S'oublier...
Pour ne plus penser à ce bleu tenace, si persistant.
Rien n'y fait.
Le bleu reste tapi dans un coin de mon être.
Prêt à bondir.
Prêt à m'envahir de nouveau.
Jusqu'à me perdre.
Non, rien n'y fait.
Ni les blablas d'inconnus.
Ni la griserie de l'alcool.
Rien...
C'est terrible d'être ainsi.
Comme si une partie de soi n'existait plus.
C'en est épuisant....
Pourquoi ?
Je me sens si pathétique...