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Secrètes Pensées
connerie humaine
27 juillet 2012

Le mépris

Cela fait longtemps que je ne déjeune plus avec mes collègues dans la salle dédiée au repas.

J'y ai déjeuné exceptionnellement. 

Une dame suivie par une collègue nous a offert un coucous à partager.

Cela faisait une éternité que je n'en avais pas mangé.

Je me suis dit que c'était l'occasion d'y goûter.

Il était délicieux.

Mais quelle ambiance !!

Je m'installe au hasard.

Et voilà qu'une collègue me fait remarquer que c'est la place "attribuée" à sa collègue de bureau.

Je lui répond qu'elle s'assiera en face.

Silence glacial de sa part.

Bon sang !

Quelle réaction d'enfant capricieuse !

Le repas s'est déroulé dans une ambiance bizzare.

Deux clans sont clairement définis.

Et j'ai bien noté l'attitude méprisante d'une collègue envers les autres.

J'ai pensé que, vraiment, c'était du n'importe quoi.

Chacun son petit territoire à défendre.

Pathétique...

Franchement, je ne déjeunerais plus du tout avec le groupe.

Quand je pense qu'il va falloir subir les adieux de la sous chef blonde !

J'en suis déjà blasée...

C'est bêtement terrible d'être ainsi.

Je le sais bien.

Mais bon...

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12 juin 2012

Sans déconner !

Ben oui !!

Mais bien sûr !!!

Alors ?

Ce matin, j'étais devant l'ordinateur - l'unique ordinateur pour quatre !- à écrire un courrier tout en recherchant des informations sur le net.

Ma collègue, la mielleuse de service, demande que je lui cède la place pour qu'elle puisse rechercher et imprimer un document.

Je lui réponds que je fais un truc.

Enervée, elle déclare en sortant du bureau : " sans déconner ! Tu peux faire ta recherche après ! " .   

Aaaaaaarghhhhh !

Mon sang a viré au noir d'encre !!!

Lorsqu'elle est revenue de son entretien, je lui ai dit que je n'avais pas apprécié ce qu'elle avait dit.

Elle a alors répondu qu'elle avait besoin de ce document depuis hier et qu'elle n'avait pas pu l'imprimer la veille, l'ordinateur ayant un bug.

Et donc ??

Est ce une raison pour être aussi méprisante ??

Parce que moi ?

Je ne bosse pas ??

Je balade sur le net pour le fun ??

Mon travail est-il moins important que le sien ??

Il faut croire que oui.

Marre de ses trépignements de gamine immature !!!

De ses mensonges, soit disant pour aider les usagers !  

De ses flatteries serviles !

De son hypocrisie !

Ensuite, je l'ai retrouvée dans le bureau de la Grande C.

Je demande à C. si la petite mielleuse de service lui a raconté notre "prise de bec".

Elle hésite à répondre.

Et puis elle avoue que, justement, elles étaient en train d'en discuter.

Et reblabla sur ce qui s'est passé.

Et la grande C. qui tente de se poser en médiatrice.

Et la mielleuse qui déclare qu'elle ne veut surtout pas se fâcher avec moi.

Parce qu'elle m'apprécie.

Que ce serait dommage que notre relation en prenne un coup.

Pfffouuuuu....

Elle me prend pour une conne ??

Quelle relation ??

Pas d'amitié en tout cas.

Qu'espère-t-elle ?    

Que je la soutienne dans le travail le jour où elle en aura besoin ??

Sûrement pas !!!   

Vu sa lâcheté, qu'elle reste loin de moi !

Très très loin de moi !

Et la grande C. qui, en tête à tête, en rajoute pour que cet incident n'ait pas de conséquences.

Ben tiens !!

Je trouve cet "incident" révélateur de ce qu'est cette collègue.  

Egocentrique, capricieuse, immature et hystérique.

Et je m'en rends compte tous les jours.

J'ai remarqué qu'elle aimait particulièrement se raconter auprès d'autres collègues.

Etre au centre d'une discussion et s'imaginer que ce qu'elle dit est vraiment intéressant.

Si j'ose intervenir, elle m'interromp très vite en lançant des arguments creux.

Cela m'amuse de la voir se comporter ainsi.

Elle en devient ridicule tant son désir d'être reconnue et donc d'exister se transforme en hystérie.

Quelle désespérance au fond...

31 mai 2012

Ma réalité est différente de ta réalité

Je partage le bureau avec trois collègues.

L'une d'entre elles m'exaspere régulièrement.

Cela fait bientôt quatre ans que je la connais.

Et son attitude de soumission feinte envers quiconque détient un semblant de pouvoir a toujours été une source d'agacement.

En ce moment, elle s'enorgueillit de son acte de "générosité" envers une dame complètement paumée, parcequ'elle a décidé de poursuivre le suivi au delà de sa mission.

"Ça me plaît de faire du bénévolat..." clame-t-elle.

Faire preuve d'humanité c'est bien joli.

Encore faut il savoir adopter un positionnement clair.

Faire du bénévolat, ok.

Mais pas au bureau !

Et puis qui est-elle pour vouloir absolument que l'autre "paumée" soit "protégée" ?

J'ai osé lui faire part de mon questionnement.

Tout ce qu'elle a trouvé à répondre, c'est que  "ma réalité est différente de sa réalité".

Heu...

Ouais...

Je me dis que sa "réalité" navigue allègrement au mileu du brouillard.

Et que je préfère de très loin ma propre réalité.

30 avril 2012

Prise de bec

Avec un monsieur.

Qui vient pour la gratuite de son abonnement des transports en commun.

Monsieur s'énerve car pour une erreur sur son prénom, le guichetier zélé lui a refusé le chargement de sa carte.

Je lui explique que ce n'est pas moi qui décide de la procédure et encore moins de la réglementation.

Que tant que son prénom ne sera pas pris correctement en compte par le service prestataire, je ne pourrais rien faire.

Il veut changer de référent.

Mais oui !

Bonne idée !

Ras le bol de ses plaintes !

Tout ce bazar pour la simple raison qu'il étouffe littéralement avec sa femme et qu'il passe le maximum de temps possible hors de chez lui pour ne plus avoir à la supporter.

Son ton monte.

Le mien aussi !

Et voilà que la sous chef blonde arrive sur la scène.

Je lui passe le dossier.

Et retourne au bureau.

Et j'attends toujours qu'elle vienne me voir pour en discuter.

31 mars 2012

Je suis vendeuse, je connais mon métier !

Alors ce matin, j'ai décidé de faire du shopping.

Après avoir déposé mon chèque de salaire.

Je me rends donc dans la galerie commerciale de mon supermarché habituel.

Je vise une boutique de chaussures.

J'essaie plusieurs paires avant de me décider.

Une cliente demande à la jeune vendeuse si le modèle qu'elle a choisi va se "détendre", signe que lors de l'essai son pied était à l'étroit dans la ballerine noire.

La vendeuse lui dit que oui ça va se "détendre".

Je demande alors si c'est du cuir.

La vendeuse répond que seule la semelle intérieure est en cuir.

Je me permets alors de dire que non ça ne se détendra pas car c'est du synthétique.

En plus avec l'été, les pieds ont tendance à gonfler.

Ce qui est loin d'être topissime.

La jeunette déclare alors qu'elle connait son métier.

Ben ouais....

C'est certain que pour vendre n'importe quoi, elle est prête à dire n'importe quoi !

Je lui réponds alors que c'est nous consommatrices qui portons ces chaussures !

Du coup, moi qui était prête à acheter deux paires de chaussures pour une somme globale de 100 euros, j'ai tout reposé !

Et m'en suis allée voir ailleurs !

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9 janvier 2012

Absence et tourments

Je reviens de chez mon médecin.

Une semaine d'arrêt maladie.

Encore...

Je me sens loin de moi.

Si loin...

Elle m'a prescrit un antidepresseur pour un mois.

La pharmacienne m'a fourni un générique avec une liste d'effets secondaires longue comme un manche à balai !

Vendredi dernier, le chef m'a fait convoquer.

Simplement parce qu'il a estimé que je lui ai "écrasé" les doigts en lui serrant la main quand il m'a dit bonjour.

Quel pauvre idiot !

En sortant de son bureau je lui ai souhaité une "super bonne journée !"

Et après coup, je ne sais pas ce que j'ai eu.

Soudainement, j'ai ressenti comme une montée de stress intense.

Alors là!

Ni une , ni deux, j'ai pris rendez vous avec mon médecin.

Et j'ai quitté le bureau.

Pffffouuuuuu....

Mon médecin, une femme, est bien gentil mais je ne me sens pas écoutée.

Je dois la revoir en début de semaine prochaine après mon rendez vous chez le psy.

Une semaine entière à me reposer les neurones me fera le plus grand bien.

Et je fume...

En écoutant "Something In The Air" de David Bowie.

11 novembre 2011

Petites et grandes lâchetés

Alors ?

Mardi : la deuxième journée de formation fut tout aussi laborieuse que la première.

Mercredi : j'ai eu la réunion de prévention des risques avec le vieux chef et le crétin de chef.

Ben...

Ils sont supers crétins tous les deux !

Le grand FLOP !

Jeudi : ma collègue C. est vraiment lamentable de lâcheté.

Elle craint les conséquences d'une action collective si cette dernière a lieu.

Elle a peur d'être licenciée.

Pffftttt !

Il serait malvenu de la part d'un employeur de licencier plusisurs salariés en même temps alors qu'ils n'ont commis aucune faute. 

Aucune dignité !

J'ai été très claire avec elle lorsque nous en avons discuté à la pause déjeuner.

Je n'agirais pas sans accord officiel écrit de la part d'un ou plusieurs salariés.

Marre de m'en prendre plein la tête à la place des autres sous prétexte que je suis déléguée du personnel !

Et s'il ne se passe rien sur le plan collectif, qu'elle ne vienne pas pleurer si le débile de chef vient à s'en prendre à elle de manière directe ou non.

J'ai doucement commencé à prendre mes distances avec elle.

Je pense qu'elle l'a compris.

Alors, elle essaie de se tourner vers d'autres.

Grand bien lui fasse !

Tout ce tralala me gonfle au plus haut point.

En fait tout le monde espère qu'il y aura un nouveau clash.

Pour enfin se décider à agir.

Pffffouuuuu.....

Bon...

Passons !

Je suis en week end !!

26 octobre 2011

Morte de rire !

Alors ?

Aujourd'hui.

Réunion avec le débile qui nous sert de chef.

Stérile.

Comme toujours.

Il s'est emporté lorsque la question du respect a été abordée.

Bien sûr, il compte sur la lâcheté des salariés pour se croire à l'abri.

La majorité des salariés se sent prête à agir.

Je me demande quand ?

Pour ma part, cette entrevue m'a bien amusée.

Le voir s'énerver m'a donné un malin plaisir à le provoquer gentiment.

Il s'est engouffré dans la brèche.

Je crois qu'il est sorti très agacé.

Quoi d'autre ? 

Une des collègues a donné sa démission aujourd'hui.

Tant mieux !

J'avoue que je n'ai guère d'atomes crochus avec elle.

Et dire que c'est moi qui lui ai donné l'annonce d'emploi !!

Je me marre !

Bon !

Je vais aller me reposer les neurones devant l'émission de déco de  France 5. 

25 octobre 2011

Lâcheté quotidienne...

De ma collègue L.

Qui, lorsque l'heure de quitter le travail est là, attend toujours que l'une d'entre nous soit sortie du bureau pour suivre.

Par peur de se faire rabrouer par le crétin de chef qui prend un malin plaisir à surveiller nos heures d'arrivée et de départ.

Je trouve cette attitude d'une petitesse.

Tout comme le fait qu'elle attende systématiquement que je réponde la première aux deux nouvelles collègues lorsqu'elles ont besoin de conseil.

Si elle s'imagine que je ne perçois rien, elle se trompe lourdement.

Et du coup, aujourd'hui, je l'ai laissée mariner un peu lorsque la plus jeune des collègue a posé une question sur une situation donnée.

Et L. attendait, attendait...

Mais elle s'est trouvée obligée de répondre car j'ai du décrocher pour un appel téléphonique providentiel.

Heureusement qu'elle est en congé durant une dizaine de jours.

Déjeuner au snack du coin.

C. m'a pris la tête.

Elle dit que le comportement du crétin de chef  est de plus en plus répressif, excessif.

Je pense qu'il est égal à lui-même.

Un pauvre type qui se la joue chef en s'imaginant qu'en étant craint, les salariés le respecteront.

Elle se rend compte à présent combien cela peut être pesant de subir.

Ce que je lui ai fait remarquer.

Tant qu'elle n'était pas directement touchée, elle restait dans une forme d'indifférence.

A présent que la donne a changé, elle pense qu'il est de plus en plus dans le n'importe quoi.

Elle n'a rien compris.

Elle qui se croie subtile dans sa pensée culturelle analytique.

Tout comme L., elle peut parfois se montrer d'une grande lâcheté.

Je me souviens très bien de l'époque où elle me disait que n'ayant pas été témoin directe du comportement débile du crétin de chef, elle ne pouvait se solidariser pour s'inscrire dans une action collective.

Pffffouuuuu...

Quant à la blonde sous chef qui a quitté le travail en pleurs, elle ne veut plus du tout revenir.

Elle est en arrêt maladie pour un mois.

Et espère trouver ailleurs. 

Vivement le week end !

Pour s'éloigner de cette ambiance délétère.

21 octobre 2011

Ce soir...

Je suis fatiguée.

La journée a été calme.

J'ai fait le tour des bureaux.

Pour me rendre compte de l'humeur des salariées suite aux crises nerveuses de l'autocrate de chef.

Tout le monde est plus ou moins d'accord sur le principe de dénoncer ses agissements.

La question est de savoir comment le faire.

Evidemment, en tant que déléguée du personnel, c'est moi qui vais tester le terrain.

Pffouuuuu...

Bon...

Qu'est ce qu'on a pu rire, C. et moi, en discutant d'une collègue.

Nous l'avons bien critiquée, autant l'avouer.

Cette collègue qui est d'une mesquine lâcheté.

Défaut insupportable à mes yeux.

Elle n'arrête pas de se plaindre d'attendre que la standardiste veuille bien prendre son appel.

Je lui ai dit d'aller se plaindre directement à la personne concernée.

Elle a pris son courage à quatre mains.

Et elle s'est postée à la porte du bureau, qui donne sur l'accueil et d'où l'on voit la standardiste, pour lui demander d'un ton mielleux si elle pouvait lui faire une numéro de mobile.

A savoir que nous sommes obligés de passer par le standard pour les numéros de mobiles.

On perd un temps fou à attendre que la standardiste veuille bien arrêter ses appels personnels pour enfin travailler.

Cela me fait penser à une autre collègue qui s'occupe des fournitures.

Elle compte avec nous le nombre de fournitures prises et, en plus, nous devons noter ça dans un cahier.

Noter ce que nous prenons, ok, mais de là à être contrôlés, beurk !

Enfin...

Bref !

Je suis en week end !!

Il sera bien temps de se prendre la tête un autre jour.

Et sinon ?

Je n'aime pas le nail art.

C'est super moche.

20 octobre 2011

Larmes et tremblements...

Le crétin de chef est en pleine crise.

Crise de n'importe quoi.

Comme d'habitude.

Ses crise surviennet par vagues.

Incohérence, autocratie, mépris, connerie...

Deux collègues ont osé le remettre en place.

Il n'a pas du tout apprécié.

Allez hop !

Ils les a toutes convoquées.

Ainsi que la sous chef blonde.

Cette dernière a craqué.

Elle est revenue en pleurs.

Tremblante de nervosité.

Il lui aurait dit que son travail "cétait de la merde !!!"

Elle disait vouloir démissionner tout de suite.

Je lui ai conseillé de se mettre en arrêt maladie.

Et de temporiser.

Elle a postulé ailleurs.

Elle espère partir très vite.

Ce que je lui souhaite.

Elle n'est pas la seule à vouloir partir...

Et les discussions interminables sur "on fait quoi ??" sont restées stériles.

Et sinon ?

Il fait froid.

Un vent glacé a soufflé toute la journée.

J'ai rajouté une deuxième couette.

Vin diesel me fait trop rire avec son air de vilain méchant !

Sacré Depardiou !

Excellent dans le rôle du mafieu.

Je téléchargerais le film plus tard.

Envie d'aller reposer mon esprti et mon corps...

Et dormir.

10 octobre 2011

Le lundi au soleil...

C'est pas super la joie au bureau.

Surtout pour ma sous chef blonde.

Dans la matinée, elle est venue me voir pour me demander les coordonnées de l'inspection du travail.

Qui fait partie désormais de la Direccte.

Issue de la fusion de tout un tas de services.

J'ai trouvé ça étrange.

Car il est très simple de trouver les coordonées de ce services sur le net.

Voulait-elle plus que ça ?

Je ne sais pas.

Je lui ai demandé ce qui se passait.

Elle a répondu que le crétin de chef lui mettait la pression depuis son retour.

Ce que tout le monde avait bien remarqué.

Elle pense qu'il veut la pousser à démissionner.

C'est en effet mon avis.

Sûrement pour qu'elle soit remplacée par l'autre sous chef blonde.

Celle qu'on soupçonne d'avoir eu sa promotion alanguie sur un canapé !

C'est Dallas ou Dynastie ou encore les Feux de l'amour au bureau !

Les trois à la fois !

Et bien plus encore !

Côté situation merdique du moment, j'ai eu droit à la mère de famille éplorée, au téléphone, qui a reçu de jolies menaces d'un huissier pour une dette de carte de crédit revolving délivrée par un grand hypermarché.

Celle qui devait venir jeudi à 9 heure.

Bé...

Je peux point faire grand chose.

Elle dit qu'elle n'a déjà plus rien pour vivre alors que nous sommes à peine le 10 du mois.

Et elle se répétait, et j'entendais son enfant pousser des cris stridents.

J'avais une furieuse envie de raccrocher pour faire cesser les cris.

Je sais: C'est pas bien !

C'est pas bien de réagir ainsi face à la détresse de l'autre.

Mais elle m'exaspère !

Et le truc chiant dans son histoire c'est qu'elle n'est pas disponible pour rechercher un emploi dans la mesure où son dernier enfant ne va à l'école maternelle que le matin.

Que le matin ??

Hé oui !

Car désormais, les profs demandent aux parents qui ne travaillent pas de garder, chez eux, leur enfant l'après midi !

Je trouve ça scandaleux !

Car ça ne peut que la bloquer et l'empêcher d'avancer.

Comment pourrait-elle se trouver un job avec cette contrainte ??

Misère !!

Et quand on sait qu'un petit crétin de politicard veut que les allocataires du RSA travaillent 7 heures obligatoires par semaine, je me marre doucement.

Il s'imagine quoi ??

Il ferait mieux de repenser le système de mode de garde des enfants.

Bon...

Cessons de râler !

Vais aller me plonger dans les futilités de mon magazine féminin.

26 juillet 2011

Quel crétin !

L'incompétent qui nous sert de chef n'anticipe absolument rien de rien.

Le contrat de la sous chef blonde enceinte, qui remplace la sous chef blonde en congé maternité, a pris fin hier. 

Elle décide de voir le chef, un peu tardivement je trouve, pour faire le point et savoir si elle réintègre son poste de base.

Il l'a très mal pris.

Et lui aurait dit un truc du style : rien à fiche !

Du coup, elle a décidé de se mettre en arrêt maladie.

Chouette !

Et cette après midi, ma collègue à mi temps est convoquée par le crétin.

Il lui demande, la veille de la fin de son contrat, si elle souhaite être réembauchée pour un poste en CDD à trois quart temps pour septembre.

Non.

Elle va signer un CDI à temps plein qui commencera en août.

Mais quel idiot !!

Je crains le pire à la rentrée.

Et sinon ?

Dans l'après midi.

Des cris à l'accueil.

Une dame visiblement très énervée.

Tout ça parce qu'elle voulait une aide financière.

L'été, les pauvres peuvent s'endetter, crever de faim et dormir à la belle étoile !

Vivement les vacances !

Que je puisse buller à fond !

30 juin 2011

Le burn out me guette...

Je suis fatiguée.

Epuisée !

Entre les gens en demande et la collègue qui fait n'importe quoi avec les rendez vous d'entrée, j'étais à saturation totale dans l'après midi.

Cela a débuté dès le premier rendez vous.

Le jeune couple qui croie aux miracles est arrivé en retard.

D'emblée môsieur me presse de remplir tout de suite une demande d'aide financière. Et il me presse encore pour une demande de logement.

Je lui fait remarquer que la manière la plus simple de faire évoluer positivement sa situation, c'est de se trouver un emploi.

Il se cache derrière son problème de logement pour ne pas bouger.

Je traiterai ses demandes tout autant que celles des autres.

Aucun traitement de faveur pour qui que ce soit.

Et en début d'après midi, la collègue de l'accueil me bip et me fait savoir que j'ai un nouveau en suivi qui a rendez vous à 14 heures et qu'il est en retard.

Je regarde mon planning.

Le nom ne me dit rien du tout...

Elle me rétorque que si, il a bien rendez vous avec moi vu le courrier qu'elle lui a envoyé.

Alors je m'agace et lui dit que je ne comprends pas comment on m'ajoute encore une personne à suivre alors que je suis au delà du nombre limite et qu'en plus je n'ai pas eu de fiche de renseignement à son sujet.

Au delà du nombre limite, je m'en fiche en fait...

Mais le truc de faire n'importe quoi, ça , ça m'exaspère profondément !

Alors là, elle se défausse sur la sous chef blonde et déclare qu'elle lui aurait dit de dispatcher sur tout le monde !!

Je crois bien qu'elle ment.

Pour être certaine de ne pas être prise en défaut, je vérifie sur le tableau d'entrée et?

Rien ! Aucun rendez vous de posé !!

Et le pire c'est que ma collègue se rend compte qu'elle ne retrouve plus cette fichue fiche !!!

Je n'ai pas eu envie d'aller m'expliquer avec elle d'autant plus que j'étais débordée de  dossiers à traiter.

Dossiers qui s'empilent sur mon bureau pour que je n'oublie pas d'y travailler.

Pfffouuuuuu....

Alors, ce soir, je suis KO debout...

Et je sens vraiment que cette collègue est à mettre de côté quand bien même elle m'ait invitée à son anniversaire.

Qui avec le recul était organisé de manière tout aussi brouillonne que son travail.

En analysant la situation, je me rends compte qu'elle ne fait les choses qu'en fonction de son propre plaisir tout en s'imaginant posséder une ouverture d'esprit et de générosité. 

D'ailleurs le fait que la chichi panpan qui se regarde le nombril ai fait faux bond à sa soirée l'a visiblement mise plus en rogne que moi.

Elle lui en veut fortement.

Je me suis même dit que c'était une forme de possessivité un peu étrange de sa part.

Je reste persuadée que le travail c'est le travail et que l'amitié ne peut être dans le travail.

Et je me garde bien de franchir cette limite entre ce que je sens pouvoir dire de ce que je suis et ma vraie vie intime.

Oui, je sais que je suis hyper critique dans ce post mais là, faut que je déverse un bon coup !

26 juin 2011

Trépanation neuronale...

Je me suis réveillée très tôt.

Après être rentrée à deux heures du matin de la soirée d'anniversaire d'une collègue.

Soirée sans grand intérêt.

Pas de mélange entre les groupes.

Discussion entre collègues sur le travail.

Au final, aucune découverte des autres.

Aucune curiosité de part et d'autre.

Non pas que je n'en avais point le désir mais la situation était de fait comme ça.

En plus, j'ai du me coller pour le cadeau d'anniversaire.

Parce qu'entre la collègue qui n'a pas de voiture et l'autre trop occupée avec sa famille et la dernière très préoccupée d'elle-même, la seule qui avait une certaine disponibilité c'était moi !

J'avais avancé la somme nécessaire et au dernier moment une des collègues, celle qui se regarde le nombril, a fait faux bond.

Le genre de trucs qui m'exaspère profondément.

Alors du coup, ce déséquilibre m'agace au plus haut point.

Bon...

Tant pis !

Cela me servira de leçon.

Et, je ne sais pas pourquoi, mais j'avais comme l'intuition que cela se produirait.

Hé bien, du coup, je ne me proposerais plus pour rendre service et chacun restera dans son individualisme pourri !

Je crois bien que je suis en colère.

En colère contre cette absence de respect.

Et je fume...

2 mai 2011

Hypocrisie mielleuse...

Je déteste.

Oui, je déteste quand ma collègue utilise un ton mielleux pour celle qui revient à mi temps et qui partage notre bureau.

Pourquoi a-t-ellle besoin d'être ainsi ?

Pour montrer qu'elle est compétente ?

Qu'elle est gentille ?

Qu'elle est une personne bien ?

En qui on peut avoir confiance ?

Elle en devient exécrable dans son comportement.

Je me rends compte qu'elle m'agace de plus en plus.

Que j'ai envie de m'éloigner peu à peu d'elle.

Elle ne peut s'empêcher de se mettre en avant en croyant être simple et sincère.

Mais je ressens une forme de fausseté quand elle s'exprime.

 Et cela me gêne profondément.

A tel point, que je n'ai plus envie d'aller déjeuner avec elle et les autres le mardi.

L'absence de discussion profonde me lasse.

Je préfère me retirer dans le silence d'un livre...

25 février 2011

C'est quoi cette pub sur le blog ??

Y'en a marre de cette pub !!

Qui s'insinue partout !!

Ma semaine de travail a été plus que fournie.

Et en particulier avec ce jeune homme qui revient.

Il était précédemment suivi par ma collègue de bureau.

D'emblée, il se pose en peuchère.

Mouais...

Je l'écoute aussi attentivement que je le peux.

Pour mieux en cerner les tenants et aboutissements.

Ce que j'en retiens au premier abord, sans avoir lu son très épais dossier, c'est qu'il essaie de masquer quelque chose derrière un discours qui se veut réfléchi.

Je me suis dit à un moment que cela allait être costaud de travailler avec lui.

Et j'avais raison.

Il se pose en victime.

Toute sa vie est difficile dit-il.

Vécu familal complexe.

Père qu'il dit décédé.

Mère dont il ne sait plus rien depuis un moment.

Enfant à l'autre bout de la France.

Il n'a pas de fric pour ci, pour ça...

Sauf qu'il oublie que l'Etat l'aide à vivre.

Il commence des choses et ne les finit jamais faute de s'engager suffisament.

Il est dans une forme d'instabilité alors qu'il prétend le contraire.

Il manipule avec ses beaux mots.

Enfin...

Il essaie.

Car avec moi ça ne fonctionne pas trop.

Il déteste l'idée d'être pris en flagrant délit de n'importe quoi.

Il ose dire que je lui fais la morale.

Qu'espère-t-il ?

Mon job c'est de lui ouvrir les yeux pour que sa vie évolue.

Mais s'il ne veut pas de ça, qu'il reste dans son instabilité.

C'est de toute façon son mode de fonctionnement.

Qui oscille entre désir de se montrer conciliant envers ses devoirs et envie plus que furieuse de gruger le système.

Ce qu'il sait apparemment très bien faire.

J'ai pris contact avec le centre de formation avec lequel il est censé suivre des cours.

Le responsable de la formation a confirmé mon ressenti.

Une vraie cata !

Aucune assiduité.

Aucune ponctualité.

Et en prime, embrouille avec le patron qui l'avait accepté en stage.

J'avoue que je ne suis pas super motivée pour le soutenir et le sortir de son marasme financier.

Mais je me dois de ne pas juger.

Je constate, c'est tout.

Mais...

Y'a vraiment des claques qui se perdent !

C'est vraiment bon de pouvoir déverser ici tout ce fatras de bêtise humaine...

17 juin 2010

Quel plaisir de ne pas travailler !

J'entame aujourd'hui une bonne dizaine de jours sans travail.

J'ai toujours mal au dos au réveil.

Du coup, je me lève tôt.

Un café, une cigarette....

Et ma journée débute lentement.

Hier a été un jour calme.

Réunion avec le débile qui nous sert de chef le matin.

Réorganisation de l'accueil sous prétexte de préserver l'emploi.

Mouais...

Prétexte un peu fallacieux.

S'il veut faire des économies, il n'a qu'à supprimer sa voiture de fonction à 500 euros par mois et la voiture de service.

Cela fera des économies d'assurance et de carburant.

L'après midi de permanence a vu arrivé un monsieur alcoolisé, un brin agressif qui demandait une aide financière.

Lui: - Je suis en panne...

Moi: - Heu oui?

Lui: - Je n'ai plus d'argent, je suis endetté...

Moi: - Vous n'avez aucune rupture de ressources donc pas de possibilité d'aide financière d'urgence.

Lui: - Ecoutez moi...

Moi: - Je vous écoute...

Lui: - Je dois me faire hospitalisé, je n'ai pas de quoi me raser, ni cigarettes...

Moi: - Je suis désolée mais il n'existe pas d'aide financière pour l'achat de cigarettes.

Lui: - Mais je ne peux pas tenir sans cigarettes et je n'ai plus rien à manger !

Moi: - Vous allez être hospitalisé donc vous aurez des repas...

Lui: - Entre nous..., entre nous, vous pouvez me prêter de l'argent, je vous donne ma carte et mon code...

Moi: - Hors de question !!!

Lui: - Je ne vous veux plus comme assistante sociale !"

Moi: - Cela ne me pose aucun problème d'arrêter de vous suivre. J'en ferais part à ma chef.

Et je mets fin à l'entretien.

Et il reste planté à l'accueil, espérant je ne sais quoi.

Et il fait son méchant: "Je ne vous veux plus comme assistante sociale !!!"

 Et bien sûr, il a repéré que mon débile de chef se trouvait là.

Qui surveillait les travaux de réaménagement de l'accueil.

Et il fait sa comédie hystérique pendant que je retourne à mon bureau.

Le débile qui nous sert de chef le prend à part et l'emmène à son bureau pour lui parler.

Le débile de chef demande à une de mes collègues de lui rendre service et d'aller acheter un paquet de tabac à rouler.

Ma collègue n'a pas osé dire non.

Et se l'est reprochée après.

Je n'ai rien à lui reprocher.

Le problème ne vient pas d'elle mais de mon débile de chef qui confond clientèlisme et intégrité professionnelle.

D'ailleurs, il n'a aucune intégrité professionnelle !

M'enfin...

Bon...

Je vais aller me réveiller sous le jet de la douche !

19 janvier 2010

Pathétique !!

C'est la looooose totaaale !!

Mon Dieu !

Tournez manège le retour !!!

Aaaaaarghhhh !

Vite zappons !!!

Alors ?

Ma journée ??

Cool !

Le seul rendez vous du jour n'est pas venu.

J'ai eu une réunion avec le débile de chef et le président.

Prévention des risques.

Bof !

Le débile de chef n'a aucune réflexion constructive concernant la prévention des risques psychosociaux.

Il a passé son temps a interrompre le président.

Je l'ai trouvé très méprisant.

Le seul truc de positif est que nous aurons de nouveaux bureaux la semaine prochaine.

C'est un moindre mal.

Le plateau de verre de mon bureau s'est désolidarisé de la structure porteuse...

Les tiroirs ne tiennent pas...

Il était tout fier de ces bureaux si design.

Mais de très mauvaise qualité.

Et demain encore une réunion !

Et toujours avec lui !

Pffffouuuuu....

Allez !

Une dernière cigarette...

5 janvier 2010

Jour ordinaire...

Dans le sud de la France.

Un seul rendez vous ce matin.

Réunion l'après midi.

La direction veut faire passer un questionnaire pour évaluer le stress au travail mais un questionnaire nominatif !

Ha ! Non !

Sûrement pas!

Mais ce sera une démarche totalement volontaire !

Mais bien sûr !

Quel meilleur moyen pour notre débile de chef que de savoir qui est stressé ou pas et ainsi de pouvoir exercer d'éventuelles pressions.

Personne, excepté moi, ne s'est posé la question.

Une collègue a trouvé une idée fabuleuse : répondre d'abord de manière anonyme au questionnaire et ensuite y répondre de manière nominative et comparer les résultats!

Quel génie !!!

Non ! Mais quelle conne !

Ben c'est une blonde...

La sous chef - blonde - hé oui! encore une !, ne s'est même pas demandé ce qu'il adviendrait de l'utilisation des données recueillies et surtout de  leur devenir.

Nan! Je n'ai absolument rien contre les blondes !

Pfffouuuuu...

Bon !

Changeons nous les idées...

Y'a quoi à la télé ce soir ???

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