouver ma solitude et questionnement.

Hé oui !

Encore des questions !

Qui s'estomperont bien vite quand je reprendrai le chemin du travail mardi.

J'ai presque hâte de retrouver l'ambiance du travail !

J'ai donc rencontré F. 

Grand, poivre et sel, pas trop mal.

Deux heures de discussion autour d'un verre.

Guitariste passionné.

Avec le recul, un chouia "mou".

Sympa sans plus.

Je finirais par m'ennuyer avec un gars comme lui.

Et hop !

Son numéro à la poubelle.

Bon...

Hé bien...

Je crois que ce sera la dernière rencontre avant un bon moment.

Parce que, franchement, ça devient n'importe quoi comme conduite.

Qu'est ce que je peux espérer d'une rencontre via le net ?

Rien de valable au regard de mon expérience.

Et je fume.

Une dernière cigarette.

En zappant...

Pas sommeil du tout !

Oui.

Les cables de ma ligne téléphonique étaient simplement débranchés.

Dixit le technicien qui est venu à midi passé.

Charmant au demeurant.

Je retrouve enfin Internet !

Je suppose que le débranchement a du avoir lieu au moment où le restaurant d'à côté a lui été branché !

Sans Internet, j'ai lu et beaucoup fait la sieste.

Il fait une chaleur...

Qui immobilise toute envie d'action.

Cela ne m'a point empêchée d'avoir de nouveaux contacts.

Via le net avec mon nouveau forfait mobile.

Une rencontre est programmée pour jeudi.

Avec un homme de 43 ans, divorcé, deux enfants.

Nous avons discuté une vingtaine de minutes au téléphone.

Le courant est passé.

Reste à savoir si la réalité concrétisera le feeling.

Je reste lucide.

Quant au jeune parisien, le contact se perd...

Ce matin, je me sens très fatiguée. 

Hier, j'ai passé deux heures au centre Beaubourg.

A déambuler dans toutes les salles du musée.

Ensuite, j'ai donc rencontré J. le jeune homme de trente ans. 

Nous avons discuté trois bonnes heures, de tout de rien.

Et chacun est rentré chez soi simplement.

J'ai senti qu'il aurait voulu prolonger cette rencontre de manière plus intime .

Je n'en avais pas envie.

Nous resterons en contact.

Et...

Le temps passant, ce contact se perdra sans doute.

Je ne sais même pas si je vais sortir aujourd'hui. 

Je devrais faire un bilan de santé une fois rentréé.

Je me sens trop souvent fatiguée...

A Paris.

Où je dispose enfin d'une connexion internet.

Heureusement que ma vie ne tourne pas uniquement autour d'internet.

Sinon ce serait mortel !

Rien de particulier à raconter.

L'arrivée à la gare de Lyon envahie d'une foule de touristes et de parisiens stressés m'aurait presque donné envie de repartir aussitôt.

Ensuite faire la queue pour un ticket de metro.

Se trimballer les bagages dans les escaliers pour sortir du métro.

Pfffouuuu...

Je commanderais un taxi pour le retour.

Arrivée à destination, l'explication donnée pour repérer l'appartement était approximative.

Mais j'ai fini par trouver.

Totalement épuisée !

Rien à manger.

Rien à boire excepté l'eau du robinet.

Et pas du tout envie de sortir faire des courses.

Je ne sais même pas si je peux fumer dans l'appartement.

Et sinon ?

Ma vie amoureuse suit doucement sson petit chemin tortueux.

Il est amoureux de moi.

Je le sens bien.

Et je ne sais pas quoi faire.

Il a des comportements qui m'agacent profondément.

Et pour lesquels, je ne supporterais plus de les vivre au quotidien.

Faut vraiment que j'arrête de penser à ça et laisser faire les choses simplement.

Jusqu'à la prochaine déferlante de questions.

De cette rencontre.

Un blond au corps et au visage sec.

Nous avons discuté une heure.

De travail surtout.

Rien ne m'a donné envie de poursuivre cette rencontre.

Je pense que c'était réciproque.

Je n'avais pas envie de m'ouvrir à lui.

Je ne sais pas pourquoi.

Je n'ai rien ressenti du tout.

Et hop !

Effacé son numéro !

La journée de travail a oscillé entre action et paresse intense.

La réunion d'équipe m'a pris la tête.

Désorganisation...

Encore et encore...

La remplaçante blonde de la sous chef blonde qui se plaint de notre manque de coopération pour prendre les rendez vous d'une colègue absente.

A un moment donné, je lui ai carrément dit que personne ne l'avait obligée à prendre ce poste.

Non mais !

De toute façon, elle ne reviendra pas en septembre vu qu'elle entamera son congé maternité.

Trois salariés ne reviendront plus.

L'une s'en va vivre au Mali.

Un autre ira travailler dans un service hospitalier.

Et la troisième n'aime pas la manière dont est organisé le travail.

Elle trouve que l'ambiance générale manque de convivialité.

Elle a raison.

Pour ma part, il faut vraiment que je me décide à bouger pour passer un bilan de compétence.

Je sens bien que je m'encroûte.

Pfffffffouuuuuuu..... 

Sur les trace d'Easy Rider.

Je suis en week end.

Fatiguée...

Trois jours de travail...

Et je suis fatiguée !

Qu'est ce qu'on en a à fiche du mariage princier ??

Rien du tout !

J'avais plein de choses à déverser ici.

Mais j'ai oublié ces choses.

Elles me reviendront sans doute juste avant que le sommeil ne s'empare de moi.

Et je me dirais alors que je devrais prendre des notes.

Lundi prochain, la remplaçante de la collègue "chichi panpan" sera là.

Elle a déjà travaillé avec nous, il y a plusieurs mois de cela.

Elle était partie en pleurs, après six mois de contrat, lorsque l'imbécile qui nous sert de chef lui a dit que son contrat ne serait pas renouvelé. 

Elle a absolument besoin de ce poste qui complètera son mitemps actuel.

La dernière heure de travail de cette journée a été plus que tranquille.

J'étais seule dans le bureau.

Et je me rends compte que cela fait du bien.

Vraiment du bien !

De ne pas avoir à entendre mes collègues discuter entre elles ou répondre au téléphone ou encore sortir et entrer en trombe...

Une sensation de liberté.

Mon amant et moi avions prévu de nous voir ce soir.

Mais en sortant du bureau, j'avais envie de passer la soirée seule.

Du coup, j'ai annulé.

 Il est peut être temps d'aller dormir...

La pluie s'est invitée pour ces trois jours de repos.

Je ne suis pas du tout croyante.

Alors Pâques...

Je m'en fiche un peu.

Cela me fait penser à ma collègue " chichi panpan" qui m'a demandé si le lundi de Pâques pouvait être " rattrappé".

N'importe quoi !

Si elle n'a pas envie de travailler, qu'elle reste chez elle !

Je ne comprendrais jamais qu'un salarié fasse passer ses "petits" intérêts personnels avant de penser à son travail.

Non pas qu'un salarié doive tout subir de son employeur mais il se doit de respecter a minima les régles d'une entreprise.

M'enfin...

Passons.

Et sinon, à part ma râlerie du moment, rien de neuf.

Le jeune homme, rencontré il ya bien deux ans , à présent, voudrait me revoir.

Il s'ennuie au lit avec sa copine.

Il n'a qu'à en changer !

Les femmes disponibles, ou non, ne manquent pas sur le net.

Alors, il essaie de me convaincre en déclarant qu'il était très amoureux de moi.

Qu'il tient beaucoup à moi.

Que je lui manque.

Ses mots me laissent de marbre.

Dès que je l'ai vu, j'ai su.

J'ai su qu'il ne se passerait absolument rien entre nous.

Mais vraiment rien du tout !

Je n'avais pas du tout envie de rester plus longtemps.

Mais, par politesse, je suis restée.

Une demie heure.

Pas plus.

Je crois bien qu'il a ressenti mon impatience à le quitter.

Je sais bien que ce n'est guère courtois mais j'ai dû devenir froide pour qu'il séloigne enfin.

Du coup, je me dis que, finalement, la relation que j'ai avec Lui, mon italien, est loin d'être si catastrophique que je ne le croie.

Et que je devrais être plus indulgente avec lui.

Et tenir compte de ses qualités plus que de (ce que je pense être) ses défauts.

Serais-je sur la voie de la sagesse?

Hou ! la ! la !

Se coucher tard.

Se lever tard.

Pas de stress.

Mes journées de repos s'écoulent lentement.

A la limite de l'ennui.

Nouvelle rencontre demain.

Avec le professeur

J'avoue que j'y vais sans emballement.

Non pas pas peur d'être déçue mais bien plus simplement parce que je ne ressens pas le titillement de la curiosité qui avait déjà pu me saisir autrefois.

Je suis à la limite de l'indifférence.

Sous une apparence désinvolte, il semble bien plus enclin à l'espérance d'une belle rencontre.

Je ne sais pas pourquoi je suis comme ça en ce moment.

Comme si je ne voulais rien ressentir...

Je suis vraiment bizzare quelques fois.

Une semaine sans avoir écrit.

Il ne s'est rien passé d'extraordinaire.

Pour ne pas changer.

Mes amours sont raplapla.

Juste discuté sur le tchat avec un professeur.

Nous avons discuté au téléphone durant presque qu'une heure.

Sa voix est agréable.

Sa discussion également.

Mais, pour le moment, rien de plus ne m'a donné envie de le rencontrer.

En revanche, j'ai bien senti qu'il en avait envie, lui.

Nous verrons bien.

Sinon...

J'ai bien avancé la lecture d'un roman de Gérard MORDILLAT " Rouge dans la brume".

"Carvin, la trentaine, est ouvrier mécanicien dans une usine du Nord. Sa femme Chantal rêve de confort et de soleil. Ne supportant plus la dureté de leur vie ni les luttes quotidiennes, elle le quitte et emmène avec elle Océane, leur fille de quatre ans. Anath, la trentaine elle aussi, est DRH dans l’usine où travaille Carvin. Elle est mariée à un professeur d’université qui lentement s’éloigne d’elle, perdu dans les livres, l’alcool et d’inavouables secrets. 

Rien ne semblait devoir rapprocher Carvin et Anath. Un monde les séparait. Mais quand l’usine est brutalement fermée par ses actionnaires américains, qui rayent de la carte presque 400 emplois, la tempête qui se lève unit leurs destins. 

Les ouvriers s’insurgent, occupent le site, incendient le stock, les ateliers, les camions de ceux qui voulaient déménager les machines. La révolte se propage à une deuxième usine, puis à une troisième, portée par l’espoir que le pays tout entier s’embrase. 

C’est au cœur du brasier qu’Anath et Carvin se découvrent. Contre toute attente, contre toute raison, c’est dans la lutte que naît leur amour. L’un et l’autre n’ont plus rien à perdre, mais une vie à gagner. Sont-ils fous, criminels, insensés ? Ont-ils une chance de triompher ? Qu’importe ! 

Dans la folie du temps présent, ils auront su dire non. Ils auront fait entendre leur voix."

Roman très agréable à lire. 

Et demain, s'enchaîneront trois jours de travail avant des congés bien mérités ! 

Une dernière cigarette en regardant vaguement la télé.

Rien fichu de passionnant aujourd'hui.

Me suis levée tard.

Traîné un peu avant de me décider à sortir faire trois courses.

Il vient me voir demain.

Je ne sais même plus si cela me fait plaisir ou non de le voir.

Quelques fois, je pense à lui.

Mais sans rien de plus.

Et pourtant, cela me ferait sans doute souffrir s'il venait à ne plus vouloir de moi.

C'est peut être plus facile à vivre d'être aimée que d'aimer.

Cela doit traduire chez moi une peur certaine.

Celle de ne pas souffrir.

Je me demande si je suis capable d'aimer.

J'ai commencé la lecture de : "Le ciel t'aidera" de Sylvie TESTUD

C'est l'histoire de l'actrice quand elle ne joue plus. L'histoire d'une fille imaginative et drôle qui planque des couteaux sous ses matelas, se balade avec un ravissant pistolet de dame, s'entraine au sabre sur des plantes vertes... Elle a peur de tout: les ombres sur la terrasse sont des junkies fantomas prêt à défoncer ses velux pour la dépouiller; le serial killer des infos, son ennemi personnel; le type qui tourne au coin de la rue, son destin. Et son destin, pense t-elle, est d'être assassinée dans la jungle parisienne. Jusqu'au jour où elle attend un enfant et qu'elle a peur pour lui ! 

C'est écrit avec vivacité et humour et c'est très agréable à lire.

Je finirai sa lecture ce soir avant de m'endormir.

Je me réchauffe d'une infusion aromatisée tout en grignotant des biscuits.

Cette semaine a été dense.

Dense surtout sur le plan travail.

Rendez vous en pagaille, bilan statistique à faire d'urgence, planning du mois de février à faire d'urgence !

Ma sous chef blonde pourrait anticiper un peu plus !

Mais non !

C'est chaque fois la même chose !

Tout à la dernière minute !

Misère !

Sur le plan de ma vie personnelle, rien de passionnant.

Il est venu passer la nuit mercredi.

Pas grand chose à se dire....

Je ne sais pas si cela vient du fait que nous devons "réinventer" notre relation ou, plus simplement et bêtement, de l'habitude qui revient au galop.

Je reste perplexe...

Et pourtant, je n'ai pas envie d'aller papillonner ailleurs.

Sans doute parce qu'au fond cette situation me convient.

Ou me rassure...

C'est sûrement ça !

Mon amant voulait venir passer une nuit.

Bof !

Pas envie de le voir.

Non pas du tout...

Il m'ennuie profondément.

Et je fume... .

Pour penser aux résolutions non tenues durant cette année qui s'achève.

Et pour les jours à venir, j'ai décidé de ne prendre strictement aucune résolution !!

Je n'en vois pas l'intérêt.

Cela fera aujourd'hui exactement deux ans que j'écris ici mes humeurs, mes questionnements, mes riens de l'instant.

Deux ans déjà...

Est ce que je me sens mieux ?

Je ne sais pas du tout !

C'est sans doute une forme de thérapie.

M'enfin...

Pseudo thérapie...

Un déversoir d'émotions c'est sûr!

Un déversoir d'un peu n'importe quoi au fond...

Et ?

Pour ce qui est de dévoiler un peu plus qui je suis ...

Je ne sais pas trop ce que je pourrais écrire sur moi en plus de mes ressentis du moment.

Cela me fait penser au tchat.

Les inévitables questions du style: t'es d'où ? tu fais quoi dans la vie ? t'es celib, mariée, des enfants ?, tu cherches quoi ici?

Et surtout la plus importante !!

T'es comment ??

Alors...

A cette très importante question, je réponds souvent: moche et chiante !

Parce que se décrire ainsi, 1m65, 69 kg, brune aux cheveux longs et yeux marrons, n'a pas de sens !!

Si, en plus, j'ajoute que je suis asiatique.

Alors là !

C'est le pompon !!!

Les hommes du tchat fantasment à n'en plus pouvoir !!!

Il leur en faut si peu...

Et j'écoute Rêveries des Rita Mitsouko...

Doux baisers à toi pour le passage en 2011, rarissime lecteur(trice) de ce blog...

Des sentiments...

J'ai revu mon ex il y a deux jours.

Nous avons passé la journée ensemble.

Ce fut très sympatique.

J'ai bien vu qu'il se sentait bien avec moi.

J'étais bien aussi avec lui.

Comme si nous étions encore ensemble.

Nous avons discuté.

Il m'aime encore.

Pour ma part, je n'arrive pas à savoir ce que je ressens vraiment.

Est ce de l'amour ou de l'amitié ?

Je suis tentée de reprendre notre relation.

Doucement...

Pfffouuuuu....

Je me trouve pathétique.

Quelque fois lorsque je pense à lui, j'ai un petit pincement au coeur.

Mais de là à dire que j'ai vraiment envie de le retrouver, je ne saurais dire...

C'est chiant d'être ainsi !

Bon !

Laissons le temps au temps...

Qui vivra verra...

Hier, je laissais les hommes venir à moi sur le tchat.

Et qui reprend contact avec moi ? 

Celui qui du jour au lendemain s'est esquivé sans laisser de trace.

Entendre sa voix m'a laissée de marbre. 

Le seul élément qui transparait de la discussion téléphonique c'est lui même.

Lui et sa vie sans horizon qu'il essaie de remplir en courant par monts et par vaux, au sens propre comme au sens figuré.

Rien sur notre relation passée voire présente.  

Il n'y a pas de présent de toute façon.

Et aucun futur.

Sûrement pas !

Son numéro est reparti illico presto à la poubelle !

Définitivement !

J'ai toujours le nez à moitié bouché.

Je n'ai pas faim...   

Je dois passer prendre ma mère.

Elle nous invite, mon frère et moi, au restaurant.

C'est tout le temps comme ça lorsqu'elle se retrouve seule un vendredi sur deux.

elle m'appelle.

elle me dit qu'elle veut m'inviter au restaurant.

et ensuite, elle précise que le crétin que j'ai, hélas, pour beau père ne sera pas là.

La dernoère fois, j'étais de sortie.

J'ai bien senti à sa voix qu'elle a eu mal.

mais je ne suis pas un "bouche trou" à sa solitude.

Heureusement que ce soir, mon frère sera présent.

Je n'aime pas devoir combler toute seule sa déprime solitaire.

Quant à mes vagabondages virtuels, c'est le calme plat.

Le jeune homme de trente cinq ans espace l'envoi de ses textos.

Il faut dire que j'y réponds peu.

j'ai rencontré mardi dernier un jeune homme de vintg sept ans.

Un grand blond pas trop mal fichu.

Mais je ne me suis pas sentie plus attirée que ça.

Alors que lui déclare penser " grave" à moi.

Il m'aura oubliée d'ici quelques jours.

Allez ! Zou !

Je file chez ma mère ...

Il pleut...

Le jeune homme de trente cinq ans m'envoie des textos.

Où il écrit qu'il m'aime.

Qu'il est sérieux et sincère.

Du grand n'importe quoi !!

Il ne m'a jamais vue.

Juste entendu ma voix.

Que veut-il ?

Manipuler et profiter d'une femme seule ?

Qu'il essaie et il verra...

Je crois que je couve un mal de gorge...

J'ai des romans en réserve.

Mais je n'arrive pas à me concentrer pour lire.

Vivement les congés de fin d'année !

Encore 18 jours à tenir !

Et j'écoute Yoav encore et encore...

Bon...

Rien de fabuleux en ce moment.

Hier soir, resto entre filles.

Et vas y que je tourne en voiture trois fois autour de la grande place avant d'être obligée de me garer au parking payant du cours !

C'est chiant !

Restaurant asiatique sans grand intérêt.

Copine asiatique à l'ego quelque peu sur dimensionné lorsqu'il s'agit de cuisine.

Tout est mieux fait maison.

Bon, ok!

En fait, je me rends compte qu'on ne peut pas vraiment échanger avec elle.

Je ne sais pas comment décrire ce que je ressens  son égard.

Donc autant m'abstenir de déverser.

Ce matin, discussion avec tout un tas d'inconnus.

Toujours les mêmes blablas.

Sauf pour un.

Un jeune homme de trente cinq ans.

Il se décrit comme sérieux, gentil, calme etc, etc.

Je verrais bien...

Le temps est glacé au possible.

La soirée raclette prévue aujourd'hui avec mon ex ne se fera pas.

Il neige dans le var.

Tant pis !

ça ne m'empêchera pas de boire un apéro à notre santé !

Ce temps gris me déprime.

Et je fume...