Liberté...
Je crois bien que ma réaction n'était que pur orgueil.
Pure possessivité.
Avec le recul, je me rends compte que je n'ai pas forcément envie de poursuivre notre relation.
Bien sûr, je crains d'éprouver la cruauté de la solitude.
Mais je dois surmonter cette étape sinon je resterai embourbée dans un surplace stérile.
Nous avons pu parler.
Il a décidé qu'il devait partir.
J'attendais cette décision.
C'est une bonne chose.
A présent, nous pouvons reconstruire sereinement nos vies sur des bases claires.
L'attachement profond reste de part et d'autre.
Et la légèreté revient dans ma tête et mon coeur.
Il fait beau !
PS: à F, qui se reconnaîtra, merci d'être là pour moi.