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Secrètes Pensées
5 avril 2015

Besoin de sérénité

Je me suis levée tard.

Fichu mal de dos !

Je serais bien restée plus longtemps sous la couette.

Café, clope.

Musique.

Déjeuner tardif.

Texto de mon frère pour qui me propose de passer boire un thé.

Pas envie.

Prétexte du mal de dos pour poliment refuser.

Envie de ne voir personne en ce moment.

Il fait beau.

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27 mars 2015

Mise en danger

J'ai vu le psy ce matin.

Toujours égal à lui-même.

Hyper lisse.

Limite ennuyeux.

Je lui ai parlé des trucs du moment, des situations auxquelles je suis confrontée au travail.

Un jeune qui a fait plusieurs années de prison et qui est en procédure d'expulsion faute d'avoir payer 7 mois de loyer.

Un monsieur d'une cinquantaine d'année avec deux enfants majeurs shootés du matin au soir, qui n'en peut plus et qui pense fortement à mettre fin à ses jours.

Une jeune femme qui n'a envie de rien et qui aimerait bien qu'on lui fiche la paix.

J'ai aussi parlé de ma santé et du fait que j'avais arrêté mon traitement.

Il dit que le fait d'être désanchantée, de ne plus prendre mes médocs et d'être dans un élan de vie amoindri est comme une mise en danger de moi-même.

Sans doute inconsciente.

Heu...

Ha bon ?

Mouais...

Possible...

Mais, non, je ne le vois pas comme ça.

Je suis juste dans un moment, certes un peu long, où la question du sens de ma vie ne trouve pas de réponse.

22 mars 2015

Dimanche gris

Hier, soirée chez D. qui avait invité deux potes.

J'avais hésité avant de lui répondre oui.

Je me suis dit qu'il fallait que je sorte de mon état d'ermite et que ça pourrait être sympa de connaître de nouvelles personnes.

D. habite au centre ville.

Galère pour trouver une place de parking gratuite après une certaine heure.

Du coup, parking payant mais auto à l'abri de la pluie.

Ils avaient commencé par une bière et de la fumette.

Ils ont tous les trois une quarantaine d'années.

Je ne fume pas ce genre de truc qui fait soit diant du bien.

D. était un peu parti.

Aucune discussion intéressante durant cette soirée.

Je me rends compte, après coup, qu'excepté la raclette, rien n'était super agréable

L'ambiance manquait de je ne sais quoi.

Bon...

Je n'ai pas "accroché" plus que ça avec ses potes.

J'avoue que je m'en fiche un peu de ne plus les revoir.

J'ai bullé une bonne partie de ce dimanche.

Je me suis forcée à sortir pour aller voter.

Et, en ce début de soirée, je suis déjà fatiguée à l'idée d'aller bosser demain... 

18 mars 2015

Un jour ordinaire

Faudrait peut être que je fasse la vaisselle.

Qui traîne depuis hier.

La fatigue est revenue.

Ce matin.

Avant même de commencer la journée de travail.

Je sens que l'épuisement revient au galop.

La collègue mielleuse toujours aussi conne.

Je me demande si elle ne me harcèle pas.

Sous ses airs de fille super sympa avec tout le monde sauf avec moi, évidemment, et qui me méprise pernicieusement.

A siffloter à qui mieux mieux.

Et à vouloir me dénigrer implicitement devant les autres en se mettant en avant avec un discours abscon au possible.

Je sens bien que je suis d'emblée exclue par certaines, les nouvelles, qui m'évitent alors même qu'elles ne me connaissent pas du tout.

La grande C. a bien oeuvré.

Quelle connasse !

Bon...

Passons !

Et mon ex amant qui m'envoie des textos toujours aussi ennuyeux.

Et qui a le bête espoir de me voir.

Bof !

Non.

Pas du tout envie de le voir !

Une petite vodka, une dernière cigarette, de la musique.

Et je m'en vais rejoindre Morphée.

13 mars 2015

Monacale

C'est le terme employé par le psy pour qualifier ma vie personnelle du moment.

Une vie retirée des contingences sociales.

Je dirais plutôt une vie d'ermite.

Mouais...

On peut dire ça.

Je ne suis quasiment pas sortie de chez moi durant ces jours de congés.

Je suis reliée au monde par internet.

Ce qui satisfait largement ma curiosité.

Mais rencontrer autrui ne me manque pas.

J'ai fait le plein de bouquins.

Déjeuner au snack du supermarché.

Bof ! 

Pas terrible le sanwich tartitruffe...

Ni le cheescake, trop lourd.

Trois courses.

Et zut !

J'ai oublié la vodka !

Mais pas les chips !

Un peu de musique.

Une cigarette.

Peu de choses suffit à mon bien être... 

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7 mars 2015

Je bulle

Je me lève tard.

Vu que je me couche tard !

Je ne fiche rien d'extraordinaire.

Juste prendre le temps.

De ne rien faire...

Et je fume en écoutant de la musique.

5 mars 2015

Vacances

Hier soir, diner chez D. 

Blablabla sur son ex.

Il n'en finissait plus d'en parler.

Encore et encore.

Et puis, il m'a parlé de sa vie non sentimentale du moment avec ses rencontres via le net.

il s'est inscrit sur plusieurs sites.

Et a rencontré trois femmes.

Rien de fabuleux.

Il est en manque d'affection.

Il est tellement sélectif qu'il risque de rester seul un moment.

Le pauvre...

Quant à moi, je fais sans.

Et c'est bien ainsi pour le moment.

Mon esprit a besoin de repos, de sérénité et de paix.

2 mars 2015

Toujours aussi fatiguée...

Réveil difficile.

Absence de motivation intense.

Un rendez vous sur cinq est venu.

En retard....

Blabla avec la stagiaire.

Ambiance super calme étant donné le nombre de collègues en congés.

Pas plus mal.

Vendredi dernier, resto japonais avec mon ex.

Dont la vie sentimentale commence à battre de l'aile.

Il voit très peu sa copine.

Qui vit encore avec le père de sa fille.

Je me demande si elle ne le prend pas pour un con.

M'enfin...

Allez !

Petite zik ! 

20 février 2015

Burn out ?

Mon sommeil n'est guère réparateur ces dernières nuits.

Alors, forcément, je suis fatiguée dès le reveil.

Et la fin de journée n'est qu'épuisement.

J'ai retiré ma candidature.

Des collègues m'ont dit que c'était dommage, elles auraient voté pour moi.

Mouais...

Bof !

C'est fait !

Au moins, je n'ai plus à me préoccuper du bien être au travail des autres.

Je me suis enfin décidée à faire des courses en sortant du travail. 

Je suis vraiment à bout de forces.... 

13 février 2015

Brumes...

Mon frigidaire est vide.

Je dois faire des courses.

Je n'en ai pas envie.

Je fume.

En écoutant de la musique.

Le ciel est d'un blanc froid.

Humeur mélancholique. 

11 février 2015

J'ai un trou dans mon jean

Tant pis !

Ce mercredi fut laborieux.

Et particulièrement usant cette après midi.

Le premier venu à ma permanence voulait que je l'aide à remplir une demande de logement social.

Il me demande quels documents il faut fournir.

J'ouvre le dossier et lui tend la liste. 

Il ne s'est pas donné la peine d'aller plus loin que chez l'assistante sociale.

Qu'a-t-il cru ?

Je lui ai froidement dit de lire la liste et de réunir les documents demandés et d'envoyer sa demande directement auprès d'un bailleur public.

Il sait très bien lire le français mais "joue" le pauvre misérable.

Le truc que je déteste !

Il me parle de sa mère qui a un cancer et que c'est très grave et qui lui prend tellement de temps !

Mouais...

M'en fiche un peu je l'avoue.

Ensuite, est venu le comédien de la semaine dernière.

Lui aussi pour une demande de logement social qu'il a déposé auprès du gardien de la cité tant désirée.

Il veut que j'appelle le bailleur afin de savoir si sa demande a été enregistrée.

Je le ferais demain matin.

Et pour finir, l'obsessionnelle à l'oncle acarîatre est venue pleurer misère.

Et se répéter encore et encore.

"Si mes parents... Et quand j'étais jeune... J'ai eu le coeur brisé..."  Et patati, et patata...

Elle m'a achevée !!

A 58 ans, elle a encore le bête espoir de voir sa vie miraculeusement changer.

Je pense plutôt qu'elle aurait besoin d'un suivi médical spécialisé.

Vodka...

Cigarette...

Musique... 

10 février 2015

Que raconter ?

Vendredi dernier, mon ex a récupéré ses affaires.

Il ne reste plus rien de lui.

J'ai passé le week end à ne rien faire de spécial.

Ménage, lessive, aller retirer un colis à la poste.

La semaine de travail a débuté avec l'arrivée d'une stagiaire dans notre bureau.

Une jolie brunette qui a bien plus de maturité intellectuelle que la peucherette qui assurera son stage durant les huit semaines à venir.

Cette après midi, réunion d'équipe qui n'en finissait plus.

Alors, la nouille de sous chef a pris son élan pour demander au groupe qui serait ok pour accueillir une stagiaire.

Encore une !

Personne ne s'est manifesté.

J'ai demandé à quelle date devait commencer le stage.

Ben lundi prochain !

Chouette !

Et cette étudiante de première année n'a aucune autre proposition de lieu de stage.

Zut de zut !

J'ai dit oui.

Trouver un lieu de stage relève du parcours du combattant que je ne me vois pas laisser une étudiante dans le vide et compromettre ses études.

J'espère qu'elle ne sera pas pot de colle  !

La peucherette a adopté une attitude d'hypergentillesse pour avoir l'air super professionnelle.

J'y décèle une volonté de ne rien laisser paraître de son manque de confiance.

Et de sa lâcheté.

Je sais que je suis dure à son égard.

Mais j'ai pu constater plusieurs fois combien elle est lâche.

Pas plus tard que la semaine dernière où elle se plaignait d'une procédure.

Je lui ai dit d'en parler en réunion d'équipe car cela pouvait concerner d'autres collègues.

Elle n'a rien dit.

Et s'est plaint directement auprès de la nouille de sous chef.

Qui, comme à son habitude, a fait le "mort".

Et elle en est restée là.

A nous déblatérer sa frustration.

On s'en fiche !!

Pour ma part, je n'hésite pas à dire tout haut ce que je pense et cela devant tous mes collègues en réunion.

Et tant pis si je passe pour la râleuse de service !

Marre des moutons !!

5 février 2015

Chips et Gin tonic

En cette fin de journée.

Hyper glaciale !

L'envie de rien persiste.

 Au bureau, je me sens telle un automate.

Je fais ce que je dois faire.

Je discute avec certaines collègues, histoire de me distraire.

Sans grande conviction.

Il a fallu que je relance mon ex pour ses affaires.

Il s'est enfin décidé à venir tout récupérer demain matin.

Je ne le verrai pas

Il laissera le double des clés dans la boîte aux lettres.

Je pense que je ne le reverrais plus jamais.

Vivement le week end que je puisse dormir.

Me reposer...

4 février 2015

Et je fume...

La dernière cigarette de la journée.

Mon ex amant m'envoie des textos d'un ennui mortel.

Je lui réponds de manière évasive.

Les journées de travail me semblent mortellement longues.

Je n'ai pas du tout envie de répondre favorablement aux demandes des gens que je reçois.

Leurs problèmes me dépassent.

Ils ne peuvent donc pas se débrouiller sans moi ??

Ben non.

J'ajoute une goutte d'huile essentielle "Bonne humeur" dans la cire de ma bougie.

Histoire de croire que ça me fera du bien.

Le matin, j'ai un mal fou à me lever.

Je suis totalement démotivée.

Si je pouvais dormir et ne jamais me réveiller, ça m'arrangerait.

Car en ce moment, ça ne va pas fort.

Il y a des moments où je sens que je pourrais m'effondrer en pleurs mais ça ne veut pas arriver.

Je me sens inutile à moi-même.

Est-ce possible ?

Il faut croire que oui....

30 janvier 2015

Dépression ?

J'ai revu le psy ce matin.

C'est la première fois que je le voyais avec plus de cheveux que d'habitude.

Et toujours une barbe de trois jours.

Et toujours ses chaussures modèle Pelota de Camper.

Increvables ces chaussures !

Il les portait déja l'année dernière à la même époque.

Il doit être le style de personnes posées, fidèles, ordonnées, organisées, prévoyantes voire un brin maniaques.

Je lui ai raconté ce qui m'était arrivé en septembre, mon hospitalisation en urgence, la rééducation, mon état de déprime, mon manque de motivation quant au travail.

Il entend que ce que j'éprouve ressemble à un état dépressif.

Encore a-t-il fallu que ce soit moi qui lui demande si je n'étais pas un peu dépressive.

Ce qui m'est arrivé, la dissection de mon aorte, n'est pas anodin, dit-il.

Ma foi...

Ce que je sais, c'est que, certains jours, vivre m'ennuie toujours autant.

Pffffouuuu..

Ce que c'est con des fois !

M'enfin...

Le psy a déclaré que j'étais en pleine remise en question.

Mouais...

Ben...

Ça peut prendre un temps fou de se remettre en question.

29 janvier 2015

Epuisée...

De cette semaine de travail.

Non pas qu'elle fut super remplie de rendez-vous, mais les quelques situations auxquelles j'ai été confrontée ont pompé mon énergie.

Energie qui se raréfie au fur et à mesure des jours.

Entre l'obsessionnelle qui doit s'occuper d'un oncle hyper acariatre qui lui crie dessus et dont les chiens font leurs besoins un peu n'importe où à lintérieur de sa maison qu'il ne veut pas aérer à cause du froid, et une jeune femme désespérée dont le toit fuit, ou encore la dame qui veut absolument que je demande 350€ pour habiller sa fille de 16 ans qui ne connait pas sa taille de vêtements, ni celle des chaussures, je me suis sentie vide interieurement.

Comme si mon esprit se refusait à écouter l'autre.

C'est terrible ça !

Je crois que ma flamme s'amenuise.

Heureusement que je suis en week end !

 Pas de nouvelles de mon ex qui devait peut être passer récuperer ses affaires.

Bof !

Une dernière cigarette et je m'en vais rejoindre Morphée.

26 janvier 2015

J'écoute Joe Satriani...

En fumant une dernière cigarette.

P. a enfin récupéré sa voiture hier.

Je n'avais pas envie de le voir.

Donc je ne l'ai pas vu.

Mon ex viendra peut être jeudi récupérer, lui aussi, ses dernières affaires qui traînent encore chez moi depuis des mois.

Une page de ma vie se tourne enfin.

Côté ambiance de travail, une nouvelle est arrivée.

Un autre s'en va demain.

Fin de CDD.

Il n'a pas eu à hésiter.

L'imbécile qui nous sert de directeur lui a confirmé qu'il n'aurait pas de CDI.

Ce dont je me doutais et lui également étant donné que nous avons vu passer une offre d'emploi pour son poste.

C'est étrange tout ça...

Ces mouvements de la vie.

Pfffffouuuuu...

J'ai froid.

23 janvier 2015

Faire le vide

Devient indispensable.

Après chaque journée de travail.

Une jeune remplaçante a terminé son CDD aujourd'hui.

J'ai à peine eu le temps de la connaître.

Dommage, elle semblait avoir plus de personnalité que les moutons qui m'entourent.

Comme la collègue en congé maternité ne reviendra pas lundi, il y aura une autre remplaçante pour au moins un mois.

Quant à celle qui m'a remplacé, bof !

Certes, elle n'avait encore jamais exercé dans le type de service dans lequel je travaille mais manquer de rigueur et surtout de curiosité professionnelle me semble présager des difficultés.

En même temps, je ne suis pas certaine que mes collègues lui aient apporté des conseils.

"Ben, elle ne demandait rien, elle était très discrète..."

Ho !

Ben ça alors !!

Je l'aurais secouée un peu !!

Je me retrouve avec des dossiers "vides".

M'enfin...

C'est comme ça.

Je suis en week-end !

Alors une petite vodka Zubrowka me fera le plus grand bien !

Et un peu de zik !

Hips !

18 janvier 2015

Les gens...

Hier, soirée avec le petit groupe du grand réseau social bleu chez une des membres.

Nous étions neuf.

Six femmes et trois hommes.

Dont P.

Je m'y suis ennuyée.

J'ai discuté un peu avec la plus jeune.

J'ai demandé à P. de venir récupérer sa voiture.

A sa réponse - "mais tu n'es pas la propriétaire du parking ??" - j'ai compris, qu'il n'avait pas pour première intention de s'en occuper.

Quel con !

Et quand bien même je serais propriétaire du parking, de quel droit peut-il penser qu'il peut "profiter" indéfiniment d'un emplacement gratuit ??

Je sens bien que sa voiture va rester là encore plusieurs semaines.

Pfffouuuuu...

La soirée s'est étalée en discussions superficielles.

Je n'y ai trouvé aucun plaisir.

C'est fou...

Je m'habitue à nouveau à la solitude.

Temps gris et froid.

Petite déprime du moment.

Lecture.

La femme en vert

Dans une banlieue de Reykjavik, au cours d'une fête d'anniversaire, un bébé mâchouille un objet qui se révèle être un os humain.

Le commissaire Erlendur et son équipe arrivent et découvrent sur un chantier un squelette enterré là, soixante ans auparavant. Cette même nuit, Eva, la fille d'Erlendur, appelle son père au secours sans avoir le temps de lui dire où elle est. Il la retrouve à grand-peine dans le coma et enceinte. Erlendur va tous les jours à l'hôpital rendre visite à sa fille inconsciente et, sur les conseils du médecin, lui parle, il lui raconte son enfance de petit paysan et la raison de son horreur des disparitions.

L'enquête nous est livrée en pointillé dans un magnifique récit, violent et émouvant, qui met en scène, à la fin de la Seconde Guerre mondiale, une femme et ses deux enfants. Une femme victime d'un mari cruel qui la bat, menace ses enfants et la pousse à bout.

Voici à nouveau le commissaire Erlendur et ses adjoints Elinborg et Sigurdur Oli dans un récit au rythme et à l'écriture intenses et poignants, aux images fortes et aux personnages attachants et bien construits. La mémoire est comme toujours chez Indridason le pivot de ce roman haletant, qui hante longtemps ses lecteurs.

Super prenant !! 

15 janvier 2015

Repos

J'ai posé deux jours de congés annuels collés à une rtt.

J'avais rendez-vous hier matin avec le chirugien.

Pas eu envie d'y aller donc rendez-vous annulé.

Je me suis levée tard.

Sortie rapide pour deux courses sans importance.

Soleil.

Clope.

Musique.

Ma mère qui m'appelle et me demande si tout va bien.

Parce que mon beau père a vu ma voiture sur le parking.

Oui.

Tout va bien.

Elle angoise.

Toujours cette crainte qu'il m'arrive quelque chose de malheureux.

C'est déjà fait !

Elle veut qu'on balade ensemble.

Pas du tout envie.

Envie de rien.

Lecture du moment : Babylone Dream de Nadine Monfils

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