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Secrètes Pensées

31 juillet 2014

Besoin de sérénité

Enfin en vacances !!

Laisser derrière soi tous les trucs débilitants du travail fait un bien fou !

Idem pour ce qui est du groupe du très grand réseau social bleu.

Je suis encore inscrite mais pour combien de temps ?

Je ne sais pas.

Il y avait une sortie de prévue ce soir.

J'ai trouvé une excuse bidon à la dernière minute pour ne pas y aller.

Et je n'avais pas envie d'y retrouver des membres avec lesquels je n'ai pas d'affinités.

Je suis encore en contact avec deux membres, une femme et un homme.

Elle est en pleine dépression mais ne semble pas vouloir le reconnaître.

Lui essaie de se projeter dans une nouvelle vie en Asie.

J'ai remarqué qu'en dehors d'eux mêmes et de la vie du groupe, rien ne les intéresse vaiment et surtout pas de connaître l'autre.

Cet égocentrisme me barbe au plus haut point.

Mais le temps espacera nos "liens".

Je le sais.

Et chacun s'en retournera là d'où il vient.

Dans une forme d'anonymat salutaire.

Et je retrouve ma solitude, mon espace de liberté. 

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29 juillet 2014

Epuisée...

J'ai vécu ces derniers jours dans un état étrange.

Oscillant entre tristesse, rire et questionnement.

J'ai participé à deux trois sorties encore mais l'ambiance du groupe s'est dégradée samedi dernier.

Les histoire de fesse entre certains membres et les jalousies en conséquence ont miné la bonne ambiance.

Certains ont décidé de quitter le groupe, d'autres prennent leur distance.

Je vais en faire de même.

Dès le début, je me suis dit que les liens resteraient superficiels.

Je ne pense pas m'être trompée.

Certains ne parlent que de respect et de sincérité et d'amitié mais finalement rien ne les intéressent autant que leur propre personne et l'apparence qu'ils renvoient aux autres.

C'est vraiment bizzare...

En tout cas, j'aurais appris qu'il faut rester soi-même et ne rien attendre des autres.

Plus que deux jours et je suis en vacances pour un bon mois !

19 juillet 2014

Pfffouuuu....

Ha les mecs !

Ils ne savent pas où ils ont mal !

Le week end qui avait débuté hier a pris fin aujourd'hui.

Il n'a pas su dire non pour servir de taxi à une amie en panne de voiture.

Bon.

La soirée d'hier fut agréable sans plus.

Au réveil, il a été distant sous prétexte d'être contrarié.

Il n'a cessé de râler sur le fait de devoir rendre service à cette amie.

Il lui suffisait de dire non.

Ce qu'il a déclaré ne pas savoir faire.

Je l'ai senti un peu loin durant la journée.

Je lui ai demandé ce qu'il en était de notre "relation".

Il a déclaré: on continue.

Mouais...

Je n'ai pas ressenti le truc sincère.

Hé bien, cela s'arrêtera là !

Pas envie de me prendre la tête avec un mec lunatique.

18 juillet 2014

Bon...

Il se passe des trucs dans ma vie de célibataire.

J'ai réactivé un profil sur le très très gros réseau social bleu.

Et je me suis inscrite il y a trois mois sur un groupe.

J'y ai rencontré des gens lors de plusieurs sorties.

Et j'ai passé une journée barbecue chez un membre du groupe.

Il avait lancé une invitation au groupe entier.

Mais nous n'étions finalement que trois.

Dont un ami, également membre du groupe, qui est venu déjeuner avec ses trois enfants.

Et visiblement, je ne les ai pas laissé indifférents. 

Et un en particulier.

Et évidemment, je crois bien qu'il est assez torturé intérieurement !

Pfffouuuuu....

Il s'est déclaré discrètement le lendemain, après un pique nique organisé par le groupe, durant le du feu d'artifice.

Je me suis dit: pourquoi pas ?

Etant donné que je suis célibataire et qu'il est loin d'être repoussant.

Je me dis que je ne dois pas me poser de questions sur le devenir de cette relation.

Mais bon...

Il faut toujours que je m'en pose !!

Nous sommes donc dans une relation qui se construit, enfin je crois, depuis quelques jours.

Je vais carrément passer le week end chez lui.

C'est dire !!

Carpe Diem diraient certains.

Mouais, mouais, mouais...

9 juillet 2014

Neurones à plat

La fatigue m'a saisie.

Une forme de désinvestissement de moi-même.

Je traverse sans passion les jours qui se suivent monotones.

Oui.

Je crois bien que je déprime...

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1 juillet 2014

Irrespect et mépris

J'ai repris le travail ce matin.

Pas plus motivée et ni réveillée que ça.

J'avais complètement oublié que la stagiaire est encore là jusqu'à la fin du mois.

Heureusement qu'elle n'est venue que l'après-midi.

La collègue mielleuse a passé la matiné à siffloter à qui mieux mieux. 

Le truc exaspérant au possible !

J'ai écouté de la musique pour m'en évader.

J'ai déjeuné avec le collégue du service logement.

Qui a le regard fuyant.

A la fin du déjeuner, la peucherette est venue le chercher.

Pour partager un gâteau préparé par une autre collègue pour l'anniversaire de la mielleuse.

Je n'étais évidemment pas prévenue ni même conviée.

Tout le monde a participé à ce "non évènement".

Je me suis dit que c'était vraiment minable de m'avoir mise à l'écart.

Le pire c'est que la jeune collègue qui a eu cette idée est venue m'apporter un bout de son gâteau !

Sans me dire pour quelle occasion elle l'avait fait.

Je n'y ai pas touché et il a atterri direct dans la poubelle.

C'est pathétique.

M'enfin..

C'est ça la vie de bureau quand on a affaire à une personne imbue d'elle même et qui tente de semer le doute dans l'esprit des autres en la discréditant par la manipulation par jalousie désespérée de se faire voler la vedette.

Je crois que cela ressemble à une forme de harcèlement qui ne dit pas son nom.

J'en parlerai peut être au psy...

27 juin 2014

Total farniente

Mon temps se partage entre flemme, lecture et musique.

mais-je-fais-quoi-du-corpsclaire-castillon-les-couplets

 

25 juin 2014

Anaïs s'en va-t-en guerre

22 juin 2014

Je bulle...

21 juin 2014

Enfin les vacances !

Jeudi, j'ai pu achevé tout ce que j'avais à faire au bureau.

Hier, j'ai baladé en ville.

On sent bien que les vacances d'été ont commencé.

Il y a comme une langueur ambiante.

Chaleur et paresse.

Je suis vraiment heureuse d'avoir quelques jours de farniente total.

Rattraper mon retard pour lire, regarder les films que j'ai en stock depuis une éternité.

Essayer de me remettre à la peinture...

Et pour ce qui est de mes amours ?

Il ne se passe absolument rien de rien.

En même temps, je ne fais rien pour trouver un semblant d'âme soeur.

Je n'en ressens pas le besoin.

Je me demande si je suis "normale".

18 juin 2014

Fatigue

Journée épuisante sur le plan psychique.

Aucune motivation.

Jeune homme totalement barré.

Qui voudrait tout faire exploser.

A commencer par lui-même.

Et je l'écoute en restant stoique.

Ne rien montrer de mon ennui.

Face à ce n'importe quoi.

Il doit passer devant le juge dans 15 jours.

Pour une plainte déposé par le propriétaire de sa mère ou de sa soeur.

Qu'il a menacé de mort.

Ben oui !

Tant qu'à faire !

Après avoir passé quasiment dix ans de sa vie derrière des barreaux, il risque bien d'y retourner alors qu'il en est sorti depuis un mois.

Je suis restée patiente.

Je l'ai laissé parler et encore parler.

Déverser toute sa colère, sa haine.

Et l'après midi, j'ai enchaîné sans une minute de répit.

J'ai tout un tas de dossiers à traiter avant mes congés demain soir.

Je sens que je vais "bacler" un peu tout ça...

Une dernière cigarette...

17 juin 2014

Journée ordinaire au bureau

Il n'est pas encore 9 heures que la collègue peucherette soupire.

"Il fait froid dans les bureaux" dit-elle.

La clim a fonctionné toute la nuit.

Elle sort et revient d'un pas nerveux.

Son téléphone sonne.

Elle décroche d'un air exaspéré.

En fait, elle n'a pas envie de répondre.

Au ton de sa voix, je sens qu'elle n'a pas envie de s'éterniser.

La collègue mielleuse est, elle aussi, a cran.

Elle est arrivée en retard.

Son téléphone sonne.

"Note son nom et son numéro ! Je le rapellerai plus tard !" répond-elle d'un ton sec.

C'est la joie !

La peucherette petit déjeune...

Et moi, j'attends mon rendez-vous de 9 heures.

14 juin 2014

Il fait si chaud...

Que je n'ai pas envie de fumer.

Ce qui est très bien pour ma santé.

Hier soir, sortie resto avec ma mère, mon frère et ma nièce.

Cher et rien de génial.

Ma mère a encore été dans le reproche avec moi.

Elle m'exaspère !

Je résiste mais cela m'épuise.

Au point de la détester.

10 juin 2014

Pas la forme...

La chaleur m'épuise.

Je dors mal et peu.

Du coup, je suis en mode traine-savate le matin.

Je ne sais même plus ce que je voulais écrire.

Je suis rentrée avec une migraine...

Je vais grignoter un truc.

En écoutant Ariane Moffat 

5 juin 2014

Au top du rien

Ha ! La ! la !

Cette semaine a été éprouvante.

Non pas du fait des personnes que j'ai en suivi. 

Mais en raison de la stagiaire qui m'a littéralement fait sortir de mes gonds.

Et cela dès le deuxième jour.

Manque de chance pour elle, mardi personne n'est venu.

Elle commençait à se lamenter et m'a demandé à cinq reprises si elle ne pourrait pas faire un entretien avec une collègue.

Son insistance obsessionnelle m'a agacée au plus haut point.

Je lui ai vertement répondu que ce serait décidé par la hierarchie et discuté en équipe.

J'ai du le lui dire au moins trois fois.

Au bout d'un moment, j'ai déversé mon venin tellement j'en ai eu marre.

Si elle persistait, je lui "cracherais" un topo sur une situation et on arrêtait là le stage.

Mercredi après midi, elle est allée voir directement le sous chef pour se plaindre de moi évidemment.

Nous avons donc eu une discussion où je l'ai recadrée.

Non, je ne lui donnerai pas à lire des dossiers de personnes qu'elle ne connait pas.

Et non, elle ne me collera pas aux basques.

Et oui, elle doit lire la documentation que je lui ai fourni.

On dirait une gamine de 5 ans qui fait un caprice !

La situation s'est apaisée.

Elle a trouvé son bonheur sur ma permanence bien remplie.

Mais elle manque de recul et d'analyse.

Heureusement qu'elle n'est là qu'à mi temps.

Je suis en week end !

Yes !!

J'ai vraiment un grand besoin de décompresser...

2 juin 2014

Mais pourquoi ai-je dit oui ??

J'ai dit oui pour accueillir une stagiaire.

Une dame en formation pour se reconvertir en chargé d'insertion sociprofesionnelle.

Suite à un bilan de compétences.

Personne ne pense à la difficulté qu'ont les étudiants pour obtenir un stage. 

Je me dis que c'est formateur pour les deux parties en présence.

Alors, je dis oui.

Donc, mercredi dernier, cette dame me contacte pour m'informer qu'elle commence lundi, c'est à dire CE lundi, aujourd'hui.

Ha ?!

Je n'étais pas au courant.

Ni une, ni deux, je suis allée voir le sous chef pour faire le point.

Tout ce qu'il a trouvé à me dire c'est que j'ai donné mon accord pour accueillir cette stagiaire.

Certes .

Mais est ce une raison pour me laisser dans l'ignorance de la date de son arrivée et de son emploi du temps futur ??

Non, je ne crois pas.

Ce que je lui ai clairement dit.

Il se trémoussait sur son siège et tentait de me persuader de sa bonne foi tout en répétant que j'avais donné mon accord.

Mon oeil ?

Tu l'as vu ??

Quel con !

A la pause déjeuner, une collègue donne son avis sur la stagiaire et déclare que la première impression qu'elle a eu d'elle était négative.

Elle la trouve arrogante.

Elle ne connait rien de cette femme mais, bien sûr, elle a déjà une opinion toute faite.

Pas terrible, terrible pour quelqu'un qui se prétend ouverte d'esprit et tolérante.

Et elle en rajoute une couche: "la première impression est toujours la bonne !" 

Mouais...

La stagiaire est arrivée en avance cette après midi.

Ma collègue mielleuse est restée plus que distante avec elle.

La peucherette lui a un peu parlé dans l'après midi.

Manque de chance, aucun de mes rendez-vous prévus n'est venu.

Je lui ai donné tout un tas de trucs à lire.

Je n'avais rien d'autre à lui proposer.

Moi même n'ayant rien de particulier en cours.

J'en ai profité pour lire aussi.

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Mot de l'éditeur: 

Un essai sur une faculté humaine qui, contrairement aux idées reçues, n'a rien de naturel et doit se cultiver si l'on veut éviter de la perdre totalement. Un cri d'alarme car si notre société veut se maintenir dans un esprit de vivre-ensemble, elle ne peut se contenter des seules conversations spécifiques et restrictives menées dans les salons du XVIIe ou dans les cabinets des psychothérapeutes d'aujourd'hui. 
Des solutions concrètes pour apprendre aux enfants d'aujourd'hui à se mettre en posture d'écoute malgré l'ère du virtuel et du chacun pour soi, à commencer par l'acceptation du silence.

Très intéressant et pertinent.

Cela me sera plus qu'utile.

Bon...

Une dernière cigarette et je file au lit.

26 mai 2014

J'ai oublié...

D'acheter une salade et de l'huile de noix.

Et des gousses d'ail.

J'y avais pourtant pensé dans la journée.

Et je m'étais dit que j'allais faire une liste.

J'ai fais mes courses en m'arrêtant sur la route de retour.

Sans liste écrite.

Au supermarché de la grande zone commerciale, au nord de la grande ville située au bord de la méditerranée.

Il y avait peu de monde.

A la caisse, j'ai laissé passer deux personnes.

La caissière a quitté son poste quelques minutes pour je ne sais quoi.

J'ai changé de caisse.

En attendant mon tour, je repensais à plein de trucs.

A ma journée de travail.

Au Monsieur qui m'avait confié vouloir se suicider.

Celui qui m'avait tant touché.

Il a dit aujourd'hui qu'il se sentait prêt à rencontrer une psychologue.

Et que, souvent, il pensait à se jeter sous les roues d'une voiture pour voir ce que ça ferait.

Je devine en lui une grande solitude.

Aaaaarghhh !

Je lui ai interdit de penser à ce genre d'idées !!!

Demain matin,  j'appellerai la psy.

J'ai aussi repensé à ce que m'a dit le psy, vendredi dernier.

Sur la notion de place.

Au sein du groupe.

J'ai une place.

Sans doute celle de chieuse et d'iceberg.

J'avoue que cela m'amuse.

J'ai repensé à ça.

Quelle place occupe-t-on au sein d'un groupe ?

Et également aux notions d'espace et de territoire.

J'ai une place dans le groupe.

Mais suis-je vraiment à la "bonne" place ?

Quel espace occupe-t-on ?

Quel territoire s'approprie-t-on pour exister au sein d'un groupe ?

En y réfléchissant, je me rends compte que ma collègue, celle qui est allée se plaindre,  occupe une "petite" place dans un territoire symboliquement restreint: l'accueil, le bureau des secrétaires, l'espace repas où elle occupe toujours la même place.

Elle occupait un poste plus important avant l'arrivée de l'imbécile qui nous sert de chef. 

Elle était secrétaire à la direction.

Et le bureau où nous prenons nos repas, et dans lequel est installée la cafetière, constitue une expansion de ce territoire donc un espace plus grand  et peut être une place symbolique plus grande aussi.

Expansion qui lui permet aussi de s'extraire du contexte professionnel pour quelques minutes.

Et elle y tient à ce bout de territoire, à cet espace.

Car, au fond, c'est sans doute la seule manière pour elle de se sentir "exister" aux yeux d'autres que ses copines/collègues.

Ça me rappelle un truc passé.

Lorsqu'une collègue de mon bureau a démissionné.

J'ai repris sa "place".

La meilleure, à mon avis, en terme de positionnement dans l'espace.

La peucherette a essayé tous les arguments possibles pour l'occuper.

N'hésitant pas alors à mettre en avant son handicap.

Son stratagème n'a pas du tout fonctionné.

S'il y a bien un truc que je n'aime pas, c'est  me sentir manipulée.

Bon...

Assez de blablas...

Dernière cigarette de la journée en écoutant Christine & The Queen.

20 mai 2014

Mesquinerie

La vie de bureau est quelques fois d'une bêtise sans nom.

Ce matin, l'imbécile qui nous sert de directeur vient me voir.

Il veut me faire part d'un truc.

Pas grave dit-il.

Je l'écoute donc.

Il me dit alors que des salariés sont venus faire une réclamation.

A propos d'un bureau.

Celui occupé précédemment par un agent d'accueil, la grande C, qui est, à présent, en partie sur un poste de travailleur social.

Et donc qui occupe très peu ce bureau.

Bureau qui est utilisé comme lieu des pauses déjeuner pour une partie du personnel dont moi.

Alors ?

Je lui demande ce qu'on nous reproche exactement.

Attention !!

C'est du super lourd !!

Hé bien, ces salariés se plaignent des odeurs d'après déjeuner !

Ben..

Il n'y a pas de ventilation..

Et également que la poubelle est pleine de déchets d'après repas, déchets qui devraient plutôt être jetés dans la poubelle consacrée qui se trouve dans l'espace repas.

Certes.

Ho ! Mon dieu !!

Mais quelle misère !!

Tout ça parce que, la semaine dernière,  j'ai voulu m'installer dans ce bureau, équipé d'un ordinateur, pour un entretien.

L'agent d'accueil, qui se trouvait donc à l'accueil, me dit que ce bureau n'est pas un bureau d'entretien.

Ha zut ?!

Ben non, il doit rester libre si elle a besoin d'y aller.

Haaaaa ?!

Et, un brin agacée, je l'avoue, je lui répond séchement: pour te préparer un café !

Car en dehors de ça, elle n'y est pas beaucoup dans ce bureau.

Le pire, c'est qu'elle se permet avec une autre collègue, d'entrer dans ce bureau alors que nous sommes en plein entretien.

Pour se préparer tranquillement un café !

Aucun respect !

Quel courage elle a eu d'aller se plaindre auprès de l'imbécile qui nous sert de directeur !

Et pas toute seule en plus !

Avec une secrétaire en rien du tout concernée par ça.

La question de ce bureau a été abordée en réunion d'équipe cette après midi.

Apparemment, je ne suis pas la seule à avoir subi l'irrespect de collègues, toujours les mêmes, qui entrent sans prévenir dans ce bureau lors d'un entretien.

C'est d'un pathétique !

Et dire que j'étais à deux doigts d'aller la voir pour m'excuser.

Ça ne se fera jamais.

Et tant pis si, encore une fois, je passe pour l'asociale de service. 

19 mai 2014

Ha la la...

Hop ! 

Article de samedi en brouillon posté !

Ce matin, je suis arrivée en retard de dix minutes.

Travaux sur la route.

D'où ralentissement.

D'où déviation de l'itinéraire habituel.

D'où obligation d'emprunter l'autoroute.

Et bouchon...

 Retard qui ne m'a point empêchée de boire le café et fumer la première cigarette de la journée.

J'ai ensuite enchaîné les rendez-vous de la matinée.

Sans grande motivation...

Ma collègue peucherette a fait appel au sous chef pour son écran qui refuse de fonctionner.

Et qui a remplacé l'autre, depuis une semaine, car en panne.

Écran relié à un télé-agrandisseur.

Elle est malheureusement malvoyante.

Ils ont essayé l'écran sur un ordi.

Pas de problème.

L'écran fonctionne.

Ils ont alors essayé le télé-agrandisseur avec un autre écran.

Rien.

Bon...

Je demande alors si je peux consulter le mode d'emploi du télé-agrandisseur.

Je lis la rubrique relative à la télécommande de l'appareil.

Et hop !

Je lui dis ce qu'il faut faire: rester appuyer 4 secondes sur la touche on/off.

Et miracle !

L'écran fonctionne !

Mon dieu !

Quand je pense que le sous chef a lu ce mode d'emploi et qu'il a bien essayé mais qu'il n'a pas appuyé sur la bonne touche.

Je me dis que c'est pathétique...

M'enfin...

Le truc positif de ce lundi c'est qu'on m'ait dit que je fais plus jeune que mon âge.

30 - 35 ans !

Heu...

Moui...

Hé bien...

Faut fêter ça !

Un petit apéro pour finir cette journée !

17 mai 2014

Quelques fois...

Souvent, en ce moment, je l'avoue...

Je n'ai pas du tout, mais alors vraiment pas du tout, envie d'écouter l'autre.

Ma collègue peucherette a soudainement eu un besoin pressant de s'épancher sur les situations qu'elle rencontre.

Je l'ai vaguement écoutée.

 Je ne suis pas sa psy.

Hier matin, réunion avec l'imbécile qui nous sert de directeur.

Prévention des risques.

Il est totalement incompétent.

Moi aussi d'ailleurs.

Et voilà que je suis chargée de faire l'évaluation des risques et en particulier des risques psycho-sociaux.

Pas du tout envie.

D'ailleurs, je pense lui dire qu'il serait préférable de faire appel à un consultant externe pour cela.

Je n'ai absolument pas envie de faire le tour des bureaux et passer mon temps à expliquer, je ne sais combien de fois, le pourquoi du comment et interroger mes collègues sur leur ressenti au travail.

La majorité des collègues se fiche complètement de ce qui peut se passer chez l'autre.

Seul compte leur petit univers.

Qui ne doit surtout pas subir de perturbations contrariantes.

 Moi-même, je suis devenue plus individualiste...

Et tant pis si l'image que je peux renvoyer aux autres leur déplait.

Je n'ai pas envie d'être dans les faux semblants pour obtenir ne serait-ce qu'une once de leur considération.

J'ai juste envie d'être moi.

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