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Secrètes Pensées
quotidien
21 janvier 2014

Vivre en solo

C'est plutôt cool.

Je ne ressens pas de manque particulier.

Je ne comble pas le vide qui pourrait survenir.

Je l'accepte.

Quant au travail, c'est la routine.

Limite morose.

J'ai posé des congés pour la mi février.

 J'ai hâte.

De ne rien faire.

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9 janvier 2014

Apprivoiser la solitude

Voilà !

Il déménage.

Dès demain.

Bien sûr.

Je ressens une étrange sensation.

Celle d'un vide.

Le vide d'une relation quotidienne à deux qui n'existe plus.

Bon !

Je ne vais pas me laisser envahir par des pensées débiles.

Qui ne m'apporteront rien.

Côté job, la petite nouvelle, qui est arrivée dans notre bureau, semble avoir de la personnalité.

Ce qui est une bonne chose.

En plus, elle semble comprendre très vite.

Ce qui est encore mieux.

Ma collègue mielleuse ne peut s'empêcher de la conseiller.

Pas forcément de manière pertinente.

Pour ma part, je n'interviens pas plus que ça lorsqu'elle lui répond.

Mais je réponds à ses questionnements lorsqu'elle me sollicite.

Quant à ma collègue peucherette, elle fait mine d'être occupée pour éviter de répondre.

Ce que je remarque c'est qu'elles sont toutes les deux dans la crainte de ne pas être considérées comme professionnelles et puis, surtout, dans celle de la culpabilité de ce qu'on pourrait éventuellement leur reprocher.

De la part de notre chère hiérarchie ou des personnes suivies.

Elles expriment cela au travers de leur discours.

Voire même au travers de leur manière d'être.

On ne s'en rend pas compte immédiatement.

Haaaaa! Les subtilités des faux semblants et de la manipulation !.

Peut être que je suis aussi comme ça ?

Et que je ne m'en rends pas compte !!!!

Ho ! La ! La !!!

Mais non...

Je reste froide et distante.

Solitaire.  

2 janvier 2014

Le ciel est blanc

Mon humeur un peu grise.

Je suis en mode flemme au possible.

Il va enfin signer pour un appart ce dimanche.

Il me reste encore quelques jours de congés.

Pour buller... 

"On s'était dit des choses que l'on ne tiendra pas..." Julien DORE

24 décembre 2013

Noël...

Chuis pas super fan des fêtes de fin d'années....

 

creche-presepe-a-di-alessi-dore-

Joyeux Noël !

***

A vous qui passez par ici. 

17 décembre 2013

Aujourd'hui...

Rien de fantastique.

Repas de Noël offert par la boîte.

Pas terrible.

J'attends les congés pour me vider l'esprit de l'ambiance morose du travail.

Et en profiter pour me recentrer vraiment sur ce qui m'est essentiel.

Il a trouvé un appartement. 

Il devrait déménager mi janvier.

Si tout se passe comme prévu.

Je suis fatiguée...

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9 décembre 2013

Blues

Ce matin, coincée dans un bouchon, à cause des travaux pour le super nouveau bus, mes pensées divaguaient.

Comme souvent lorsqu'on est dans sa voiture sur le trajet qui nous mène tout droit au travail.

Je me disais que j'étais en manque d'authenticité et de sincérité.

Ça m'a fichu un de ces bourdons !

La journée s'est déroulée sans intérêt particulier.

IL travaille de nuit.

Ce qui me convient tout à fait.

J'ai commencé la lecture d'un roman de Mo HAYDER.

"Fétiches"

fetiches_mo_hayder_2013

Synopsis

Les patients de l’unité fermée Beechway sont très sensibles à la suggestion. Une hallucination peut se répandre tel un virus. Aussi, lorsque plusieurs malades se donnent la mort après s’être atrocement mutilés, le fantôme de « La Maude » ressurgit. Selon la légende, au XIXe siècle, à l’époque où Amberly était une maison de redressement, une surveillante naine et sadique surnommée Sœur Maude terrorisait les pensionnaires. Son spectre n’aurait depuis cessé de hanter les lieux, et aurait causé au fil des ans de nombreuses victimes. Soucieux de protéger ses patients mais aussi de mettre fin à l’hystérie collective qui gagne même son équipe, AJ, infirmier psychiatrique en chef, décide de faire appel au commissaire Jack Caffery.

Je vais poursuivre sa lecture ce soir vu l'absence de trucs interessant à regarder à la télé.

Demain est un autre un jour...

22 novembre 2013

Ce que je retiens...

De ma séance chez le psy, c'est qu'il semblait curieux de savoir pourqoi j'ai repris rendez-vous.

Je lui ai simplement expliqué que je me posais toujours des questions sur moi-même.

Et que c'était le seul lieu où je pouvais m'exprimer librement.

J'ai parlé de l'ambiance du travail.

Et je lui ai également dit que je me séparais.

Ce qui a semblé l'étonné.

Il a posé plus de questions que les autres fois.

J'ai compris certaines choses.

Mais ça ne suffit pas encore pour m'apaiser.

Je suis seule ce week end.

Et il n'a toujours pas trouvé de logement.

Il me dit qu'il sera parti avant la fin de l'année.

Mais au train où vont les choses, je me dis qu'il sera peut être encore là en janvier.

Tant qu'il sera là, je resterai comme paralysée.

16 C° à l'intérieur.

Bon...

Ben...

Je crois bien que je vais être obligée d'allumer le radiateur... 

28 octobre 2013

Eté indien

Fait trop chaud pour la saison !

Nous sommes obligés de mettre la clim au bureau !

J'ai instruit les aides financières.

Une pour une dame chez laquelle il y a eu un incendie.

Elle ne sait pas comment cet incendie s'est déclenché.

Une autre parce que le rsa a été diminué faute d'un contrat en cours.

Je ne suis pas certaine que les aides seront accordées.

Car après calcul du budget, il leur reste de quoi vivre décemment une fois les charges mensuelles payées.

J'ai téléphoné à l'un et à l'autre.

J'ai reçu deux jeunes femmes.

Qui m'ont avoué qu'elle n'avait pas déclaré les salaires de leur emploi précaire.

Pas bien !

Je leur ai donc expliqué que le grand distributeur de prestations avait les moyens de vérifier leur situation via les services de l'urssaf et celui des impôts.

Et qu'un jour, il est fort possible qu'elles soient contrôlées et que d'un coup, elles ne perçoivent plus aucune prestation.

Ce qui est quand même très très chiant quand ça arrive.

Et qu'en plus, dans ces cas là, faut que j'instruise des aides financières.

Parce que, évidemment, je ne peux pas les laisser crever de faim !

26 ° à l'intérieur !

Fait vraiment trop chaud !

14 octobre 2013

Faut-il sortir les bottes ?

Pulls et écharpes ?

L'automne rend morose.

Tout le monde se traîne au bureau.

La sous chef est incapable de nous donner des consignes claires.

Et se plaint de notre incompréhension.

Les gens se plaignent de manquer de fric.

Et nous de motivation.

Je suis fatiguée.

Je vais aller me coucher.

Il est en formation ailleurs pour quelques jours.

Je respire ! 

11 octobre 2013

Bon...

Le froid est revenu aujourd'hui.

Les journées au bureau se suivent et se ressemblent.

Quant à ma vie sentimentale, la lassitude du quotidien revient impitoyablement émousser le peu de sentiment qu'il me reste pour lui.

Je n'ai même plus envie de lui parler lorsque je le vois vautré sur le canapé.

Ou attendre après moi pour faire de simples courses.

J'ai vraiment l'impression d'être là juste pour gérer les tâches ménagère.

Il ne prend aucune initiative.

Une sérieuse discussion s'impose.

Parce qu'à force de contenir mon agacement quotidien, ça va finir par bouillir et exploser d'un coup.  

1 octobre 2013

Journées hypercalmes

Personne ne vient aux rendez-vous.

Ni hier, ni aujourd'hui.

Très peu de dossiers à traiter.

Lecture pour combler la vacuité.

" Il déserte" - Collectif 

Il déserte

 

Un recueil de nouvelles par de jeunes talents en écriture.

J'ai particulièrement aimé "Il déserte" d'Arthur DREYFUS et "Peu importe" de Louise LANGINIEUX.

Il me reste encore quatre nouvelles à lire.

J'aurais achevé cette lecture demain.

Déjeuner au parc avec les collègues.

Discussion sur le cinéma et les voyages.

Franchement, ça fait beaucoup de bien de discuter avec les nouvelles collègues.

La réunion de l'après midi a commencé dans l'ennui pour s'achever sur des informations relatives à l'organisation du travail et l'accueil de stagiaires.

L'accueil de stagiaires pose problème en raison de la gratification.

La sous chef attendait notre avis avant d'en référer à l'imbécile qui nous sert de chef.

Elle attendait surtout qu'il y ait des volontaires pour prendre en charge ces stagiares.

je me suis portée volontaire.

J'ai trouvé sa façon de faire un peu bizarre.

Ce genre de décision se prend au niveau de la direction.

Elle, elle part du bas pour éviter je ne sais quoi.

Après la réunion, la collègue peucherette n'a cessé de soupirer suite à l'appel d'une dame désespérée qui veut absolument que son frère qu'elle héberge ait son propre logement.

La peucherette a voulu déverser.

Je lui ai dit d'en parler à son psy.

Ce qu'elle ne fera pas.

Et je me suis concentrée sur autre chose pour couper court à ses lamentations.

Du coup, je me suis dit qu'il serait peut être pertinent que je reprenne un suivi psy.

Pour comprendre le pourquoi de ma répulsion envers l'attitude plaintive de cette collègue.

3 septembre 2013

Bureau

Arrivée tôt.

Circulation fluide.

Journée de rentrée plutôt calme.

Et blablabla sur les vacances.

Qui est parti ? Et surtout où ??

Aucun rendez vous de prévu ce matin.

Semaine peu chargée pour le moment.

Je ne suis pas masochiste.

Je verrais bien demain après midi, en permanence, ce qu'il en sera.

A peine rentrée, que j'en suis déjà fatiguée !

23 juillet 2013

Aujourd'hui...

Blablabla...

Ce matin, blabla autour de situations qui posent problème.

Une collègue expose deux situations qui se ressemblent.

Deux hommes qui n'ont jamais quitté leur mère.

Et ont une vie sociale quasiment inexistante.

Schizo, a priori, selon le psy clinicien qui écoute nos lamentations une fois par mois.

Ensuite, la peuchère de service a exposé la situation d'une dame qui lui a confié qu'elle s'est fait frapper par son fils de 18 ans.

Fils qui semble régner en dictateur au sein de la famille.

Et, qui, par son comportement, a un impact sur le jeune frère préadolescent.

Qui s'est replié dans le silence et l'isolement.

Que faire ?

Elle n'ose pas agir.

Et attend visiblement que la situation évolue.

Vers le pire.

Pour enfin agir.

Nous avons bien senti qu'elle ne voulait pas s'impliquer plus que ça.

Elle se trémoussait tellement elle en était gênée.

Lâcheté ordinaire...

Bien sûr, il n'est pas évident de déterminer le degré de gravité d'une situation donnée.

Mais lorsqu'il y a le sort d'un enfant en jeu, nous nous devons d'alerter les services concernés.

Je sens qu'elle ne reparlera plus de cette dame.

D'autant plus que des collègues ont clairement déclaré qu'il fallait agir.

Le psy lui-même le lui a suggéré.

Je la voyais se décomposer tout en essayant de faire bonne figure.

Et la mielleuse de service qui n'a pu s'empêcher de se lancer dans une explication incompréhensible avec ses "je pense" "à mon avis" " c'est ce que j'appelle"...

Mouais...

J'entends ces expressions des dizaines de fois par jours.

Une est abonnée au "y'a pas de soucis!".

Une autre met des "quoi" à la fin de ses phrases.

Et moi ?

Hé bien, je ne sais pas du tout !

Une dernière cigarette.

Et je m'en vais lire dans mon lit.

5 juillet 2013

Inertie

Mercredi matin, une dame est arrivée en panique.

Coupure d'électricité programmée.

Aujourd'hui, le progrès aidant, c'est par sms qu'elle a reçu l'info.

J'appelle le service solidarité du prestataire.

Ho ! Ben ! Cela fait juste 6 mois qu'elle n'a pas versé un paiement.

Et plus de 1 500 euros de dettes !

Bagatelle !

Pfffouuuuu...

En principe pour éviter l'interruption de service, il faut payer la moitié de la dette.

Il est évident qu'au vu de son allocation, elle ne peut pas payer la somme requise.

La dame fait sa peuchère.

"J'ai pas beaucoup d'argent, je suis malade, j'ai de l'oxygène la nuit sinon je m'étouffe..."

Et donc ?

Je lui rappelle qu'elle a reçu une aide de 600 euros l'année dernière sur une dette de 1 000.

Qu'il n'est pas possible d'en redemander une étant donné qu'elle n'a pas soldé ce qui restait à devoir.

Et que franchement, j'en ai assez d'elle.

Surtout de son irresponsabilité sous prétexte qu'elle n'a pas d'argent.

Rien ne l'empêchait de payer peu à peu chaque mois pour montrer sa bonne volonté.

Mais non...

Négociation avec le prestataire : versement de 300 euros avant la fin de la semaine et délai de paiement.

Ce qui n'empêchera pas une coupure.

Elle m'appelle jeudi matin pour me dire qu'elle n'a pas pu réunir la somme et me demande de téléphoner au prestataire.

Je lui réponds que téléphoner ne changera rien et n'empêchera aucunement la coupure d'éléctricité.

Le même jour, j'ai reçu un monsieur sur ma permanence.

Complètement à l'ouest.

Me demandant de l'orienter sur une prestation du pôle emploi, que je ne suis pas habilitée à faire !

Une fois achevé son discours confus, il s'est levé énervé sans un mot. 

Je crois bien qu'il s'est remis à boire.

Et hier, appel du gestionnaire d'une résidence sociale pour un monsieur qui ne paie plus son loyer depuis des mois.

Et j'apprends que ce monsieur est addict aux jeux d'argent !

Trop chouette !

Il m'avait avoué boire de trop quelques fois.

Sans doute une manière implicite de me dire son addiction.

Toutes ces histoires m'ont psychiquement épuisée.

Allez ! 

Hop !

Une clope avant d'aller à mon rendez vous avec l'ophtalmo.

2 juillet 2013

Le silence est d'or

Il y a des moments où on aimerait dire les choses qu'on retient.

En particulier face à une collègue peucherette qui se prend un peu trop de pitié pour un monsieur.

Je ne dis pas que nous devons rester de marbre face à la détresse ou à la colère de l'autre.

Mais savoir garder la distance est nécessaire.

Elle commence à critiquer le monsieur qu'elle a reçu pour la première fois aujourd'hui.

Je sens au ton de sa voix qu'elle se serait bien passer de le recevoir.

Elle dit qu'il s'est montré agressif et revendicatif.

J'ai eu l'impression qu'elle en a eu peur.

Ce qu'elle n'avouera jamais.

Elle déteste avouer ses faiblesses.

Donc, elle commence à le critiquer en nous racontant l'entretien..

Je lui réponds que face à la réaction du monsieur, il est peut être utile de repréciser le cadre légal dans lequel nous intervenons et surtout les obligations qui lui incombent s'il veut continuer à percevoir son allocation.

C'est alors qu'elle me dit: " le pauvre, il a du avoir un passé difficile".

Certes.

Mais faire preuve d'empathie ne signifie pas se soumettre aux quatres volontés du premier venu.

J'avais très envie de le lui dire.

Mais je me suis retenue.

Lorsque j'ai compris qu'elle ne voulait pas l'entendre. 

24 juin 2013

En vrac

Ce lundi matin, je n'ai envie de rien. 

Excepté rentrer chez moi.

Samedi dernier, conviés au mariage d'un de ses amis.

Chaleur, attente, blabla du maire et ensuite blabla du curé.

Vin d'honneur sur la place de l'église.

Attente encore.

Photos dans un champs d'oliviers plus que centenaires.

Attente.

Et enfin apéro.

Petits fours décongelés sans goût. 

Idem pour le champagne rosé. 

Repas de noces médiocre. 

Sauf pour le vin.

Et danse jusqu'à quatre heure du matin. 

Dj à la ramasse.

Je n'ai pas dansé.

Pas vraiment mon truc de me trémousser sur une musique qui ne me plait pas.

Dimanche.

Réveil à midi passé.

Belle mère hyper curieuse qui n'attend que les photos pour les commenter allégrement.

Et enfin se poser chez soi.

A ne rien faire. 

Bon...

Heureusement,  que j'ai peu de rendez vous cette semaine.

En même temps, peu de rendez vous, c'est peu de travail donc potentiellement un peu d'ennui.

Que je comblerais par la lecture d'un roman policier.

" Lettres de Carthage" de Bill James.  

Lettres de Carthage

"Dans le quartier résidentiel où Vince et Kate viennent d'emménager, les bâtisses sont cossues, les pelouses impeccables et les voisins bien élevés. Kate est d'ailleurs tombée sous le charme des siens, Jill et Dennis Seagrave, dont la maison la fait rêver. Et pourtant, tout ne va pas pour le mieux dans le couple en apparence idyllique, comme l'attestent les lettres qu'ils écrivent à leur famille ou leurs amis. Derrière la perfection qu'ils affichent, les Seagrave cachent quelque chose d'étrange. Kate n'a pas tort de se poser des questions. Elle est tout de même loin de soupçonner la vérité.

Avec ce roman épistolaire qui pastiche les romans du XVIIIe siècle anglais, Bill James signe l'une de ses oeuvres les plus brillantes et les plus ambitieuses sur le plan littéraire. Violente satire de la classe moyenne supérieure, Lettres de Carthage est un livre au suspense et à la construction diaboliques, qui se joue du lecteur jusqu'à la dernière page."

17 juin 2013

Blonde péroxydée décatie

Elle m'avait contactée  la semaine dernière.

Pour visiter notre logement.

Que mon cher crétin de beau père voudrait vendre.

Il ne vend pas que notre logement.

Il veut vendre tout un ensemble.

Il a tellement peur que ma mère "profite" plus que ses propres enfants de ses biens qu'il veut absolument tout mettre en oeuvre pour ne rien lui laisser.

Quel connard !!

Donc cette blonde, décatie, oui décatie, dont j'ai vite ressenti à la voix que ça ne l'emballait pas plus que ça de faire l'estimation de l'immeuble est arrivée 20 minutes en avance.

Je déteste ça.

Je trouve que c'est un manque de respect.

D'autant plus que j'ai bien vu qu'elle voulait finir sa journée de taff très rapidement.

Ben moi, j'aime prendre le temps de me poser quand je rentre chez moi à 18 heures !

Après 45 minutes de trajet dans une chaleur étouffante.

Car, hélas, je n'ai pas la clim.

D'ailleurs, je me suis promis que ma prochaine voiture serait équipée de la clim.

Je n'avais pas fait le ménage.

Moutons de poussière dans les coins.

Bazar.

Je me suis dit qu'elle devait penser que c'était un peu trash chez nous.

M'en fiche !

Marre de faire le ménage !!

Et puis chez nous, c'est bohème  et pas trasho !

Bon...

Passons.

Soirée solo.

Monsieur a chopé une chouette gastro ce week end.

Et il est resté chez sa petite maman.

Arrêt maladie de trois jours. 

Il reviendra peut être demain.

Trop bien !

Et sinon ?

Au bureau, j'ai eu beaucoup de mal à me concentrer sur les dossiers en cours.

Mais alors absolument pas motivée.

Heureusement que j'ai peu de rendez-vous dans les jours qui viennent.

Allez !

Une dernière cigarette qui tue.

Soirée Hitchcock sur Arte.

Yes !! 

12 juin 2013

Un café

Pour commencer la journée. 

Première cigarette du matin.

Pas envie de me plonger dans les dossiers en attente.

Heureusement que j'en ai peu.

Hier soir, sortie resto avec ma mère,  mon frère et ses deux enfants.

Restaurant gastronomique.

Plats délicieux. 

J'ai particulièrement apprécié l'entrée : un petit pain bagnat de thon en sashimi et truffe.

Une merveille ! 

Rien que d'y penser, j'en ai l'eau à la bouche ! 

Bon.

Faut que je bosse un peu.

J'espère que ma journée de travail sera calme. 

10 juin 2013

Aujourd'hui...

J'ai revu Monsieur M.

Il semblait prêt et motivé pour être aidé.

Il m'a dit avoir eu deux adresses de centres.

Je lui en ai donné une troisième qui se trouve plus près géographiquement que les autres.

Il a dit qu'il irait voir chaque centre.

Pour se faire une idée et qu'il choisirait en fonction de son ressenti.

J'espère qu'il le fera.

Il m'a parlé de sa fille qui a 18 ans.

Et qui est diabétique.

Ça l'angoisse.

Nous en avons parlé.

Il est ressorti du bureau souriant.

Je croise les doigts pour que ça dure.

Et sinon ?

Semaine en solo !

Il est en formation du côté de Lyon.

Ça fait un bien fou !!    

8 juin 2013

Matin gris

Réveillée encore trop tôt !

A 7 heures, j'étais déjà debout...

Il est parti bosser à 6 heures et demie.

Comme hier, je me suis dit que j'allais essayer de me rendormir.

Ben non !

Du coup, je suis fatiguée.

Un peu de Bertrand Belin.

Pas vraiment pour l'optimisme.

Autant le dire.

Mais plutôt pour la douceur du rythme.

Bertrand Belin - Hypernuit par CInq7

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