En vrac
Ce lundi matin, je n'ai envie de rien.
Excepté rentrer chez moi.
Samedi dernier, conviés au mariage d'un de ses amis.
Chaleur, attente, blabla du maire et ensuite blabla du curé.
Vin d'honneur sur la place de l'église.
Attente encore.
Photos dans un champs d'oliviers plus que centenaires.
Attente.
Et enfin apéro.
Petits fours décongelés sans goût.
Idem pour le champagne rosé.
Repas de noces médiocre.
Sauf pour le vin.
Et danse jusqu'à quatre heure du matin.
Dj à la ramasse.
Je n'ai pas dansé.
Pas vraiment mon truc de me trémousser sur une musique qui ne me plait pas.
Dimanche.
Réveil à midi passé.
Belle mère hyper curieuse qui n'attend que les photos pour les commenter allégrement.
Et enfin se poser chez soi.
A ne rien faire.
Bon...
Heureusement, que j'ai peu de rendez vous cette semaine.
En même temps, peu de rendez vous, c'est peu de travail donc potentiellement un peu d'ennui.
Que je comblerais par la lecture d'un roman policier.
" Lettres de Carthage" de Bill James.
"Dans le quartier résidentiel où Vince et Kate viennent d'emménager, les bâtisses sont cossues, les pelouses impeccables et les voisins bien élevés. Kate est d'ailleurs tombée sous le charme des siens, Jill et Dennis Seagrave, dont la maison la fait rêver. Et pourtant, tout ne va pas pour le mieux dans le couple en apparence idyllique, comme l'attestent les lettres qu'ils écrivent à leur famille ou leurs amis. Derrière la perfection qu'ils affichent, les Seagrave cachent quelque chose d'étrange. Kate n'a pas tort de se poser des questions. Elle est tout de même loin de soupçonner la vérité.
Avec ce roman épistolaire qui pastiche les romans du XVIIIe siècle anglais, Bill James signe l'une de ses oeuvres les plus brillantes et les plus ambitieuses sur le plan littéraire. Violente satire de la classe moyenne supérieure, Lettres de Carthage est un livre au suspense et à la construction diaboliques, qui se joue du lecteur jusqu'à la dernière page."