Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Secrètes Pensées
solitude
29 décembre 2014

Solitude

Mon ex amant voudrait venir me voir.

Voire même passer la soirée de la Saint Sylvestre avec moi.

Bof !

Il est toujours aussi seul.

Sûrement encore plus que je ne peux le ressentir moi-même certains jours.

Je lui ai fait comprendre que je préfère rester seule plutôt que de combler faussement nos solitudes.

Il dit comprendre.

Je reconnais me sentir très seule quelques fois.

Mais pour autant dois-je absolument combler cette solitude ? 

Non.

Tant pis si je reste seule.

J'ai cru un moment que sortir de ma bulle m'apporterait un mieux être.

Mais non.

Peut être suis je trop en demande d'un idéal de relation sincère ?

Je ne sais pas.

Pfffouuu...

Faut vraiment que j'arrête de me poser des questions !! 

La réponse est en moi et pas ailleurs.

Bon...

Je crois que je serais mieux dans mon roman qu'à me torturer les neurones ! 

Publicité
Publicité
22 décembre 2014

Tristesse...

Le temps des fêtes de fin d'année me rend toujours mélancholique au possible.

Toute cette effervescence inutile pompe mon énergie.

Ma mère m'a appelée pour venir me voir demain midi.

Mais je serais au repas de fin d'anné des salariés

Ce qui me fera peut être du bien.

Je sais bien  que j'ai tendance à trop me replier sur moi ces derniers temps.

En même temps, il fait froid et soritr pour sortir n'a que peu d'intérêt.

Si c'est pour traîner dans les boutiques bondées, bof ! bof!

Ma jeune soeur est en France pour quelques jours, je la verrai peut être le 28.

Elle repart sur Paris le 29.

J'ai envie d'être seule et en même temps ne pas l'être.

Maudite contradiction !

Je crois que j'ai surtout envie, et sans nul doute besoin aussi, de partage sincère.

Je voulais prendre un rendez-vous avec le psy pour janvier mais il est en congés.

Je l'appellerai à son retour.

Cela fait à présent 5 mois sans psy.

Est ce que cela me manque ?

Je ne saurais dire.

Ai-je "évolué" au cours des séances ?

Là encore, je ne sais pas.

Tout ce que je me souhaite pour 2015, c'est de trouver un sens à ce que je vis, un sens à mon existence.

Je suis toujours en vie.

Mais je ne sais pas pourquoi...

J'essaie vainement de ne plus me poser de questions existentielles mais c'est complètement raté ! 

Allez ! Hop ! Une cigarette !

Au point où j'en suis !

13 décembre 2014

861

861 messages écrits en bientot 5 ans.

Hier, j'ai donc vu le cardiologue.

Echographie.

Pas de soucis.

Le cardiologue est charmant.

Et vraiment sérieux.

Anomalie de la fibrilline...

Il veut que je vois un spécialiste.

Pas envie.

Et cela m'apporterait quoi de savoir que j'ai peut être un problème génétique.

Rien.

J'ai déjeuné avec D.

Il n'a pas arrêté de parler de son ex.

De se répéter et de me raconter toutes sortes d'évènements et d'actes perpétrés par son ex.

Qui d'après lui serait une perverse narcissique.

L'ambiance du resto était particulièrement bruyante.

Ca m'a fatiguée.

Et ce n'était pas le meilleur burger que j'ai mangé.

C'est une nouvelle mode en ce moment.

Ca fleurit de partout après les restaurants japonais.

D. est vraiment gentil mais hyper traumatisé par les relations pourries avec son ex.

Son béguin pour sa chef n'est plus.

Il en parlait avec une pointe de regret et même de colère.

Comme s'il était mécontent d'avoir raté un truc.

Et qu'il ne voulait pas se l'avouer.

Et je me suis dit que, finalement, je n'avais plus envie de sortir avec lui.

J'en suis soulagée.

Je ne sais pas pourquoi.

M'enfin..

P. m'a appelé.

Encore et toujours dans la plainte.

Bof !

Noël approche.

Je m'en fiche.

Ma mère voudrait que je passe le réveillon avec eux.

J'ai dit non.

Pas du tout envie.

D, qui aura ses deux enfants,m'a proposé de passer la soirée avec eux.

Pas trop envie non plus.

Décidément.

Le froid s'est bien installé et ma solitude aussi.

Ma télé ne veut plus s'allumer.

Tant pis !

Demain, je déjeune chez mon frère.

J'espère ne pas m'ennuyer.

26 novembre 2014

Repos, repos, repos...

J'ai donc vu le cardiologue hier.

J'y suis allée en voiture.

Impossible de me garer au parking payant.

J'ai du refaire un tour et coup de chance, j'ai trouvé une place gratuite quasiment en face du cabinet médical.

J'ai très peu attendu avant d'être reçue.

Le médecin est posé, sérieux et concentré.

Il me dit, évidemment, que ce qu'il m'est arrivé est très grave.

Que j'ai de la chance.

La secrétaire me le dira aussi.

Et il prolonge mon arrêt maladie d'un mois.

Ce qui me convient très bien.

Je le reverrai en décembre pour une échographie.

Etant en ville, j'en ai profité pour faire le plein de lecture.

Et bien voilà! 

Un bon mois de repos supplémentaire me fera du bien.

Je n'avais pas du tout envie de reprendre le travail.

Je vais essayer de me remettre au gribouillage et à la peinture.

Puisque j'en ai le temps.

Je me sens encore faible.

J'ai encore mal.

Et j'aime bien hiberner le matin dans le lit.

Pour ce qui est de ma vie sociale, c'est reparti pour une période de solitude.

Mélancolique ou bienveillante solitude ?

Les deux...

Je crois que la solitude ne me quittera jamais.

J'ai envie d'une cigarette...

Et j'écoute Hubert Félix Thiéfaine sur France Inter.

21 octobre 2014

Dépression post-opératoire ?

Je ne supporte plus de rester dans ce centre de rééducation. 

C'est le début de la troisième semaine.

Il m'arrive de pleurer sans raison.

Le médecin dit que ce que j'ai subi est très grave.

Que c'est normal d'avoir ce type de réaction.

Je veux rentrer chez moi !

Les journées se ressemblent et n'en finissent plus ! 

En particulier,  l'après midi où il ne se passe rien. 

Mercredi dernier, mon frère est venu m'apporter quelques affaires car je n'avais plus rien à me mettre. 

Il me propose alors de m'emmener chez moi le dimanche suivant et par la même occasion je déjeunerai chez lui.

On peut demander une permission de sortie pour la journée le samedi et le dimanche.

Je dis oui car au moins je peux décider exactement quoi prendre comme affaires.

Donc dimanche dernier, il vient me chercher.

Je déjeune donc avec sa petite famille bien proprette. 

Aucune envie d'avoir une discussion avec sa femme, avec laquelle je n'ai aucun feeling.

À un moment donné, il me dit que le week end prochain, ma soeur vient en famille passer quelques jours ici pour les vacances scolaires.

Qu'ils projettent de se voir et que ce serait bien de nous réunir tous.

Mais ils n'ont encore rien décidé de précis.

C'est alors qu'il me dit que je dois me renseigner auprès de ma mutuelle pour voir si j'ai droit à un transport le dimanche qui pourrait juste me déposer à un endroit et me récupérer après.

Mais bien sûr !

Et il insiste ! 

Et il rajoute que cela évitera des allers retours.

À ce moment là, dans ma tête,  je me suis dit: mais c'est quoi cette attitude merdique !!

Je lui fais la remarque que je serais très très étonnée que la sécurité sociale finance ce type de transport.

Il n'en démord pas !

Je lui répond sèchement que si ça l'ennuie de faire des allers retour, c'est tant pis, je ferais sans lui.

Ça m'a miné le moral.

Quel égoïsme !! 

Depuis, je me dis que désormais je mettrais une grande distance entre nous.

Je suis en colère et très déçue. 

Ce qui n'arrange guère mon état psychologique actuel.

Au final, la seule personne sur laquelle je puisse compter c'est mon ex ! 

Je ne voulais pas qu'il soit informé de mon hospitalisation en urgence.

C'est ma mère qui l'a contacté. 

Il me soutient moralement. 

Et il est même prêt à venir m'aider si j'en ai besoin une fois de retour chez moi, pour les courses alimentaires par exemple, car je ne pourrais pas conduire avant plusieurs semaines et encore moins porter de poids. 

J'avoue que ça m'a tellement touchée que j'en ai pleuré des rivières...

J'ai hâte de rentrer chez moi et me retrouver, trouver un sens à ce que je viens de vivre, s'il y en a un...

Publicité
Publicité
13 octobre 2014

Je suis encore en vie...

Chers lecteurs réguliers ou non, vous avez peut être été étonnés de mon absence.

Il y a une explication toute simple. 

Le jeudi 25 septembre à 18 heures précises, j'ai eu une dissection de l'aorte. 

Je me rendais chez D.

Arrivée au  bas de son immeuble, une douleur fulgurante m'a saisie d'un coup.

J'ai réussi à monter les trois étages.

La douleur restant présente, je me suis décidée a appeler le samu.

Samu et pompiers et direction les urgences.

Une fois là bas, prise de sang. 

Attente.

Le coeur va bien, peut être une embolie pulmonaire à vérifier par un scanner.  

23 heures passés,  scanner.

Résultat: rupture de l'aorte.  

Gravissime.

Je suis en pleurs.

Urgence ! Vite !

Transfert vers un hôpital de la ville où je bosse.

Une fois là bas,  prise en charge immédiate. 

Un médecin dit: on descend !

Et moi naïve,  je demande on descend pourquoi ?

Il m'explique alors qu'il faut immédiatement m'opérer.

L'intervention durera 4 heures.

Ensuite réanimation. 

Alors là,  c'est pire que tout !

Au lieu d'y rester 48 heures soit deux jours,  je vais y rester 4 jours !!

A souffrir, à ne pas dormir, bref à déprimer à mort !!

Les jours qui suivront et jusqu'à présent où je suis en rééducation depuis une semaine, je suis dans un état plutôt dépressif.  

Je suis tellement épuisée physiquement et psychologiquement que j'aimerais dormir tout le temps pour ne plus me sentir aussi affaiblie. 

Le chirurgien était très content.

J'ai beaucoup de chance.

Sauf que je ne m'en rends pas compte. 

Ce sont les autres qui le le disent mais moi ça me laisserait presque indifférente. 

Alors, évidemment, j'ai du temps pour penser à tout et rien. 

A mon job, à ma vie amoureuse, à ma vie tout court.

Ma vie amoureuse n'a pas de sens.  

P. Ne veut pas que je le quitte.

En même temps, il ne prend pas la peine de m'appeler durant la journée et cela depuis quelques jours alors qu'il poste régulièrement sur son profil social.

S'il ne peut me consacrer quelques minutes, à quoi bon vouloir rester avec moi ?

Du coup, je lui ai dit qur je voulais que nous en restions là. 

Il l'a mal pris.

Pffffttt ....

Notre relation est en stanb by. 

Il me dit qu'il a besoin de temps pour se recentrer et régler des trucs persos avant son voyage de 5 semaines au viet nam. 

Et alors ? 

Il est égoïste. 

Je représente quoi pour lui ?? 

De toute façon, je ne suis même pas sûre d'être amoureuse de lui.

Je ne ressens aucun manque de lui.

A l'heure où j'écris ces mots, je ne souhaite qu'une chose c'est de retrouver mon autonomie parce que je me sens tellement loin de la vie.

Comme vous pouvez le constater, chers lecteurs, je traverse une drôle de phase dans ma vie.

Et je n'arrive pas à savoir si cela a un sens ou pas...

Ça, c'est la question récurrente !   

16 août 2014

Se faire du bien...

Et laisser de côté ce qui pollue l'esprit inutilement.

Alone

14 août 2014

Lâcher prise

J'essaie de me recentrer.

Après tout ce qui s'est passé en un mois au sein du groupe.

Il me faudra sans doute encore quelques jours pour retrouver mes marques.

Il y a encore une soirée de prévue vendredi soir.

Je ne sais même pas si j'ai envie d'y aller.

P. veut qu'on se voit.

J'ai dit non.

J'ai trop le sentiment de n'être pour lui qu'un objet qui ne doit lui apporter que du bien être.

Je ne suis pas un objet.

Un autre groupe a été créé hier soir.

J'y ai été inscrite d'office.

Une cinquantaine de membres inscrits.

90% de femmes.

Pffouuuuu....

10 août 2014

Se retrouver soi...

... N'est pas chose facile.

Mercredi dernier, j'ai passé la soirée avec le futur expat, P. 

Soirée sympathique mais sans plus.

Un peu d'affection donnée et voilà.

Entre nous, c'est clair se faire du bien et pas d'attachement.

Jeudi soir, sortie café concert avec le groupe et P. également.

Blablabla autour de plusieurs verres.

Rentrée après 1 heure du mat.

Vendredi soir, soirée barbecue improvisée chez une nana du groupe, toujours avec P.

Nana très sympa d'ailleurs.

Nous étions une huitaine.

Le noyau dur du groupe.

Et la soirée s'est prolongée jusqu'à cette après midi.

Entre apéro bien arrosé, blabla sur les histoires glauques qui se passent au sein du groupe.

Il s'avère qu'un membre du groupe est dans la manipulation.

Qu'il a bien semé la zizanie.

Qu'il n'en veut qu'au fric des nanas.

Tout ça pour vivre à leurs crochets.

Qu'il boit.

Bref, qu'il est dans le mensonge.

Hier soir, repas pizzeria au bord de l'eau.

Le manipulateur en question a quitté la soirée complètement ivre.

Et s'est fait contrôlé positif à la sortie d'un village.

Voiture immobilisée et retrait de permis.

Il n'a cessé de téléponer pour qu'on vienne le chercher.

Il est finalement rentré en taxi.

Quasiment toutes les discussions de ce week end étaient focalisées sur lui.

P. qui était proche de lui a décidé de mettre une grande distance avec lui.

Au début de l'après midi, j'ai eu un coup de blues.

Entre la fatigue, l'alcool et ces prises de têtes, je me suis sentie soudainement triste.

Et très seule.

Du coup, j'ai décidé de rentrer.

Au fond, je me sens plus seule à présent qu'avant d'avoir rencontré toutes ces personnes.

C'est super chiant à vivre...

31 juillet 2014

Besoin de sérénité

Enfin en vacances !!

Laisser derrière soi tous les trucs débilitants du travail fait un bien fou !

Idem pour ce qui est du groupe du très grand réseau social bleu.

Je suis encore inscrite mais pour combien de temps ?

Je ne sais pas.

Il y avait une sortie de prévue ce soir.

J'ai trouvé une excuse bidon à la dernière minute pour ne pas y aller.

Et je n'avais pas envie d'y retrouver des membres avec lesquels je n'ai pas d'affinités.

Je suis encore en contact avec deux membres, une femme et un homme.

Elle est en pleine dépression mais ne semble pas vouloir le reconnaître.

Lui essaie de se projeter dans une nouvelle vie en Asie.

J'ai remarqué qu'en dehors d'eux mêmes et de la vie du groupe, rien ne les intéresse vaiment et surtout pas de connaître l'autre.

Cet égocentrisme me barbe au plus haut point.

Mais le temps espacera nos "liens".

Je le sais.

Et chacun s'en retournera là d'où il vient.

Dans une forme d'anonymat salutaire.

Et je retrouve ma solitude, mon espace de liberté. 

26 mai 2014

J'ai oublié...

D'acheter une salade et de l'huile de noix.

Et des gousses d'ail.

J'y avais pourtant pensé dans la journée.

Et je m'étais dit que j'allais faire une liste.

J'ai fais mes courses en m'arrêtant sur la route de retour.

Sans liste écrite.

Au supermarché de la grande zone commerciale, au nord de la grande ville située au bord de la méditerranée.

Il y avait peu de monde.

A la caisse, j'ai laissé passer deux personnes.

La caissière a quitté son poste quelques minutes pour je ne sais quoi.

J'ai changé de caisse.

En attendant mon tour, je repensais à plein de trucs.

A ma journée de travail.

Au Monsieur qui m'avait confié vouloir se suicider.

Celui qui m'avait tant touché.

Il a dit aujourd'hui qu'il se sentait prêt à rencontrer une psychologue.

Et que, souvent, il pensait à se jeter sous les roues d'une voiture pour voir ce que ça ferait.

Je devine en lui une grande solitude.

Aaaaarghhh !

Je lui ai interdit de penser à ce genre d'idées !!!

Demain matin,  j'appellerai la psy.

J'ai aussi repensé à ce que m'a dit le psy, vendredi dernier.

Sur la notion de place.

Au sein du groupe.

J'ai une place.

Sans doute celle de chieuse et d'iceberg.

J'avoue que cela m'amuse.

J'ai repensé à ça.

Quelle place occupe-t-on au sein d'un groupe ?

Et également aux notions d'espace et de territoire.

J'ai une place dans le groupe.

Mais suis-je vraiment à la "bonne" place ?

Quel espace occupe-t-on ?

Quel territoire s'approprie-t-on pour exister au sein d'un groupe ?

En y réfléchissant, je me rends compte que ma collègue, celle qui est allée se plaindre,  occupe une "petite" place dans un territoire symboliquement restreint: l'accueil, le bureau des secrétaires, l'espace repas où elle occupe toujours la même place.

Elle occupait un poste plus important avant l'arrivée de l'imbécile qui nous sert de chef. 

Elle était secrétaire à la direction.

Et le bureau où nous prenons nos repas, et dans lequel est installée la cafetière, constitue une expansion de ce territoire donc un espace plus grand  et peut être une place symbolique plus grande aussi.

Expansion qui lui permet aussi de s'extraire du contexte professionnel pour quelques minutes.

Et elle y tient à ce bout de territoire, à cet espace.

Car, au fond, c'est sans doute la seule manière pour elle de se sentir "exister" aux yeux d'autres que ses copines/collègues.

Ça me rappelle un truc passé.

Lorsqu'une collègue de mon bureau a démissionné.

J'ai repris sa "place".

La meilleure, à mon avis, en terme de positionnement dans l'espace.

La peucherette a essayé tous les arguments possibles pour l'occuper.

N'hésitant pas alors à mettre en avant son handicap.

Son stratagème n'a pas du tout fonctionné.

S'il y a bien un truc que je n'aime pas, c'est  me sentir manipulée.

Bon...

Assez de blablas...

Dernière cigarette de la journée en écoutant Christine & The Queen.

11 avril 2014

Légèreté ?

Le psy a déclaré, à la question que je lui posais sur l'éventualité de l'arrêt du suivi avec lui, qu'il trouvait que j'étais plus légère.

Que le fait de reprendre les séances, au moment où je me posais la question de la séparation d'avec mon ex, avait sans doute pour objectif de me rassurer sur ma capacité à vivre la solitude.

Mouais...

Je ne sais pas si son interprétation est pertinente.

Il est vrai que ma relation passée me pesait.

Et, qu'effectivement, vivre seule me fait un bien fou.

Bien sûr, j'ai tendance à vivre de manière socialement isolée.

Parce qu'en dehors du travail, je n'ai pas vraiment de vie sociale.

Pour le moment, je vis plutôt bien ma solitude.

Mais j'avoue quand même que je suis en manque de tendresse.

Voire de sexe.

Mon ex amant n'attend que mon signal pour me sauter dessus.

J'hésite.

Le point positif c'est que je le connais.

Mais justement, il est trop prévisible.

Bon...

Je crois que la période "sans" va se prolonger.

9 janvier 2014

Apprivoiser la solitude

Voilà !

Il déménage.

Dès demain.

Bien sûr.

Je ressens une étrange sensation.

Celle d'un vide.

Le vide d'une relation quotidienne à deux qui n'existe plus.

Bon !

Je ne vais pas me laisser envahir par des pensées débiles.

Qui ne m'apporteront rien.

Côté job, la petite nouvelle, qui est arrivée dans notre bureau, semble avoir de la personnalité.

Ce qui est une bonne chose.

En plus, elle semble comprendre très vite.

Ce qui est encore mieux.

Ma collègue mielleuse ne peut s'empêcher de la conseiller.

Pas forcément de manière pertinente.

Pour ma part, je n'interviens pas plus que ça lorsqu'elle lui répond.

Mais je réponds à ses questionnements lorsqu'elle me sollicite.

Quant à ma collègue peucherette, elle fait mine d'être occupée pour éviter de répondre.

Ce que je remarque c'est qu'elles sont toutes les deux dans la crainte de ne pas être considérées comme professionnelles et puis, surtout, dans celle de la culpabilité de ce qu'on pourrait éventuellement leur reprocher.

De la part de notre chère hiérarchie ou des personnes suivies.

Elles expriment cela au travers de leur discours.

Voire même au travers de leur manière d'être.

On ne s'en rend pas compte immédiatement.

Haaaaa! Les subtilités des faux semblants et de la manipulation !.

Peut être que je suis aussi comme ça ?

Et que je ne m'en rends pas compte !!!!

Ho ! La ! La !!!

Mais non...

Je reste froide et distante.

Solitaire.  

6 novembre 2013

C'est fini.

Entre lui et moi.

Il était temps !

Des semaines et des semaines à vivre dans l'ambivalence.

Tout ça pour aboutir au pathétique constat que nous n'avons plus grand chose en commun.

Notre relation est devenue d'un ennui remarquable.

Et surtout vide de sens.

Plus grand chose à partager.

Plus grand chose à se dire.

Plus envie de continuer.

Il doit se trouver un logement.

Ce qui n'est pas gagné.

J'espère seulement qu'il sera parti avant les fêtes de fin d'années.

Que j'avais envie de passer seule.

C'est toujours complexe de vivre ce type de situation.

Dans laquelle on se sent un peu bête.

Et surtout étrange à soi-même.

Dans l'attente d'un je ne sais quoi.

Pfffouuuuu....

Je déteste ça !

Et comme en plus, je suis en congé, je cogite à mort !

En tout cas, ce qui est certain, c'est que je ne revivrais plus avec quelqu'un avant un moment.

J'avoue que je redoute un peu le moment où je me retrouverais complètement seule.

Bon !

Cessons de cogiter inutilement !

Qui vivra verra !  

27 août 2013

Vacuité

Sentiment de solitude...

Je ne sais pas ce que j'ai en ce moment.

Je ressens comme un vide intérieur.

Cela faisait un bout de temps que cela ne m'arrivait plus.

Mais là, ça semble surgir soudainement.

Me faut-il absolument combler ce vide ?

Je n'en suis pas sûre...

Il me faut plutôt comprendre le pourquoi de ce vide... 

19 août 2013

Ennui

D'une soirée d'anniversaire.

Où on ne connait personne.

Où chacun reste dans son coin.

Où les gens se saoulent.

Celui qui invitait s'est senti "obligé" d'organiser cette soirée pour ses 40 ans.

Grande gueule sympathique oscillant entre la réserve et l'extraversion.

Je me suis mortellement ennuyée.

D'ailleurs, je m'ennuie de plus en plus lors de ce type de soirée.

Et puis le truc de boire pour atteindre un état d'euphorie et croire ainsi qu'on se sentira bien m'exaspère.

En plus de la musique à fond.

On ne peut guère créer des liens.

Ephémères et superficiels au demeurant.

Je me suis sentie soudain très seule.

Rien de plus accablant de se sentir seul au milieu des autres...

28 mai 2013

Déprime du mardi

Ce matin, je me suis levée avec un quart d'heure de retard.

Il faut dire que je me suis réveillée à trois heures du mat. 

Et bien sûr,  impossible de me rendormir.

J'ai du somnoler un peu.

Mais ce ne fut pas réparateur du tout.

Bref, humeur morose.

Trois rendez-vous ce matin.

Dont une qui s'est décommandée.

Elle ne peut pas se déplacer. 

Séquelles d'une intervention chirurgicale survenue il y a un an.

J'ai reçu une jeune femme en pleurs.

Dépression. 

Elle a commencé à voir un psychiatre.

Qui lui a prescrit des gellules de bonheur chimique pour stabiliser son humeur.

Elle ne va vraiment pas bien.

Entre ses parents gravement malades, son propre état de santé qui la mine et le sentiment de trahison de son ex petit ami qui l'a quitté par texto au bout d'une relation de trois ans, elle ne s'arrêtait plus de pleurer.

Elle m'a avoué que s'il n'y avait pas ses parents à ses côtés, elle se suiciderait tellement elle ne trouve pas de sens à sa vie.

Pfffffouuuuu...

Bon...

J'essaie de lui remonter le moral.

Mais franchement, je ne suis pas sûre d'y parvenir.

Je suis désarmée face à cette détresse. 

18 mars 2013

Vivre le mensonge

Hier soir, avant de m'endormir, je pensais à ma vie. 

Comme souvent, trop souvent , je me demande si ce que je vis correspond à mes desirs profonds. 

Je n'aime pas le mensonge. 

Et pourtant, je pense que je suis en plein dedans. 

Je me mens a moi-même. 

J'en ai bien conscience. 

Mais en avoir conscience ne signifie pas que je sois en capacité d'agir pour changer cela.

En tout cas, pas pour le moment. 

En fait, je suis une vraie trouillarde. 

Je reste avec lui par peur de me retrouver vraiment seule. 

Ce qui me renvoie encore et toujours à mon passé et à celui de ma mère. 

Je me rend bien compte que je reproduis le même schéma.

C' est vraiment pathétique ! 

16 février 2013

Seule...

Je me sens bien.

Mais je me dis que si j'étais vraiment seule dans ma vie sentimentale, je ne sais pas si je me sentirais aussi bien. 

Avoir des moments de solitude est un privilège, une liberté précieuse.

Il ya des périodes où j'ai besoin de beaucoup de solitude et, bien sûr, d'autres moments où être avec l'autre me conforte.

Lorsqu'il est revenu vivre avec moi, je me suis demandé si je supporterais à nouveau la vie à deux.

Ben oui...

Je la supporte.

Car justement, j'ai ces moments de solitude.

Et puis avec le temps et l'expérience de la vie, je finis par accepter les imperfections, ô combien nombreuses ! - de l'autre.

Ce qui ne m'empêche point de râler après lui !

9 novembre 2012

Enfin seule !

Et du temps pour moi !

Vin blanc bien frais.

Chips super croustillantes.

Télé allumée.

En fond sonore.

Tenter de balayer de mon esprit ma semaine de travail.

Rhaaaaa !

Zut !

J'ai pas joué à l'euromillions !!!

Allez !

Buvons un coup au week end pluvieux qui s'annonce !

Publicité
Publicité
<< < 1 2 3 4 > >>
Secrètes Pensées
Publicité
Visiteurs
Depuis la création 22 552
Publicité