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Secrètes Pensées

5 octobre 2012

Pas envie de parler au psy

Non pas envie.

Depuis quelques jours, je me disais que j'allais annuler le rendez-vous de ce matin.

Ce que j'ai fait.

Non pas que je n'ai pas besoin de m'exprimer.

Mais bien plus parce que je trouve qu'il manque trop de répondant.

Le silence, c'est bien beau mais j'ai trop souvent ressenti être dans le monologue.

Si c'est pour faire une auto analyse, autant rester chez moi.

Ma semaine a été pénible sur le plan émotionnel.

Situations merdiques qui se sont enchaînées.

Une dame qui dort dans sa voiture.

Orientée par l'imbécile de chef sous prétexte que je suis "experte".

Experte en quoi ?

En situations tragiques ??

Elle a été expulsée il y a 4 ans.

A un important problème de santé.

Pas de solution de logement durable dans l'immédiat.

Elle ne veut pas aller en foyer.

Et je fais quoi, moi ??

J'écoute.

Je lui offre un café, des clopes, lui donne des tickets resto.

Et je la laisse repartir vers sa destinée misérable du moment...

Ensuite, j'ai reçu, pour la première fois, un jeune couple dont la dame est enceinte de 7 mois.

Qui dorment dans leur voiture, eux aussi.

Ils en ont eu assez de leur logement à la toiture délabrée qui laissait passer la pluie.

Et, donc, ont décidé de quitter leur appartement.

Sans aucune solution de relogement.

Ils sont sans domicile depuis 6 mois.

Malgré cela, ils restent vaillants et optimistes.

je leur donne une liste d'hôtels meublés.

C'est tout ce que je peux faire dans l'immédiat.

Mais elle commence tout de même à désespérer car tous les propriétaires qu'elle contacte via les petites annonces refusent de louer quand elle leur annonce qu'elle est au RSA.

La peur du "pauvre" qui ne paie pas son loyer.

Pfffouuuuuuuu.....

Bon...

C'est le week end.

Autant me reposer les neurones.

Et cesser de m'inquiéter.

Car ça ne changera pas grand chose pour le moment.

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4 octobre 2012

C'est pas bien !

Non.

C'est pas bien de s'être réunis entre collègues.

Un mardi après midi, où d'habitude il y a réunion.

Certes, l'imbécile qui nous sert de chef n'en avait pas été informé.

Mais comme il ne prend jamais d'initiative, cela à été décidé spontanément par une collègue.

Il est passé devant la salle.

Nous a vu tous réunis.

À décidé d'intervenir.

Pour nous faire un speech du style : c'est pas bien ! Vilains salariés !

Pfffouuuuu....

Pathétique !

Et il nous a convoqués un par un.

Super n'importe quoi !

Je ne suis pas une gamine de 5 ans !

Et ma collègues mielleuse qui se range à ses côtés en déclarant que " ben oui, il fallait lui en parler, c'est normal qu'il réagisse ainsi."

Certes.

Mais s'il était compétent, il aurait du anticiper et proposer de lui-même cette réunion et même l'animer.

Mais rien.

Depuis que la sous chef blonde est partie, il n'assume pas beaucoup.

Il passe plus de temps scotché à son mobile à discuter avec ses potes.

Et à parader.   

30 septembre 2012

Blues du dimanche...

28 septembre 2012

Pompette...

Un apéritif au vin blanc...

Qui se poursuit.

Je suis pompette !

La semaine fut inintéressante et au final assez banale.

J'ai passé du temps à écrire des textos à un mec qui rêve de me voir nue.

Nous avions bien accroché il y a deux ans de cela.

Nous nous sommes rencontré une fois.

Je ne me suis pas sentie attirée.

Mais le feeling était quand même présent.

Nous sommes en contact depuis.

Une forme de confidentialité virtuelle.

C'est le week-end !

Enfin !

Me libérer de la tension du travail.

Cela fait un bien fou !

21 septembre 2012

Désespérance...

D'une journée banale de travail. 

Son état de santé s'est dégradé.

Son arthrose cervicale lui donne régulièrement des vertiges.

Elle doit subir de multiples interventions chirurgicales.

Et, je crois bien, qu'en plus, elle a un problème d'addiction.

J'ai senti l'odeur de l'alcool.

A dix heures du matin.

Bon...

Je ne fais aucune remarque. 

Ensuite, j'ai reçu une dame d'une cinquantaine d'année.

Que je suis depuis deux ans.

Elle a quatre enfants.

Des garçons.

Adultes.

Tous les quatre drogués entre fumette et alcool.

Du matin au soir.

Dont deux ont fait la mauvaise expérience de la prison.

L'un des deux en est ressorti traumatisé.

Il est devenu dépressif au possible et également agressif.

Il attend une place pour entrer en hospitalisation et se poser.

Elle, elle résiste.

Toute repliée sur elle-même.

A supporter une vie quotidienne de soumission.

Ses fils la traitent comme une bonniche.

Et elle ne paie plus ses factures d'énergie depuis des mois.

Dans son malheur, elle a bénéficié d'un effacement de ses dettes.

Mais elle s'est imaginé que ce n'était presque plus la peine de payer ses factures.

Hé non !

Tu consommes ?

Oui ?

Hé bien, tu paies !

Sinon, tu t'éclaires à la bougie et tu laves tout le linge de la maisonnée à la main et à l'eau froide !!

Et tu mets quatre couches de fringues en hiver !!

Non, non !

Je ne lui ai pas dit ça !

J'ai tout de même "recadrer" un peu. 

Et arrive une troisième dame.

Elle a une trentaine d'années.

Et on lui a découvert une leucémie il y a quelques semaines.

Elle m'avait dit se sentir très fatiguée et avoir comme des "boules" douloureuses derrière la nuque.

J'ai regardé.

Et je lui ai conseillé alors d'aller très très vite consulter.

Elle a fait analyser son sang.

Elle ne comprenait pas trop.

Elle m'a parlé de globules blancs et rouges et de microbes dans le sang.

Je me suis dit que c'était peut être la leucémie.

Ce qu'elle m'a confirmé par la suite.

Mais, je crois bien que son médecin n'a pas osé lui dire la gravité de son état.

Elle me dit qu'elle a mal aux os.

Elle me raconte qu'elle ne veut plus habiter dans son appartement.

Que deux hommes se sont introduit chez elle et l'ont agressée.

La serrure étant peu sécurisée et la porte ayant déjà été fracturée.

Elle a trouvé réfuge chez sa soeur qui a six enfants et ne pourra pas l'héberger très longtemps.

Elle veut que j'appelle son bailleur car il y a la commission d'attribution aujourd'hui.

Manque de bol, le standard téléphonique merdouille.

On ne peut pas passer d'appels !

Pfffouuuuu....

Après ces trois rendez-vous, je me suis sentie complètement épuisée émotionnellement.

Du coup, j'ai emprunté un livre sur l'optimisme.

"La force de l'optimisme" de Martin SELIGMAN.

SELIGMAN

 Présentation de l'éditeur

La lucidité n'est pas l'apanage du pessimisme. Dans ce livre réjouissant, Martin Seligman révèle que l'optimiste est plus heureux non pas parce qu'il ne voit pas la réalité telle qu'elle est mais parce qu'il porte un regard différent sur elle : un regard de confiance en sa capacité d'agir. Voilà sa force : là où le pessimiste se sent impuissant, l'optimiste sait identifier des portes de sortie. Cette vision positive du monde a généralement été développée en nous dès l'enfance. Ses effets bénéfiques sont légion : plus grande résistance à l'adversité, meilleure santé, meilleure réussite, vie plus agréable. La bonne nouvelle est qu'il n'est jamais trop tard pour en prendre conscience. À tout âge, nous pouvons réapprendre à avoir confiance en la vie et à en faire profiter nos enfants. C'est le chemin que l'auteur, un des grands psychologues de notre temps, a lui-même suivi. Dans cet ouvrage chaleureux, il montre comment, vous pouvez, à votre tour, transformer votre vie par un optimisme salutaire. Alors, soyez réaliste : apprenez à faire confiance à la vie.

J'espère bien que sa lecture m'apportera un regard nouveau sur plein de choses.

Car je me trouve un peu trop négative et fataliste.

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18 septembre 2012

A la tête du client

La semaine dernière, une dame m'appelle et me dit qu'elle ne comprend pas pourquoi on ne lui a accordé que 153 euros.

Je l'avais bien informée que l'aide financière qui lui serait accordée le serait en priorité pour le bénéfice de son enfant.

Que le frigo dont le thermostat dysfonctionne et la machine à laver qui risque de tomber en panne, ne seraient peut être pas pris en compte comme éléments prioritaires.

Elle répond que je travaille à la tête du client. 

Ha ?! Mais bien sur !

Ni une, ni deux,je lui dit que je ne travaille pas de cette manière.

Et que je vais demander à ne plus la suivre.

J'en discute avec la sous chef blonde qui déclare qu'elle prendra contact avec elle.

C'est arrivé le lundi de la semaine dernière.

Et j'attends. 

J'ai du la relancer hier pour savoir ce qu'il en était.

Elle n'avait rien décidé !

Et dans l'apres midi, elle vient me voir pour me dire qu'en échange, j'allais reprendre le suivi d'une dame qui apparemment a mis son compagnon dehors par jalousie excessive. Une dame qui se serait auto mutilée expressément pour faire croire qu'elle est battue...

Trop chouette comme situation !

La sous chef blonde a visiblement tardé à prendre contact avec la dame que je ne veux plus suivre. 

Cette dame m'appelle ce matin pour se plaindre car le fournisseur d'électricité lui a envoyé une relance. 

Je lui dis ce qu'il en est de ma démarche et que la sous chef blonde l'appellera.

Et, bien entendu, je passe pour la vilaine et méchante assistante sociale qui ne veut pas l'aider.

Sur ce, la sous chef blonde entre dans notre bureau et elle comprend qui j'ai à l'autre bout de la ligne et me dit qu'elle l'appellera avant la fin de la matinée.

A l'heure où j'écris ces lignes, je ne sais toujours pas si elle l'a fait...

Car elle a passé la journée à préparer son pot de départ.

Et a passé l'après midi, bien ivre, à papoter avec les secrétaires.

Au lieu d'animer sa dernière réunion.

Que nous avons du faire seuls.

Et jeudi, il n'y aura aucun cadre pour notre service...

Misère !!

Pffffouuuuuu.....

13 septembre 2012

Éparpillement neuronal intense

Prise de tête de bon matin avec un monsieur limite parano. 

Mais pourquoi est ce que je l'écoute ?

Je ferais mieux de faire court et d'aller à l'essentiel plutôt que de vouloir le comprendre. 

Il m'a tenu un discours confus où j'ai vainement tenté de discerner un fil conducteur pour l'amener à un vague semblant de quelque chose à mettre en oeuvre.

Il m'a reproché je ne sais plus quoi.

Happé par sa dépression gluante.

A-t-il seulement envie de s'en sortir ?

Et sait-il ce qu'il veut de sa vie ?

Rien n'est moins sûr.

En tout cas, ce que je sais c'est qu'au prochain entretien, je ne l'écouterais que de loin.

Parce que son désespoir ne changera pas de si tôt. 

Et qu'il m'ennuie. 

Et que je sens bien qu'il est dans une telle obsession de son passé, qu'il n'est pas du tout prêt de s'en échapper. 

Je me dis que ce type de situation rend mon quotidien professionnel pénible.

De plus en plus pénible.

Je réfléchis depuis un moment sur mon attitude et au comportement à adopter non seulement dans ma vie professionnelle mais également dans ma vie personnelle.

Qu'est ce que je pourrais améliorer ?

Et, est ce bénéfique d'aller en ce sens ?

Est ce utile ??

Sans nul doute...

Suis je sur la bonne voie ?

12 septembre 2012

Pfffouuuuu

Ce matin a été très calme.

Le seul rendez vous de la matinée a fait faux bond.

L'après midi a vu défiler son lot de demandes d'aides financières.

Et ses angoissés.

J"ai eu droit à des petits gâteaux arabes.

Et à un porte clé !

La question du cadeau est toujours délicate.

Celui qui m'a offert  un porte clé  - une danseuse ailée pleine de strass - me dit : "cachez le ! Il pourrait y avoir des jalouses !".

Moui...

Je suis toujours gênée de recevoir un cadeau.

Je dis merci avec le sourire.

Je partage les gâteaux avec mes collègues.

Il y en a un qui m'a carrément apporté une cartouche de cigarettes !

Certes, il les a par son frère qui voyage très très régulièrement et donc les a pour pas cher.

Mais tout de même !

Je lui ai dit que ce n'était pas du tout nécessaire de me faire ce cadeau.

Je le soupçonne de me draguer l'air de rien. 

Et sinon ?

Une nouvelle est arrivée pour remplacer la chieuse de service qui est en congé maternité.

Une liste et une enveloppe circulent pour le pot de départ de la sous chef blonde.

Je ne participerais à rien.

Cette manie de faire un cadeau pour le départ d'un collègue m'agace.

D'autant plus que c'est organisé pour certains et pas pour d'autres.

Quelle hypocrisie !

Bon..

Fini de râler pour aujourd'hui !

Je vais me cramer les poumons !

11 septembre 2012

Instantanés du moment

Je déteste le cliquetis nerveux que fait ma collègue lorsqu'elle utilise le clavier

L'ouverture des bureaux s'est faite avec une demie heure de retard. 

J'ai oublié mes cigarettes. 

Je suis déjà fatiguée de cette journée de travail avant même de la commencer réellement. 

Un p'tit café ou alors de la vitamine C ??

8 septembre 2012

Poursuivre ou cesser...

La reprise du travail a été lente et plutôt courte.

Juste trois jours.

Une nouvelle a remplacé celle embauchée avant les congés. Cette dernière manquait de rigueur.

La sous chef blonde en partance est dans un état de relâchement.

J'ai l'impression qu'il règne une ambiance étrange, mélange de distance et de défiance sous une apparente bonhommie.

J'ai donc revu le psy hier.

Je lui ai dit que je réflechissais à l'idée de mettre fin à nos séances.

Que revenir dans un lieu où ma mère avait travaillé il y a plusieurs années, bien avant que cela soit un service psy, m'avait interpellé.

Et qu'en plus, il se situe dans le quartier où j'ai vécu vingt cinq ans d'une vie faite de souffrance me pose question sur le bénéfice que je peux symboliquement retirer de ces séances.

Car remontent à ma conscience de trop nombreux souvenirs enfouis bien profondément dans les méandres de ma mémoire.

Je déteste ça !

Il a répondu que la question à se poser était de définir l'objectif du suivi. 

C'est bien simple.

Je veux me comprendre.

Comprendre pourquoi j'ai telle ou telle réaction comportementale face à une situation donnée.

Je me connais suffisamment à présent pour savoir que beaucoup de ce que je mets en oeuvre comme comportements est lié inévitablement à ce que j'ai pu vivre plus jeune.

Mettre en paroles ce vécu et les ressentis peut-il avoir un réel impact sur ma conduite présente et à venir ?

Je ne sais pas répondre à cette question.

Et visiblement, le psy ne le pourra peut être pas non plus.

J'ai l'impression que je trouve par moi-même les réponses à mes questions lors des séances.

Je trouve vraiment qu'il manque de répondant et de finesse dans l'analyse de mon discours.

Je dois le revoir dans un mois.

D'ici là, j'ai bien le temps de réfléchir encore à ce que je souhaite pour mon bien être psychologique.

1 septembre 2012

Dernier weekend...

Avant le retour au travail.

Je profite de ma solitude pour faire le point.

Sur tout et un peu n'importe quoi de ma vie du moment.

Mon désir de changer quelque chose à ma vie reste présent.

Changer de travail ?

Le quitter ?

Changer de lieu de vie ?

Mais je crois que je n'ose pas agir.

C'est comme si une main invisible me retenait.

Franchement...

Je me trouve pathétique au possible.

29 août 2012

Chère solitude...

Te revoilà enfin !

Quatre jours avec lui.

Et je n'en pouvais plus !

De le voir vautré devant la télé. 

Après un week end ennuyeux chez Bellefamilleland, il a eu deux jours de repos.

Je me rends compte que notre relation m'ennuie profondément.

D'autant plus que si je ne prends pas d'initiatives, lui en prend encore moins.

Ne serait-ce, simplement, qu'au quotidien.

C'est vraiment usant.

Le vie quotidienne à deux, ce n'est vraiment mais vraiment pas fait pour moi.

24 août 2012

Temps qui passe...

Birdy - 1901

Une jolie reprise du titre de Phoenix  - Album "Wolfgang Amadeus "
23 août 2012

Où est la fraîcheur de la pluie ?

J'en ai assez de cette chaleur étouffante.

Qui rend léthargique au possible.

Je sens que je vais aller faire  un tour chez le coiffeur.

Mes cheveux sont soit pas assez longs, soit pas assez courts.

Trop long, cela finit par devenir un brin ringard.

Trop court, je n'aime pas....

Bon...

Je finirais par trouver la bonne longueur.

Pffffouuuuu....

Envie de rien.

19 août 2012

Considérations futiles du moment

Peau  moite de chaleur.

33° à couvert.

Apathie.

Eau glacée.

Robert Francis et Norah Jones en fond sonore.

Il bosse aujourd'hui.

Liberté.

De l'inaction.

Neurones à 2 de tension...

18 août 2012

Mélancolie douce et rêveuse...

16 août 2012

Fait trop chaud pour...

Bouger.

Lecture du moment.

"La belle vie" de Matthew Stokoe.

La belle vie

RÉSUMÉ DU LIVRE

"Hollywood, l'usine à rêves. Jack n'a qu'une ambition : devenir célèbre, peu importe le prix. Il veut ressembler à ces stars dont la vie s'étale dans les tabloïds : Brad Pitt, Johnny Depp,Tom et Nicole. Pour assouvir son désir, il est prêt à côtoyer un monde dont les vices défient l'imagination. Un monde de drogues et de crimes, de putes, de spectacles extrêmes, d'incestes, de trahisons et de désespoir. Lorsque son épouse, Karen, est retrouvée morte, il se met en quête de son meurtrier et rencontre Bella, une femme de pouvoir. Alors qu'il voit en elle une chance unique d'accéder à la gloire, son cauchemar ne fait que commencer... La belle vie constitue une plongée saisissante, et inédite par sa radicalité, dans les entrailles du rêve américain. MatthewStokoe nous livre ici un des romans contemporains les plus puissants jamais écrits sur l'envie et sa face cachée."

Monde superficiel, bestial, cruel et particulièrement déviant.

Mais bien écrit.

Décidément !

J'ai le chic pour choisir une lecture pleine de légèreté pour les vacances !

12 août 2012

Cool farniente....

3 août 2012

Vacances

Semaine laborieuse.

Plein d'aides financières à instruire. 

De rendez-vous à la dernière minute.

Aujourd'hui, la journée a été calme.

Nous discutions d'éducation d'enfant.

Une collègue se disait impuissante face à son fils de cinq ans.

Elle voudrait qu'il range sa chambre de manière spontanée.

Ben...

 A cinq ans, on s'en fiche royalement du rangement !

Donc elle nous racontait que parfois, elle s'énervait après lui.

Jusqu'à sentir une violence s'emparer d'elle.

Violence dont elle a peur.

Et elle s'est mise soudainement à pleurer.

Et la mielleuse de service qui y va de son explication psy de supermarché.

Et qui ne laisse personne d'autre qu'elle trouver LA solution.

Je me disais que ma collègue en pleurs était en souffrance.

A quoi peut donc renvoyer cette exigence envers son enfant ?

Pourquoi s'énerver s'il ne veut pas ranger sa chambre ?

Tant de douleur...

Voilà comment fini ma dernière semaine de travail.

Les vacances me tendent les bras.

Quatre semaines de farniente.

30 juillet 2012

Soudaine envie de...

Pâtes à la carbonara !

En attendant qu'IL rentre.

C'est à ça que je pense...

Hélas...

Des pâtes oui...

De la crème oui....

Mais pas de lardons !!

Ni d'oignons !

Et zut !

Soudaine frustration !!!

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