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Secrètes Pensées

26 août 2015

J'ai oublié le sucre...

Courses ce matin.

J'avais la super flemme d'y aller.

Mais il ne me restait qu'une mangue fripée et trois pots de fromage blanc.

Et qui vient à ma rencontre dans le rayon des alcools ?

Mon ex amant.

Que je n'ai pas vu depuis des mois.

Toujours le même.

En plus vieux.

Il me raconte qu'il a passé sa matinée dans les boutiques pour se balader.

Haaaa misère !!!

Mon Dieu !

Pathétique !

Zut !

J'ai aussi oublié d'acheter du citron vert.

Tant pis !

Pas de caipirinha ce soir !

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24 août 2015

Je voulais répondre...

Directement à l'auteur d'un commentaire.

Lorsque j'ai constaté que son blog n'existait plus.

Dommage.

Son blog était vraiment original.

Bon...

Toi.

Toi, là bas.

A l'adresse IP 66.249.64....

Qui vient me lire depuis des semaines.

Qui es tu ?

Quel intérêt éprouves-tu à lire, voire relire, les pages d'une vie insignifiante ? 

Je crois que je n'aurais jamais de réponse...

Et j'écoute avec délectation Rihannon de Fleetwood Mac. 

20 août 2015

Trucs musicaux du moment

17 août 2015

1882,37 euros

C'est la somme que j'ai sur un compte bancaire dont je ne me sers quasiment pas.

Sauf pour le remboursements de la sécurité sociale.

Le dernier remboursement d'un montant de 5 euros date de novembre 2014. 

C'est dire combien sont rares mes visites chez un médecin.

La lettre recommandée envoyée par la banque m'informe que ce compte va être mis en conservation.

Parce qu'il n'y a aucune écriture d'enregistrée depuis plus dune année.

C'est surtout parce que ce compte ne leur rapporte rien du tout !!

Bon...

Je vais donc clôturer ce compte et demander le virement de cette somme sur mon compte actuel.

Je ne savais plus combien il me restait.

C'est plutôt une bonne surprise.

Et sinon ?

Le temps s'est rafraichi, ce qui me comble de bonheur.

En particulier le matin, lorsque je m'installe sur le bout de terrasse pour boire mon café. 

12 août 2015

Enervée !

Maudit facteur !

Qui laisse un avis pour une lettre recommandée.

Alors que je suis chez moi !

A chaque fois c'est le même scénario.

Il s'arrête devant les boîtes aux lettres.

Et ne prend jamais la peine de descendre de son véhicule pour faire 5 mètres et sonner chez moi.

Je le maudis !

Oui ! 

Idem lorsqu'il s'agit d'un colis.

Décadence du service public, qui n'est plus vraiment public.

Pas étonnnant que la poste soit en perte de marchés au profit de sociétés privées de livraison .

Pfffouuuu...

Allez !

Je demande, par internet, une représentation de la lettre pour demain.

Zut !

Y'a la facture d'électricité à payer.

Et re zut !

Y'a aussi les impôts à payer !

Grrrr !

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10 août 2015

Adversaire aléatoire

Réveil.

6 heures du matin.

Ho non !

Pfffouuuu...

Sommeil qui ne veut plus de moi.

Traîner au lit.

Se lever un peu à contre coeur.

Bon...

Boire un verre d'eau fraîche.

Se préparer un café.

Fumer une première cigarette.

Jouer les parties de scrabble en cours.

Cliquer sur le bouton suivant.

Adversaire aléatoire...

Je case le mot relaxe.

Partie suivante.

J'hésite...

Vil ou vin ??

8 août 2015

9:46:19

Statistiques.

Tiens !

Un lecteur qui dévore mon blog...

Retour de courses au supermarché du coin.

Le matin, on y croise beaucoup de personnes âgées.

Qui profitent de la fraîcheur pour sortir.

On me vante le Spritz.

Apéritif très en vogue en Vénétie.

Le stand venait juste de se monter.

Pas encore de dégustation.

Tant pis !

Ne rien oublier.

Une fois rentrée, tout ranger.

S'octroyer une pause clope.

Regarder ses mails.

Balader sur la blogosphère.

Jeter un oeil sur les statistiques.

Se demander qui se "cache" derriere une adresse ip...

J'ai faim.

7 août 2015

Ranger les souvenirs

En faisant un peu le tri dans ma tonne de paperasse, j'ai retrouvé cette photo.

IMG_1630

 Je pensais que c'était mon frère.

En fait...

Non.

C'est moi.

Je ne sais pas pourquoi.

Mais à chaque fois que je regarde cette photo, mon coeur se serre.

Je vais précieusement la conserver dans mon portefeuille.

6 août 2015

Fraîcheur du matin

Se lever sans se presser.

Profiter simplement.

Café, cigarette...

Cigarette ?? 

Oui...

J'ai craqué.

Hier.

En allant faire le plein de bouquins.

Je suis passée devant le bureau de tabac.

Que je pensais fermé pour le mois d'août...

IMG_1628 

2 août 2015

Loverless...

J'écoute Ayleen O'Halon chanter Loverless.

Lègère brise.

Hier soir, sortie resto en famille.

Restaurant japonais.

Resto qui se veut haut de gamme et branchouille.

C'est la tendance à Aix.

Tempura de seiche accompagné d'une salade de choux.

Et ensuite du thon grillé mi-cuit, sauce miso parfumée au gingembre avec du riz sauté maison.

C'était correct au niveau gustatif mais pas extraordinaire. 

Le hic dans ce type d'endroit, c'est le bruit.            

Dès que la terrasse est remplie, on ne s'entend plus.

Et la musique en fond sonore était franchement nulle et à un niveau dont on se serait bien passé.

Je pense que nous n'y retournerons pas.

Enfin, moi, je n'y retournerai pas.

Je préfère encore la petite gargotte du coin qui ne paie pas de mine mais où on ne fait pas tout un tas de chichis avec la nourriture.

Et, à la limite, un simple sandwich avec du bon pain et du bon saucisson me suffit largement.

Beaucoup de monde dans les rues piétonnes.

Trop de bruit.

Je me rends compte qu'il m'est de plus en plus difficile de supporter le bruit, les bruits de la ville.

Ce brouhaha incessant des gens qui discutent m'épuise.

Je deviens de plus en plus sauvage ! 

31 juillet 2015

Vacances

Enfin !

Hier, j'ai bouclé tous les dossiers en attente.

Dernier déjeuner avec les collègues avant la fermeture annuelle du mois d'août.

Chacune avait apporté un truc.

Trop de trucs.

Pas très goûteux.

Repas dans une ambiance hyper bruyante.

Stress inutile.

Vite !

S'en échapper !

Retrouver le silence du bureau déserté.

Aujourd'hui.

Farniente.

N'avoir rien à faire, c'est génial !

Je suis bêtement contente de moi.

Je pense de moins en moins à fumer.

5 Jours d'arrêt.

Et j'en ressens déjà un peu les effets positifs.

Je dors mieux la nuit.

Et mes gencives sont moins enflammées.

Bientôt, je retrouverais une peau de pêche ! 

Envie d'une sieste....

28 juillet 2015

Flemme

Terrible envie de fumer. 

Et zut de zut ! 

Pas envie de travailler. 

Ecouter de la musique. 

Plutôt que le blabla prétentieux de la collègue qui se croit de bon conseil. 

Pas motivée du tout. 

En plus, j'ai oublié mes lunettes. 

Croquer un bonbon à la menthe...

26 juillet 2015

Furieuse envie de fumer !

Hé zut !

Résister au manque.

Penser à autre chose.

Aux bienfaits  sur la santé.

Résiiiiste !!!

25 juillet 2015

Dernière cigarette ?

Cela fait un moment que je me dis que ce serait pas mal d'arrêter de fumer.

J'aurais du arrêter avec la rupture de l'aorte fin septembre, l'année dernière.

J'ai repris au bout de quatre semaines.

Parce qu'il me restait encore des paquets chez moi.

J'achetais une cartouche par mois.

La dernière fois, il y a de cela quinze jours, j'ai acheté trois paquets.

Je compenserai par des bonbons à la menthe forte, des Haribo Star Mint Intense.

J'en ai carrément acheté deux paquets aujourd'hui.

J'écrase ma dernière cigarette.

Vais-je tenir le coup ??

Plus que quatre jours de travail et je serais en congés pour un mois.

Ma journée de travail a été calme.

La peucherette de service n'a cessé de se plaindre et soupirer à qui mieux mieux.

Elle nous relate la situation d'une dame qui s'est faite cambrioler malgré la porte blindée.

Et qui a retrouvé son appartement saccagé.

Les voleurs s'en sont même pris à ce qu'elle avait dans son frigidaire jusqu'à répandre du ketchup partout.

Les cons !

En plus, dans son malheur, elle s'est fait arracher son sac quelques jours après.

C'est la fin du mois et du coup, elle n'a plus rien pour acheter à manger jusqu'au prochain versement du RSA qui se fera dans une dizaine de jours. 

La peucherette va instruire des demandes d'aides financière pour les factures de gaz et d'eau .

Nous lui demandons alors si elle envisage de demander une autre aide pour la soutenir dans son quotidien.

Elle répond que non, y'en a assez comme ça.

Bon...

Elle est encore débordée.

Décidément !

Elle râle parce qu'elle a plein de trucs en attente qu'elle doit absolument traiter avant les congés.

Elle râle parce qu'elle n'a pas eu la réponse qu'elle voulait pour un dossier.

Frustration ??

Elle passe son temps à grignoter.

Ça doit compenser son stress, sa frustration.

Passons à autre chose...

C'est le week end !

22 juillet 2015

Folie

En pause cigarette devant l'entrée, à 16 heures, je l'ai vue passer.

Une dame avec un foulard rose pale sur les cheveux.

Je retourne à mon bureau.

Je la vois assise dans la salle d'attente.

Mon téléphone sonne.

La nénette de l'accueil, celle qui s'affole pour un rien, m'annonce que cette dame veut voir une assistante sociale tout de suite.

La collègue qui la suit est en arrêt depuis le début de la semaine.

Son jour de permanence est le lundi.

Le mien le mercredi après-midi.

Gros gros soupir...

Je m'exécute et m'en vais chercher son dossier.

Et je la reçois.

Je lui demande donc la raison pour laquelle elle veut voir une assistante sociale.

Elle me dit être en danger.

Ha ?!

Que son voisin l'aurait aspergée d'un liquide qui se transforme en truc huileux...

Bon...

Qu'elle a été agressée par son propriétaire.

Il aurait voulu l'étrangler.

Ho !

Elle veut que je lui trouve un abri tout de suite.

Mais bien sûr !!

Ben non !

Je lui demande si elle a porté plainte.

Elle raconte qu'au commissariat, on lui a conseillé de voir avec son assistante sociale pour lui trouver rapidement une solution.

Ben...

Elle dit que l'assistante sociale doit appeler le commissariat pour qu'elle ait rapidement un rendez-vous.

Ha bon ?!

Ce que je lis dans on dossier me laisse plutôt penser qu'elle a un gros souci de paranoïa.

Il y a un an, à la même époque, elle se plaignait  de voisins qui lui voulaient du mal et qui auraient également répandu un liquide devant l'entrée de son précédent logement.

Qu'elle a quitté depuis, avec une dette locative de surcroit.

Je ne sais pas ce qu'elle a avec ce truc liquide !

Elle a erré un peu avant de trouver un propriétaire véreux qui lui loue un garage en guise de studio.

Qu'elle veut absolument quitter car elle explique, comme pour son précédent logement, qu'on lui a fracturé le rideau de métal et qu'elle ne peut plus le fermer à clé et qu'elle craint à tout moment d'être la proie de malfaisantes personnes.

Elle n'arrêtait plus.

Bizzarement, je n'ai pas vu le temps passé.

Et 17 heures passées, je regarde ma montre.

Et je lui dit que je suis obligée d'arrêter l'entretien car les bureaux vont fermer.

Que je n'ai aucune solution, là tout de suite.

Elle relève, hélas, de la psychiatrie.

Je plains sincèrement ma collègue !

21 juillet 2015

Supermarché de l'affection

Il y a une vingtaine de jours, je m'étais inscrite sur une appli de rencontre.

J'avais mis une photo.

Oui !

Une photo de moi !

J'ai eu un certain succès.

J'ai zappé et encore zappé !

J'ai discuté avec un barbu plus jeune que moi.

Inscrit depuis trois mois.

Père d'un petit garçon.

Bon...

Au bout de quelques jours de textos, l'ennui s'est rapidement installé.

Il n'avait rien à me dire.

Et moi encore moins.

Et puis son obsession des vikings ne me correspond pas du tout.

Hop !

Zappé !

C'est tout aussi bien ainsi.

Et j'ai effacé ma photo et supprimé mon profil.

Cette brève expérience me conforte dans l'idée qu'aujourd'hui l'autre est considéré comme un "produit" qui doit satisfaire son ego avant tout.

Et que le fantasme d'un idéal prime sur le reste.

C'est pathétique.

Peut être suis-je inconsciemment comme ça aussi ???

Pffouuuu...

Ha non !

Quelle horreur ! 

Vive ma chère solitude, ma liberté !

Une petite musique pour se faire du bien.

18 juillet 2015

Immobilité

28°

Déjà.

Café.

Première cigarette de la journée.

Silence.

Ou presque.

Une voiture passe à proximité.

Un oiseau chante.

Le soleil brille.

Les feuilles du platane sont bien vertes.

Encore une journée qui s'annonce caniculaire.

La chaleur m'engourdit.

Pas envie de bouger.

15 juillet 2015

J'ai la haine !

Me dit le jeune homme de 28 ans que je rencontre pour la première fois.

Lorsque j'ai vu son âge, j'ai été étonnée.

Nous suivons peu d'allocataires masculins de cet âge.

En général, ils dépendent du service d'état de l'emploi.

Qui n'est pas très efficace aux dires de ceux qui y sont incrits.

Je lui pose les habituelles questions pour avoir une vue d'ensemble de sa situation.

Il a un problème de santé depuis deux ans.

Il a commencé à travailler dès l'âge de 14 ans en tant que mécano et laveur.

Son problème est du aux émanations qu'il a respiré lorsqu'il nettoyait des citernes transportant des produits chimiques.

Il veut travailler.

Mais, à mon avis, il ne le pourra plus.

En tous cas, plus comme il le voudrait.

Il ne peut plus porter de charges au delà de 3 kilos.

Rester longtemps debout ou assis ne lui est plus possible non plus.

Certains mouvements lui sont interdits.

Il est reconnu travailleur handicapé.

Je crois qu'il en a honte.

Il fait le fier.

Malgré son état de santé.

D'origine sicilienne, je crois que son orgueil d'homme en a pris un coup.

Je lui dit ce que je pense.

Et qu'il lui faut faire le deuil d'un retour à l'emploi.

Il me dit que je suis la seule personne à lui avoir dit ça.

Il en a eu des accompagnements à l'emploi.

A chaque fois, il s'est donné à fond.

Et ça n'a rien donné.

Je l'écoute.

Et je me souviens d'une accompagnatrice à l'emploi, d'un organisme dédié auprès des personnes reconnues travailleuses handicapées, qui nous avait bien expliqué que les personnes ayant ce type de problématique de santé avaient très très peu de chance de retrouver un travail, même amménagé.

C'est du gachis.

Certains jours, il se sent inutile.

Et pense à en finir.

Décidément...

Il ne supporte pas l'idée qu'il pourrait dépendre du RSA durant de longues années.

Malheureusement, cela risque de durer.

Cinquième et dernière cigarette.

Musique... 

13 juillet 2015

Toujours aussi chiante !

Ma mère essaie de me culpabiliser.

Elle me rabaisse très souvent.

Alors qu'elle croit, au contraire, qu'elle est de très bon conseil.

Tout simplement parce que je ne réponds pas aux critères qu'elle a définit pour que je corresponde absolument à ce qu'elle imagine d'une personne bien.

Bien c'est à dire gentille, polie, serviable.

Ce que je suis mais pas assez avec elle !

Elle a le don de profondément m'agacer avec son ignorance et ses idées préconçues sur tout.

Et le fait de vivre avec un type très con a plutôt aggravé son cas.

Du coup, je n'ai eu aucun plaisir à déjeuner en famille pour la venue de ma soeur, son compagnon et leurs deux enfants.

Que je vois deux fois par an à tout casser.

Mon frère était également présent avec ses enfants.

A chaque fois, c'est le même scénario.

Il faut que le débile de beau-père fasse le beau avec sa prétention crasse.

Il veut être le centre d'intérêt.

Et ma mère essaie de surenchérir en s'imposant connement.

Et moi, qui ai mon franc parlé, je n'hésite pas à dire ce que je pense lors des discussions.

Au grand dam de ma mère.

Hé non !

Je ne suis pas une cruche soumise.

Encore ce matin, elle m'a fait la réflexion suivante que je ne trouverai personne qui veuille vivre avec moi vu mon caractère.

Je lui ai vertement répondu que justement je n'ai pas du tout le projet de vivre avec quelqu'un.

Je veux vivre seule, et, surtout ne pas suivre son exemple, vivre avec un sale con tout ça par peur de la solitude et par incapacité de se comporter en adulte responsable d'elle-même.

D'ailleurs, elle le dit elle-même qu'il est con.

C'est dire à quel point elle est névrosée et masochiste.

Je vais finir par m'en éloigner de plus en plus.

Déjà que je ne prend jamais de ses nouvelles.

Voire même couper tout lien tellement elle est toxique. 

Je veux la paix !

8 juillet 2015

Banal mercredi

11 heures et des poussières...

Coupure de courant.

Entretien dans un bureau peu éclairé par la lumière du jour.

Un premier rendez-vous avec un monsieur transpirant.

Qui, a priori, va mal.

Qui prend des médocs qui trouble sa mémoire.

Qui est suivi par un psychiatre.

Qui me dit qu'il n'est pas fou.

Il a l'air vraiment mal en point...

Je lui explique les droits et devoirs liés au RSA.

Devoir...

Encore et toujours.

Je me souviens d'un prof de français, au lycée, qui exécrait ce mot.

La coupure de courant dure.

Les collègues sortent à midi pour aller déjeuner au parc situé à une cinquantaine de mètres des bureaux.

Pas envie de les suivre.

Trop chaud !

Rester tranquillement au bureau et lire " Ce soir, j'ai peur", un petit roman d'Annie Saumont dont j'affectionne les nouvelles.

Après midi de permanence relativement tranquille.

La collègue de l'accueil qui me bipe pour un monsieur que je ne suis pas.

La grande C est absente.

Je le reçois.

L'écoute.

Téléphone au grand distributeur de prestations sociales.

Pas de versement du RSA avant 3 semaines. 

Il part énervé.

Surtout énervé après son père.

Un radin de première, âgé de 80 ans.

Il fait chaud.

Fenêtre largement ouverte.

Un brin d'air... 

Petite douceur musicale

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