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Secrètes Pensées
moi je
5 mai 2016

Orange Blossom

Cela fait un moment que je ne buvais plus d'alcool.

Tout simplement pas envie.

Un fond de Gin traine au frais.

Une orange.

Des glaçons.

Des chips.

Parfait en cette soirée de congés.

Jour calme, tranquille, serein.

La nuit enrobe le silence de sa couleur.

Mes pensées s'évadent sur ces petits rien qui font une existence.

Silence et solitude sont mes meilleurs amis.

solitude

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3 mai 2016

Pensée du moment

Delphine de vigan

2 mai 2016

Les hommes

Quels sont mes rapports avec les hommes ?

Mmmmm ???

Le psy me fait remarquer que les hommes dont je parle, enfin surtout ceux de mes collègues, et mes ex aussi, ne trouvent pas grâce à mes yeux.

Ben heu...

Oui.

C'est pas faux.

Ceux que je connais sont plutôt lâches ou égoïste.

Je suis peut être mal tombée.

Ma foi...

Je dois sûrement me cacher de quelque chose d'indicible pour le moment.

Quoi ?? 

Aucune idée.

Est-ce que cela a un rapport avec mon père ??

Oui, possible...

Mon père était très dur avec nous.

Trop, je pense.

Cela m'est resté.

Dans mon intransigeance sur certains trucs.

Je le reconnais volontiers.

Bien qu'avec le temps, je m'assouplisse.

Quoi d'autre ??

Bon...

J'y réfléchirais.

Plus tard.

1 mai 2016

Rien que du gris

Aujourd'hui.

Dimanche venteux et gris.

Mal dormi.

Décidément.

Les dernières nuits me laissent fatiguée au réveil.

Mes neurones doivent agiter mon inconscient pour rien.

C'est souvent comme ça lorsque quelque chose s'ancre dans le cerveau.

Dans le souvenir d'un évènement, ou non évènement, qui persiste à vouloir laisser une trace.

Le petit truc qui obsède.

Mes collègues sont comme ça.

Obsessionnelles qui, en plus, partagent leur vie avec des obsessionnels.

Chouette !

Elles se font une montagne d'un rien.

Hyper anxiété.

Je m'en passerai volontiers de leur angoisses inutiles !

Alors, je m'en amuse pour les supporter.

Mais pourquoi j'écris sur les collègues un dimanche ??? 

Bientôt les congés !

Ouiiiiii !!! 

24 avril 2016

Fatiguée

D'une nuit en pointillés.

Café pour me réveiller.

Un peu.

Déjeuner en famille au resto aujourd'hui.

Ma nièce vient d'avoir 14 ans.

Ils sont super loin mes 14 ans.

Et tant mieux !

Je n'aime pas mon enfance et encore moins mon adolescence.

Adolescence un peu trop tourmentée.

De questions existencielles.

Déjà.

J'ai une super flemme. 

Allez !

Une douche me réveillera complètement.

Et une petite pépite musicale !

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22 mars 2016

Pleine lune

Présage une nuit blanche.

Je dors très mal les nuits de pleine lune.

La journée de formation s'est achevée à 16 heures.

Tant mieux.

Il arrive un moment où l'ennui fait place à la curiosité.

Je me demande, après coup, si le formateur n'est pas dans une demande insconsidérée, et inconsciente, de reconnaissance avec son humour et ses mimiques censés capter toute notre attention.

A un moment, il parlait du suicide.

Comment s'adresser à une personne qui dit vouloir se suicider ?

Cela m'a évidemment renvoyé à moi-même.

Et surtout au Monsieur qui m'avait dit penser très souvent à se jeter sous un camion.

Le formateur nous a fait part d'un cas qu'il a suivi et qui s'est donné la mort, à l'âge de 27 ans.

Un jeune homme très brillant, qui a fait de belles études mais qui ne trouvait absolument aucun intérêt à vivre.

Un jeune homme sans aucun souci, aucun trauma.

Juste une absence d'envie de vivre.

Inexplicable.

Pour le formateur qui en est visiblement marqué.

Comme si la vie était si précieuse qu'il faille absolument la vivre.

Ben non...

21 mars 2016

Ce matin

Réveil à 6h45.

Départ à 7 heures 30.

40 minutes de trajet jusqu'au lieu de la formation.

40 minutes pour trouver une place où se garer !!!

J'ai tourné, viré, fait dix fois le tour de pâté de maison  et j'ai fini par trouver une place à 8h55 !

Misère !

Juste le temps d'arriver à 9 heures pour m'installer dans une petite salle sans fenêtre.

12 participants dont 2 hommes.

Journée de formation intéressante.

L'intervenant, un psychologue, est dynamique et a de l'humour.

On passe en revue tous les troubles psy du moment auxquels nous pourrions être confrontés.

Pause déjeuner.

Panini beurk !

Et reblabla l'après-midi.

Retour dans les embouteillages dûs à des travaux.

Suite à une erreur de trajet.

J'avais pourtant le GPS.

Sur la route, j'avais l'étrange sensation de redécouvrir ce qu'est de conduire en ville.

C'est comme si je n'avais pas conduit depuis des semaines.

C'était vraiment bizarre.

D'avoir écouté tous ces trucs sur les troubles mentaux, je me suis demandée à quel point je pouvais être névrosée.

Je pense qu'il vaut mieux ne pas savoir...

18 février 2016

Un peu de sérénité

Enfin !

Je me retrouve.

J'ai déménagé tous les dossiers et la tonne de paperasse dans un autre bureau cette après-midi.

La jeune collègue perfectionniste en a été informée par je ne sais qui.

Avant même que je le lui dise.

Bof !

Elle peut penser ce qu'elle veut de moi.

Je lui laisse volontiers la mielleuse et la peucherette.

De toute façon, elle a envie de partir.

Elle est tellement dans une volonté de paraitre parfaite que cela semble lui couter de se rendre compte qu'elle ne peut pas tout contrôler.

Elle était absente hier.

Angine.

Et ce matin, elle râlait.

Elle ne comprend pas pourquoi deux personnes venues hier après-midi durant sa permanence n'ont pas été reçues alors qu'elles sont suspendues de leur prestation.

Elle considère ces situations urgentes à traiter.

Je n'étais pas au courant sinon je les aurais reçues pour faire un point.

La nouille de sous chef a du penser qu'il ne fallait pas me charger de ces situations au vu de mon "état" émotionnel actuel.

Re Bof !

Elle était en colère.

Elle veut en parler en réunion.

Le fera-t-elle vraiment ?

Elle me fait penser à l'une des secrétaires qui est en arrêt maladie depuis une dizaine de jours.

Cette secrétaire qui se veut parfaite.

Mais qui a été quittée par son mari au bout de 20 ans de mariage.

Sans réelle explication de sa part.

Sans doute est-t-elle trop "parfaite"...

En ce début de week end, je me sens plus légère.

C'est fou ça !

16 février 2016

Ch'uis pas sûre...

D'aller mieux.

Mais j'essaie de faire face comme je peux.

Certaines collègues m'ont demandé si j'allais bien.

Je leur réponds Bof!

Je leur réponds que je vais changer de bureau.

Je leur ai même parler de la raison de ce changement.

Ce matin, c'était analyse des pratiques.

Etrangement, deux collègues qui ne viennent jamais étaient présentes.

Je me demande bien pourquoi.

Une surtout qui n'était pas censée être là mais en congés.

Encore un truc qui devra rester secret.

Après la séance, j'ai demandé à parler avec le psy.

Cela a duré une bonne heure.

J'avoue que je n'en ai retenu que quelques bribes.

Les mots solitude, rejet, souffrance et surmoique à propos de la collègue mielleuse sont les seuls qui me reviennent en mémoire.

Hier, le directeur a souhaité s'entretenir avec moi.

Je lui ai dit ce qu'il en était.

Le sentiment de harcèlement par cette collègue et le ras le bol lié au non sens de mon travail.

Il me répond que j'ai des capacités intellectuelles que je n'exploite pas assez.

Heu...

Mouais...

Est-ce censé me rassurer ??

Ma foi...

Bon...

Une petite pépite musicale pour se relaxer !

14 février 2016

Moral à plat

Je devrais cesser de cogiter.

Mais je n'y arrive pas...

Pas envie de retourner travailler demain.

Une de mes stagiaire m'a envoyé un texto pour me demander si j'allais bien.

Bof !

Je suppose qu'elle craint que je ne sois encore absente.

Ce qui pourrait poser problème pour la validation de son stage.

Le stresam ne me fait aucun effet pour le moment.

Je fume plus que d'habitude.

Très mauvais pour ce que j'ai.

Bof ! 

Au point où j'en suis...

9 février 2016

J'ai craqué en pleine réunion

La nouille de sous chef a commencé son blabla sur droits et devoirs et contrôle et loi.

Le truc qui me pompe l'air au possible.

Et qu'en est-il du respect et de l'écoute ??

Je disais un truc sur mon positionnement professionnel.

Je disais combien j'étais révoltée que les personnes que nous suivons soient à ce point obligées d'être soumises à un dispositif inepte censé les sortir de la pauvreté.

Et j'ai senti une grande tristesse m'envahir.

Ma voix s'est brisée.

Et je me suis mise à pleurer.

Je suis sortie de la salle.

Pour rejoindre mon bureau.

Ma stagiaire m'a suivie et a voulu me consoler.

J'avais juste envie d'être seule.

Elle me dit que je prends trop les choses à coeur.

Que je devrais prendre des congés.

J'ai appelé mon médecin.

Et je suis partie.

Je suis arrêtée jusqu'à la fin de la semaine.

Il m'a prescrit du stresam.

Lui aussi est mal dans son job.

Il en a marre de la paperasse administrative et du contrôle dont les médecins font l'objet depuis des mois.

Il me dit que les patients qu'il reçoit sont tous plus ou moins dans une forme de déprime.

Désabusés.

Pour ma part, je me sens totalement vide.

Vide de sens.

Encore ce fichu SENS !!

En tout cas, cela me fera beaucoup de bien de ne plus voir certaines collègues durant quelques jours.

Et c'est sûr, je change de bureau la semaine prochaine.

A défaut de changer de travail, au moins je changerais d'ambiance.

Et je fume une dernière cigarette...

7 février 2016

Pluie

Il fait froid.

Gris et moche.

J'ai été d'une humeur plus que morose ces deux dernières semaines.

Comme j'en ai marre de me sentir exclue au sein de mon propre bureau, j'ai décidé d'en changer.

Je le ferais dans une semaine lorsque deux de mes collègues seront en congés.

Je n'aurais plus à subir l'hypocrisie de la mielleuse de service et les pleurnicheries de la peucherette lâche et égoïste.

A force de vouloir résister, je me perds.

Et je me rends compte que je m'appauvris à leur contact.

J'ai mis un temps fou à me décider.

Tout ça par fierté, voire orgueil.

Qu'est ce que j'ai pu être bête de vouloir résister aussi longtemps...

25 janvier 2016

Démotivation totale du lundi

Le matin, je suis en mode robot.

Sur le trajet, je ne pense à rien.

J'essaie de me concentrer sur la circulation, sur la musique.

Je suis arrivée en retard.

J'arrive régulièrement en retard depuis le retour des congés.

Je m'en fiche.

Je ne suis pas la seule d'ailleurs.

A arriver en retard.

A croire que cela devient normal.

A peine arrivée, j'ai déjà envie de repartir.

J'ai traîné mon âme en peine toute la journée.

Lorsqu'un monsieur s'est présenté sans rendez-vous, ça été le sommet.

Il revient du bled après trois mois d'absence.

Sa soeur qui l'hébergeait me dit que son mari ne le veut plus.

Ouais !

Super la solidarité familiale !

Il veut un studio tout de suite.

Mais bien sûûûûûr !

Où ai-je donc caché ma baguette magique ?! 

Unique solution du moment, le 115.

Ha non ! me répond sa soeur.

Il ne va pas aller avec des clochards !

Haaaaaaa ?

Boooon ??

En plus, il n'a pas changé son code, à 8 chiffres à présent, pour accéder à son compte sur le site internet du grand distributeur de prestations sociales.

Il doit donc se rendre au guichet de ce service pour actualiser sa situation.

En attendant, il risque fort de ne rien percevoir début février.

Et comme cela ne suffit pas, il doit également se trouver une nouvelle adresse où recevoir son courrier.

J'adoooooore ce genre de situation merdique !!

JE N'EN PEUX PLUS !!

J'ai rendez-vous le 19 février avec le service psy.

Le psy qui me suivait demande que je repasse par la case départ, c'est à dire par une entrevue avec l'infirmier psy.

Allons y !

Lorsque j'avais pris rendez-vous, je n'ai pas eu le temps de dire quoi que ce soit.

Et en particulier, que je pouvais être suivie par un(e) autre psy.

La collègue blonde platine s'est vue prolonger son arrêt maladie pour un mois par son médecin.

Je crois que, moi aussi, j'ai besoin de faire une longue pause dans mon travail.

J'ai un grand besoin de me ressourcer.

Un grand besoin de renouveau.

Bon.

Ben...

Je vais me coucher !

20 janvier 2016

Je fume...

La dernière cigarette de la journée.

De cette journée où l'épuisement s'est accentué depuis le retour des congés.

Où je n'aspire qu'à rentrer très vite chez moi.

Loin de toute la détresse des gens que je reçois.

Loin des connes du bureau.

J'ai reçu ce matin un homme de 40 ans totalement déprimé.

Qui n'a aucun projet.

Qui vit dans la peur de perdre son logement.

Un homme dont la précédente collègue, d'une autre structure, a décidé d'arrêter de suivre.

Le cousin de ce monsieur s'étant montré un poil agressif.

 Je fais le point de sa situation.

Sa mère est décédée en 2013 suivi par son père.

Il est divorcé depuis quelques années.

Il ne voit plus sa fille de 8 ans qui vit avec la mère dans le nord.

Il en est désespéré.

Son cousin vit à Lyon.

Il descend régulièrement pour l'aider dans ses démarches car ce monsieur n'a personne ici sur qui compter.

J'ai eu ce cousin au téléphone.

Il m'a paru très censé.

Et loin d'être aussi agressif que ce que m'en a dit cette collègue.

Il a fallu que je me dépêche de faire une enquête sociale pour la procédure d'expulsion.

L'audience a lieu le 25 de ce mois.

Et il faut la transmettre a minima 10 jours avant.

Cette collègue avait fait cette enquête.

Mais imprécise et il manquait des éléments essentiels pour comprendre la situation de ce monsieur.

Elle a argumenté ne pas l'avoir transmise aux services concernés parce qu'il n'avait pas signé ce document.

Ma foi...

Il m'est déjà arrivé de faire sans la signature.

Ça n'empêche aucunement de faire le travail correctement.

Pffffouuuuuu...

Je déteste travailler dans la précipitation.

Cela me rappelle la peucherette de service qui ne voulait pas faire une telle enquête sous prétexte que la famille ne s'était pas présentée au rendez vous qu'elle lui avait fixé.

Et alors ?

Elle connaît cette famille depuis un moment et avait donc des éléments pour exposer simplement sa situation.

Personne ne lui demande de prendre partie.

Je lui en avait fait la remarque.

Elle a bougonné car elle n'avait pas envie de la faire cette enquête.

Mais pour qui travaillons nous ??

Pour soi ou pour les autres ?

Je sais très bien pourquoi je suis devenue assistante sociale

Je savais qu'un jour je me retrouverais épuisée.

Parce que c'est un métier usant sur le plan émotionnel.

Mais je pense toujours avoir au fond de moi un idéal.

Un idéal de justice, d'humanité et de générosité.

Cet idéal qui me porte.

Et qui est mis à mal aujourd'hui.

Car ceux qui ont tout sont les plus égoïstes qui soient.

En particulier une grande partie de mes collègues.

Qui ne pensent qu'à leur petit bien être.

Celles qui pensent qu'elles sont compétentes alors qu'elles sont figées dans des schémas prédéterminés.

Et qui ne s'interrogent jamais vraiment sur leur pratique de travail.

Et qui, surtout, veulent montrer une image irréprochable d'elles-mêmes.

J'arrive à saturation de cette ambiance hypocrite.

17 janvier 2016

48 ans

Déjà...

Misère !

Café

Clope

Poussière

Aspirateur

Soleil

Froid glacial

Musique

11 janvier 2016

Tu brodes...

Dit la mielleuse de service à sa stagiaire.

Ho !

Chouette !

C'est donc dans le mensonge qu'elle apprend le métier à la jeunette, réservée, mais pleine de bonne volonté.

Une fois, la mielleuse avait carrément falsifié la date d'un documment pour soit disant ne pas pénaliser un monsieur.

Elle l'a fait devant la stagiaire.

Qui n'a rien dit.

Pfffouuuu...

Je ne supporte pas cette attitude.

Car cela m'agace profondément.

Passons.

Mon ex m'a appelée hier.

Des mois sans signe de sa part.

Et voilà qu'il donne de ses nouvelles.

Il avait perdu sa liste de contacts quand son smartphone a rendu l'âme suite à une enième chute.

Et blabla sur tout, sur rien.

J'ai l'impression qu'il n'est pas très heureux.

Et moi ?

Suis je heureuse ??

Ma foi...

A vrai dire ?

Je ne sais pas.

6 janvier 2016

Ben ouais...

C'est l'hiver.

Givre sur le pare brise.

Reprise du travail.

Démotivation.

Et Bonne année aux unes mais surtout pas à d'autres.

Nez bouché.

Voix nasillarde.

La blonde platine a prolongé son arrêt jusqu'au 23 janvier.

La mielleuse de service est en arrêt maladie pour la semaine.

Une autre collègue est elle aussi en arrêt maladie.

Nouille de sous-chef toujours aussi mou et hypocrite. 

Dossiers qui s'entassent à nouveau.

Bon...

Soldes !

Je craque ou pas ?

Sur ces jolis botillons couleur bordeaux ? 

Ou sur ce joli sac noir en cuir avec des clous ?

Ou encore sur ce très joli foulard en soie ?

Dont je n'ai absolument pas besoin. 

Je vais plutôt me coucher...

31 décembre 2015

Un jour...

Je me perdrai sur la route.

J'oublierais qui je suis.

Où je vais.

Plus rien ne me retiendra.

Mais vraiment plus rien...

24 décembre 2015

Super fatiguée

Nuit sans sommeil.

Je suis malade.

Toux,  maux de gorge, éternuements et nez qui coule..

Chouette !

Je m'en serais bien passé.

Du coup, je me traîne.

Mardi, déjeuner chez ma mère.

Rien de fabuleux à en retenir.

On doit se revoir le 27 ou le 28.

J'ai presque envie de retourner sous la couette...

Tiens ? 

Un rayon de soleil.

Fugace.

Ça fait du bien.

Entre deux nuages.

20 décembre 2015

Blues d'un dimanche gris et froid

Hier, mon frère m'envoie un texto.

Pour me demander de trouver un resto pour aujourd'hui.

Ma jeune soeur passe quelques jours en France.

Pas envie de voir ma famille.

Je ne sais pas pourquoi.

Mais je sais que je n'en ai pas envie.

N'étant pas en forme, je lui réponds que ce sera sans moi.

Il s'étonne.

On reporte.

C'est tout aussi bien.

Je ne suis pas d'humeur en ce moment.

Vraiment pas.

Je me replie.

Dans la solitude bienveillante.

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