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Secrètes Pensées

11 mars 2010

Le temps des émotions

Laisser exister les sentiments...

 Prendre le temps.

Vivre au présent.

Oui.

C'est ce que je fais.

A présent.

Que je gagne ou pas.

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10 mars 2010

Inconsistance

C'est le moment où on essaie de faire un break mental.

Ma journée a été calme.

Inintéressante sur le plan du travail.

Papoter avec les yeux bleus.

Jouer la séduction virtuelle.

Séduction par les mots.

Et tout d'un coup...

Se dire que tout cela est bien factice.

Et alors...

Tout ce fatras d'émotions s'enfuit.

Et la sérénité revient.

Et on se dit que tout ça n'est qu' illusion.

6 mars 2010

S'oublier...

Pour ne plus penser à ce bleu tenace, si persistant.

Rien n'y fait.

Le bleu reste tapi dans un coin de mon être.

Prêt à bondir.

Prêt à m'envahir de nouveau.

Jusqu'à me perdre.

Non, rien n'y fait.

Ni les blablas d'inconnus.

Ni la griserie de l'alcool.

Rien...

C'est terrible d'être ainsi.

Comme si une partie de soi n'existait plus.

C'en est épuisant....

Pourquoi ?

Je me sens si pathétique...

4 mars 2010

Idées éparpillées...

Au réveil.

Temps toujours aussi gris.

Froid intérieur.

Absence.

Fichu mélancolie !

Le bleu s'éloigne de mes pensées.

Peu à peu.

Pas envie de sortir faire des courses.

Et je fume...

3 mars 2010

Épuisement mental

Levée tôt pour aller au conseil des prud'hommes.

Arrivée pile à l'heure.

Ecouter le blabla de mon avocat, celui de la partie adverse.

A 10 heures, sortir de la salle.

Dans le vent, le froid et sous la pluie.

Humeur morose.

Plus rien dans les neurones.

Juste revenir chez soi.

Se poser.

Ne plus penser à rien.

Tenter de rester zen.

Et oublier ces yeux bleus qui m'obsèdent.

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1 mars 2010

Vacuité du moment

J'écoute Overcome de Tricky.

Ça me rend mélancolique.

En plus, il fait gris dehors.

Ne rien faire m'endort.

Mes pensées fluctuent...

Et elles m'envahissent.

Un peu trop...

28 février 2010

Banalités du quotidien

Je n'ai pas faim.

Je fume.

J'écoute d'une oreille distraite les infos.

Je pense à tout, à rien.

Aux yeux bleus.

Haaa! 

Enfin un rayon de soleil !

Profiter encore des quelques moments de solitude avant qu'il ne revienne.

27 février 2010

Se laisser porter...

Au gré des émotions.

J'en suis là.

Je n'arrive pas vraiment à cerner les émotions qui ont envahit mes pensées.

L'après midi de vendredi a été encore trop courte.

Je sens bien au fond de moi que je suis au bord de la noyade.

Je veux y résister mais mon coeur s'emballe.

Je déraisonne...

Non ! Non !

Ben si !

C'est si bon !

24 février 2010

Epuisée !

La journée a commencé doucement.

Puis les rendez vous se sont enchainés.

Pause discussion durant une demie heure.

Fou rire.

Et hop !

Sept personnes sur ma permanence !!

Pfffouuuuu !

J'ai la tête qui va exploser.

Avec tout ce que j'ai entendu et tout ce que j'ai dit.

J'en arrivais même à mélanger les mots tant je m'embrouillais dans mes explications...

Expliquer, c'est fatiguant.

Car il faut être clairement comprise.

Et sinon ?

Je fume une dernière cigarette...

23 février 2010

Flottement

La vie du bureau suit son cours.

Une collègue part en congé maternité.

Et ne sera pas remplacée.

Ses dossiers sont redistribués.

Les rendez vous viennent.

Ou ne viennent pas.

Pas le temps de penser aux yeux bleus.

Quoique...

Attendre vendredi soir avec impatience.

Pour être à nouveau en congé.

Rester zen pour la nouvelle audience aux prud'hommes.

Faire le vide.

Et se dire que le moment présent suffit bien assez à vivre.

21 février 2010

Et si...

J'en restais là ??

19 février 2010

Se noyer dans le bleu ?

Quelques heures en sa compagnie et le temps n'a plus d'importance.

Discussion à bâtons rompus.

Il m'a embrassée en partant.

Un baiser fugace qui ne demande qu'à être prolongé.

Une prochaine fois.

Peut être...

Le truc avec lui, c'est que je sens que je pourrais craquer sentimentalement.

Ce que je ne veux pas.

Surtout pas !

Car je ne suis pas certaine que cela serait réciproque.

Et cela me procurerait un sentiment de solitude intense.

Ce que je déteste.

17 février 2010

Lâcheté

Un salarié a appris, au début de la semaine, que son contrat de travail - contrat avenir- ne serait pas renouvelé.

Depuis, il ne cesse de chouiner auprès des autres salariés.

Il rumine son obsession.

Il en veut à notre débile de chef.

Qu'il ne supporte pas depuis des mois.

Débile de chef qui a tenté à plusieurs reprises de le rabaisser.

Il pensait qu'en en faisant part plus haut, il serait entendu.

Peine perdue.

Le chef  n'a pas eu besoin de faire grand chose pour le déstabiliser.

Il le regardait fixement, juste un petit moment, avec mépris.

Je lui avais conseillé de ne rien espérer et de chercher ailleurs le plus tôt possible.

Ses pleurnicheries m'exaspèrent.

Son obsession m'agace prodigieusement.

Je l'avoue.

Je n'ai pas vu le temps passé cette après midi.

J'aurais bien aimé me noyer dans le bleu.

Plutôt qu'être submergée de blablas.

16 février 2010

Juste envie de dormir....

Cette journée de travail m' a semblé inintéressante au plus haut point.

Mais elle s'est rapidement achevée.

Sous la pluie...

Vais me coucher...

Ça me fera du bien.

Et puis c'est l'heure !

15 février 2010

Dans quel état j'erre ?

Dernier jour de congé.

Profiter de ces derniers moments de solitude.

Revoir le bleu de ses yeux ?

Non.

Pas envie pour le moment.

Pourtant, il est tout à fait charmant.

Et nous avons plusieurs points communs.

Mais je ne sais pas si j'ai vraiment envie de le revoir.

Ça me rend perplexe d'être comme ça.

Il m'a bien fait comprendre qu'il aimerait poursuivre notre rencontre.

Serais je blasée ??

Ou alors, je n'ose pas me laisser porter par les évènements.

Par mes émotions.

Pfffouuuuuu...

C'est chiant !

13 février 2010

Il a des yeux d'un bleu magnifique

Celui que j'ai rencontré il y a peu.

Nous discutions régulièrement de tout de rien sur le net.

Nous devions déjà nous rencontrer.

Il y a un moment.

Nous avons bu un café.

Et avons déjeuné ensemble.

Nous avons discuté une bonne partie de l'après midi.

Aucun blanc n'est venu pointer son nez.

Nous devons nous revoir bientôt.

Je ne sais pas ce que ça donnera.

Sinon, côté livre, j'ai commencé la lecture d'un roman.

"Vie et mort des plantes toxiques" de Louis SANDERS.

Louis_SANDERSRésumé : " Ils sont anglais. terriblement. Pour fuir les brouillards de Londres, ils ont élus domicile en Dordogne. Fuir le brouillard est une chose, fuir son passé en est une autre. Glauque, le passé. Il y a Sue qui couche par défi. Il y a Georges qui boit par dépit. Il y a les autres qui ne sont peut être pas ce qu'ils semblent être. Et puis, il y a Charles, odieux avecc affabilité, manipulateur par sottise, riche à en crever. Qui veut sa mort ? personne et tout le monde. Car la mort est au rendez vous de ce thriller - très British. Ponctuelle comme le thé ou le scotch de cinq heures. Dans ce Périgord noir - très noir - elle ratisse large, la mort. Et ce n'est pas Hackett, le jardinier débile mental, mais étalon de première, qui vous dira le contraire."

Vraiment bien écrit et prenant, comme j'aime.

C'est bientôt l'heure de l'apéro...

Vin blanc ou bière ??

Chips, c'est certain !

12 février 2010

Compulsion et douleur

J'ai bien aimé les commentaires sur mon post "Futilités inutiles".

Je pense que les deux points de vue se rejoignent.

Philippe a une très juste et très pertinente analyse.

Jérôme a une vision optimiste de ma "frénésie" consumériste.

Je me suis demandée si effectivement cette fringale d'achats avait un sens.

Je me dis que je dois peut être compenser quelque chose.

Un manque de mon enfance pauvre ?

Un stress dû au travail ?

Voire dans ma vie de couple ?

Quoique non..

Ma vie de couple va bien.

Je n'ai pas de réelle culpabilité face à toutes ces dépenses.

Et je ne reviens pas toujours les mains pleines.

J'ai toujours aimé la mode, la créativité ainsi que la nouveauté.

Plus jeune, j'avais l'envie de devenir styliste.

Mais la vie en a décidé autrement.

Et je ne m'en plains pas.

Alors, oui, je pense que je comble une forme de "vide".

Mais lequel ??

Je ne suis pas certaine de vouloir le savoir.

Car cela me renverrai sans doute à une souffrance que je ne supporterais peut être pas de connaître.

10 février 2010

Pas d'idée...

Ce matin.

Journée venteuse au possible.

Je lis mes mails.

Et je fume.

Envie de rien.

Il arrive toujours un moment où on ne sait pas quoi faire.

L'ennui guette.

C'est bête.

Et si je faisais du rangement ?

Trop chouette !

Non.

Je crois que je vais plutôt lire.

9 février 2010

Futilités inutiles

Et voilà !

J'ai encore bêtement craqué.

De ma balade en ville, je rapporte des fringues, et, une paire de bottines, même pas en cuir, même pas soldées.

Il restait encore quelques promos de fin de soldes.

Et pourtant, je n'ai besoin de rien.

Ma garde robe est pleine à craquer.

Il faut vraiment que j'arrête.

Tout ce fric pourrait me servir à autre chose.

A préparer ma retraite ???

Faudrait...

Pfffouuuu...

8 février 2010

Fumer tue...

Oui.

Je sais.

Mais le hic lorsque je ne bosse pas, c'est que je fume une double ration de clopes !

Parce que j'ai le temps de le faire.

Et que je n'ai pas besoin d'une autorisation.

C'est complètement nul !

J'essaie de me concentrer sur la lecture d'un essai.

"Le corps aujourd'hui" d'Isabelle QUEVAL.

IRésumé: "Un corps nouveau se dessine. longtemps vécu sur le mode de la souffrance, du mystère et de la mort, subi, le corps est depuis un siècle, l'objet d'une révolution.  Mieux connu grâce aux progrès de la médecine, expliqué, inventorié, il est entretenu et soigné, réparé et appareillé. Il n'est plus seulement le lieu du dépérissement et de la finitude humaine; l'attention qu'on lui porte - pharmacologie, chirurgie, génétique, bio et nanotechnologies, cosmétologie, diététique, sport - traduit autant le refus de l'idée de la mort qu'un nouveau type d'investissement identitaire. Maîtriser son corps, c'est assurer identité et destin. La responsabilité individuelle se décuple. Mieux vivre son corps devient être son corps, pour définir, à travers lui, un projet d'existence et de nouvelles représentations du temps."

Un essai à lire dans le silence pour en comprendre tout le sens.

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