24 novembre 2010
La vie comme elle vient...
Durant quelques jours, je repensais à lui.
Puis...
Peu à peu.
L'oubli s'installe.
Et l'envie de vivre autre chose prend corps.
Sans questionnements inutiles.
Et l'hiver est peu propice au désir de rencontrer.
Je me terre chez moi, au chaud.
Je discute avec des inconnus, tous en manque de je ne sais quoi.
De sexe, de tendresse et finalement d'amour.
Je n'arrive même pas à savoir si je suis en manque.
Je dois l'être...
Mais je n'ose me l'avouer.
Par faiblesse.
Je n'aime pas me sentir faible.
Je crois que je vais aller me servir un verre d'alcool pour me réchauffer...
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